Écologisme

(1/3 humanité bénéRcie de leur sou-en), rémunéra-on forte, de plus en plus riches (Oxfam, une FMN de la solidarité : 4.500 salariés, 30.000 bénévoles, 1M donateurs), pub.  La légi;mité de leur combat est reconnue par le grand public : humanisme, écologisme, mondialisme, sur le terrain. Perçues comme phase posi-ve de la mondialisa-on, contrairement à FMN.  Cons;tuent donc désormais des partenaires indispensables de la « gouvernance mondiale » : pour les organisa;ons intergouvernementales,

des pays, un paysage énergétique très hétérogène selon les pays et régions du monde, une Union Européenne à plusieurs vitesses et une France duale, des technologies de l’environnement en lent développement ; • un scénario de “ rupture sociale et écologisme ” : tensions mondiales, incapacité des institutions mondiales ou régionales à limiter ces conflits et à réguler les dégradations de l’état écologique de la planète du fait d’un développement économique incontrôlé, une Union européenne au ralenti

années 80. Naissance du parti « écolo » en Belgique francophone, le parti des « Verts, confédération, parti écologiste » en France en 1984. En Suisse en 1979 premier écologiste au sein de l’assemblée nationale (première percée aux élections). Ecologisme est au cœur de certaines traditions, parfois très anciennes. Deux grandes tendances - Le courant naturaliste (environnementaliste), dont le maître mot serait une préoccupation de la préservation des équilibres naturels, et préserver la faune

sociales, ce n'est même pas George W. Bush ou le commissaire européen à la concurrence, ce sont les électeurs américains et européens. Sortir le peuple américain de son autisme vis-à-vis du reste du monde. Sortir les peuples européens de leur « écologisme » et de leur « solidarisme » de façade qui les conduisent à revendiquer un environnement et une cohésion sociale préservés sans en assumer les coûts et les sacrifices. Il suffirait sans doute que les citoyens du monde maîtrisent l'agenda de

sans éducation, voire, des êtres un peu simples, ils sont soupçonnés d’être réactionnaires ou pire, antimodernistes. Le mouvement de retour à la terre qui s’esquisse dès les années 70 était accompagné d’une forte idéologie, de la naissance d’un écologisme parfois radical. Ces gens, bien vite perçus comme des marginaux étaient peut-être un peu en avance sur une époque qui n’avait pas oublié la guerre et l’occupation. En effet, les idées du maréchal Pétain avaient marqué les esprits et la France qu’il

justifier ses thèses pangermanistes. Apport de RATZEL. Outre cet ouvrage, il a beaucoup publié (L’Etat et son sol, L’Allemagne, La vie et la terre…). Il a été formé en biologie. Il a d’ailleurs été l’élève d’Ernest HETZEL (inventeur du terme « écologisme »). D’une manière générale, il a une conception évolutionniste. Sa première idée principale est la suivante : « la vie de l’humanité sur terre ressemble à celle d’un être vivant ». C’est une sorte d’organicisme. Deuxième idée principale : « l’Etat

capable d’être mise concrètement en œuvre. Le programme de Jeremy Corbyn, guère différent de ce que proposait la gauche travailliste de Tony Benn à la fin des années 1970, étatiste, critique de l’Europe et, désormais, de l’euro, pacifiste, d’un écologisme virulent, peut offrir des satisfactions militantes, car elle répond à des aspirations trop comprimées depuis plus de deux décennies. Mais il a un prix, un effacement provisoire du raisonnement en termes de possibilités de gouvernement. Le risque

familières et les jeux de mots, traits visibles seulement dans la retraduction de 1995 due à Alain Gnaedig. Les premières traductions, adaptations et suites de Heidi de Johana Spyri vont dans le même sens de l’appauvrissement, en gommant son « écologisme », en aplatissant son univers alpestre ; les « helvétismes » disparaissent, les descriptions sont abrégées, les dialogues sont raccourcis. Heidi retrouve sa fraîcheur et sa marque helvétique seulement dans les retraductions de 1993, 1995 données

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