École des hautes études en sciences sociales

aux chambres interchangeables, grandes surfaces ou stations-service, camps de transit des réfugiés... tous ces « non-lieux » surpeuplés où se croisent en silence et s'ignorent des milliers d'individus, forment des parenthèses anonymes et sans jeu social. Ils constituent, selon Augé, les espaces caractéristiques de ce qu'il nomme la « surmodernité ». Pour lui, l'excès est la modalité essentielle de la situation de surmodernité : surabondance événementielle et spatiale, individualisation des références

lecture Stéphane Beaud & Florence Weber, Guide de l’enquête de terrain, Paris, La Découverte ,1998. Les auteurs et l’œuvre dans son époque. Stéphane Beaud est un sociologue français né en  1958. Docteur en sociologie de l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS), il est professeur de sociologie à l'Ecole normale supérieure (Paris).Son travail porte principalement sur les transformations des milieux populaires dans la France contemporaine. Son approche méthodologique est axée sur l'enquête

manifeste du nombre d’études consacrées à une vision polémique, toujours discutée, mais désormais assumée et rendue « scientifiquement assumée et étudiable » du tropisme américain, et pour ce qui nous intéresse ici, du tropisme américain dans le cadre des études menées sur l’Ecole et plus précisément encore sur l’Université. (M. Heertsgaard, Bloomsbury, 2002), tropisme américain que met F. Weil en évidence dans sa dimension circonstanciée du tropisme américain dans l’historiographie française et notamment

maîtrise de science politique à l'Université de Paris-I Panthéon-Sorbonne De 1975 à 1982, il enseigne dans le secondaire et en Khâgne, puis est chargé de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS). De 1990 à 1996, il est visiting associate professor, puis associate professor en science politique à la University of Chicago. En 1995, il obtient à l'Institut d'études politiques (IEP) de Paris un doctorat sur travaux et une habilitation à diriger des recherches en science politique

Cimade et Migreurop)1 ont aussi contribué à cet ouvrage. Carolina Kobelinsky est doctorante en anthropologie à l'Ecole des hautes études en sciences sociale et membre de l'institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux. Sa thèse, sous la direction de Didier Fassin, porte sur l'accueil des demandeurs d'asile en France. Chowra Makaremi est diplômée de sciences po, doctorante en anthropologie à l'université de Montréal et membre du GRIMH. Ses recherches doctorales portent sur la zone

........................................................................................................................................................................ Claude Poissenot Christian Le Bart, L’individualisation Paris, Presses de Sciences Po, coll. Références, 2008 ..........................................................................................................................................................................................................................

Elle étudie à l'ESSEC (1981-1984) puis prépare à l'EHESS une thèse en sciences économiques, qu'elle soutient en 1990. Elle devient maître de conférences à l'université d'Orléans. Ses thèmes principaux sont la féminité, la différence des sexes, la maternité et le sentiment amoureux. Dans Grâce et Dénuement, elle traite différents thèmes : la précarité, la misère, l’amour et la fierté. Tout cela sur un fond d’immersion sociale dans le monde des gitans. Résumé de l’histoire : Des

classiques. Il entame ensuite une thèse sur la Renaissance Italienne à la Sorbonne avec André Chastel. Suite à un incident relaté dans Histoires de peintures, il change de directeur et de sujet. Il travaillera sous Louis Marion à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS)((De 1969 à 1993, il se lance dans l’enseignement de l’histoire de l’art moderne (XVè au XIXè) à la Sorbonne Paris IV pendant deux ans puis à Paris I.(Il est membre de l’Ecole de Rome de 1971 à 1973. C’est lorsqu’il dirige l’Institut

Présentation de l’auteur : Pierre Rosanvallon est un historien et sociologue français né en 1948. Diplomé de l'Ecole des Hautes Etudes Commerciales et titulaire d'un doctorat en sciences humaines, il fut enseignant-chercheur à l'université Paris IX, à Sciences-Po et à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS). Nommé directeur d'études de l'EHESS au centre de recherches politiques Raymond Aron, il est aujourd'hui également enseignant au Collège de France

société, «La fabrique des solitudes», Paris, le Seuil, La République des idées, 2011, 11 pages, pages 27-37. Née en 1976, Cécile Van de Velde est une sociologue, maître de conférences à l’École des Hautes Etudes En Sciences Sociales (EHESS) et membre de l’équipe de recherche sur les inégalités sociales du Centre Maurice-Halbwachs (CMH). Spécialiste des questions de jeunesse et de générations, elle est notamment l’auteur de «Devenir adulte». Le thème général de cet article concerne la solitude et les