École autrichienne d'économie

Entrepreneur, coordination sociale et institutions Université Paul Cézanne Aix-Marseille III Faculté d’Économie Appliquée Année universitaire 2010/2011 CM de M. Jean-Yves Naudet Sommaire Sommaire --------------------------------------------------------------------------------------------------- 2 Introduction générale ------------------------------------------------------------------------------------ 4 Section 1 : L’entrepreneur à travers l’histoire de la pensée économique ---------------------------

est polysémique. L’économie est le concept étudié par les sciences économiques, celles-ci prenant appui sur des théories économiques, et sur la gestion pour sa mise en pratique. Le terme d'« économie » (economics en anglais), au sens uniquement d'économie politique, a été popularisé par les économistes néoclassiques tel qu'Alfred Marshall. Le mot « économie » devient alors, de façon concise, synonyme de « science économique » et peut être considéré comme substitut de l'expression « économie politique »[]

de la monnaie va jouer un rôle de moins en moins important et va progressivement devenir neutre. 4 : la critique du mercantilisme Les critiques sont partiels, mais on voit apparaître des raisonnements différent, on voit introduire la notion d’économie. L’idée que l’économie peut s’autogérer. Critique incomplète sans véritable synthèse. On est obligé de faire référence à des philosophes anglais car ils vont fondés des principes économistes : la relation des hommes à la chose, la liberté, l’individualisme

(1469-1529) qui symbolise le renouveau : transcendant l’église et confondant l’intérêt du prince avec celui de la nation, celle-ci érige l’état au rang de puissance supérieure. A cette montée en puissance de l’état correspond le forgement du concept d’économie nationale. La subordination de l’économie au politique est une chose essentielle, puisque l’autorité du prince dépend directement des richesses accumulées. Le nationalisme trouve ainsi un fondement légitime. 3- la mutation technique L’essor

méthodes scientifiques comme l'outils statistique par exemple, mais l'usage d'instruments scientifique ne suffit pas à faire d'elle une science. En France jusqu'en 1970, on employait beaucoup plus souvent le terme d'économie politique que celui de science économique. Ce terme d'économie politique reste d'usage courant en Angleterre et en Italie. Il n'y a donc pas de définition universellement reconnue de la science économique. Cela s'explique parce que l'étude des phénomènes sociaux a été menée

David Ricardo (1772-1823) Principes de l’économie politique et de l’impôt 1817 Thomas Robert Malthus (1766-1834) Principes d’économie politique 1820 John Stuart Mill (1806-1873) Principes de l’économie politique1848 L’utilitarisme 1861 Un auteur-relai entre la pensée classique et le courant néoclassique : Jean-Baptiste Say (1767-1832) Traité d’économie politique 1803 Un auteur à part car critique dit « le dernier des classiques » : Karl Marx (1818-1883) Manifeste du parti

les seuls articles de base de la législation Américaine (Bill of right) Belgique Joseph II arrive au pouvoir en 1780, il est empereur d’Autriche et souverain des différentes provinces qui constitues des territoire de la Belgique actuelle (P-B autrichiens). C’est un des derniers despote éclairé car non élu et représentant de la volonté de quelconque population néanmoins il va porter des Réformes qui caractérisent la Révolution Française : 1) 1781 il publie l’Edit de tolérance (reconnaît la liberté

industrialiste (les français) : Colbert * Le mercantiliste commercial (Angleterre) L’école physiocratique (gouvernement de la nature) est une école (courant de pensée) française qui s’est développé au 18ème siècle, c’est la première grande école de pensé libérale. Les physiocrates étaient de libéraux, (ils s’opposent aux mercantilistes) et cette école physiocratique a pour chef de fil François Quesnay (1694-1774). Le courant physiocratique se veut courant philosophe des économistes et se constitue

vie quotidienne et qu’ils n’ont qu’à être énoncés pour être reconnus sont évidents (ROBBINS). Cette position est aujourd’hui abandonnée sauf par MENGER, VON MISES, F.HAYEK, qui définissent l’économie comme praxéologie (science des choix). L’école autrichienne étant subjectiviste, elle s’élève contre les agrégats macro-économiques, les tests quantitatifs et l’économétrie. Leur enseignement (dualisme méthodologique) n’est pas négligeable car il est un contrepoids à la science économique contemporaine

richesses entre les propriétaires et les autres qui est facilitée par la monnaie. * Il se pose la question si les banques jouent un rôle. « Pour juger de la quantité d'argent qui circule». Chapitre 2 : Le système physiocratique * il y a une école de pensée physiocratique. = s’appellait la secte des économistes. * La physiocratie = gouvernement par la Nature. * Leader, François Quesnay. Autre physiocrate important : Turgot Section 1 : Quesnay (1694-1774) et le tableau économique