Écrouissage

L’utilisation de grenailles rondes ou de billes de verre, principalement dans les opérations de shot peening (articles Ressort [B 5 430] à [B 5 432] [B 5 434] [B 5 435] [B 5 437] à [B 5 440] dans le traité Génie mécanique) dans le but de produire un écrouissage superficiel, c’est-à-dire un état de précontrainte, provoque un état de surface peu favorable à certains types de phosphatation. Tel est le cas pour la Parkérisation, phosphatation profonde destinée à l’anticorrosion (article Phosphatation [M 1

par John BOTSIS, Professeur LMAF/STI/EPFL 1 éprouvette de traction Les dimensions exactes de l’éprouvette dépendent du matériau Ils sont standardisés pour la plupart des matériaux 2 résultats d’un essai de traction plasticité (écrouissage) linéarité 3 déformation ductile phénomène de striction pour des aciers doux on constate l ’apparition de stries qui sont appelées lignes de Lüder 4 diagramme d’un matériau non - linéaire E At d d A E AB B B

fer, 18,21 % de chrome, 8,9 % de nickel, 1,17 % de manganèse, 0,21 % de molybdène, 0,48 % de silicium et des traces de carbone. C’est un fil résilient et relativement fragile utilisé surtout en technique de Begg. Il tient ses propriétés de son écrouissage qui augmente sa limite élastique mais diminue sa plasticité. Il est commercialisé sous quatre formes, du Regular au Spécial + , avec une élasticité croissante. Alliages à base de cobalt. Le plus connu est l’Elgiloy, alliage constitué de 40 % de

améliorée par la formation d’une couche d’oxydation autoprotectrice (il comprend une faible quantité de cuivre, de phosphore et de nickel). — pour béton armé [Mat.] Acier fabriqué sous forme de barres cylindriques par laminage à chaud, suivi d’un écrouissage par torsion ou traction améliorant ses propriétés mécaniques. Les nuances d’acier pour béton armé utilisées en France sont essentiellement le Fe E 235 (barres d’acier lisse) et le Fe E 500 (barres et treillis soudés à haute adhérence). — allié

tournant par rapport à la direction de la charge. On suppose qu’il existe un jeu J entre la bague intérieure et l’arbre. En tournant, ce dernier entraîne la bague par adhérence. N2/N1 = D1/D2 D1 D2 N2 N1 L’arbre tourne alors dans la bague ; il y a écrouissage des surfaces en contact, on dit qu’il y a laminage de la bague. N1 : vitesse de rotation de l’arbre D1 : diamètre de l’arbre N2 : vitesse de rotation de la bague intérieure. D2 : diamètre de la bague intérieure. Afin d’éviter le phénomène

d'un acier naturellement dur ; • les armatures du type 3 sont obtenues par laminage à chaud suivi d'un ecrouissage par tréfilage et (ou) laminage à froid entraînant une forte réduction de section. 2,12 Armatures à haute adhérence du type 2 Le diagramme ci-dessus est un diagramme simplifié. Il est rappelé que les armatures du type 2 sont obtenues par laminage à chaud suivi d'un écrouissage sans réduction de section (par exemple par torsion ou traction). 2,13 Treillis soudé Selon la nature des

minimum (limiter l’utilisation de tiroirs et autres éléments mobiles dans les moules par exemple). Forme et état de la matière avant, pendant et après sa transformation dans l’outillage afin de prendre en compte les paramètres en conception pièce (écrouissage, bavure, contraintes en découpage pliage par exemple). Contrainte liée à l’enchaînement des opérations dans l’outillage ou les outillages (outil de découpage à suite par exemple). Contraintes liées à la réalisation des outillages (par exemple surfaces

r´eduction de section), fortement ´ecrouis, utilis´es pour fabriquer les treillis soud´es et fils sur bobines. Ce type d’acier a une limite d’´elasticit´e garantie de 500 M P a et un allongement `a la rupture de 8%. On pourra retenir que l’action de l’´ecrouissage est d’augmenter la limite d’´elasticit´e en faisant disparaˆıtre le palier de plasticit´e, et de diminuer l’allongement `a la rupture (plus fragile). Les quatre types d’acier ont le mˆeme comportement ´elastique, donc un mˆeme module de Young de

nc 1?. L.M.S. - L.C.P.C. - "Matériaux et structure sous chargement cyclique". J.P. MAGNAN (1982) - Cours de Mécanique des Sols, Tronc Commun, ch. V, consolidation. A. MOURATIDIS et J.P. MAGNAN (1983) - "Modèle élastODlastique anisotrope avec écrouissage pour le calcul des ouvrages sur sols compressibles", Rapport de recherche LPC ne 121. .- 168 - NGUYEN QUOC SON (1984) - "Bifurcation et stabilité des systèmes irréversibles obéissant au principe de dissipation maximale", Journal de mécanique

- Caractéristiques mécaniques générales : - déformation élastique, - élasticité, - rigidité, - fragilité / résilience, - déformation plastique, - malléabilité, - ductilité, - allongement, - dureté, - ténacité, - fatigue – fluage, relaxation, - écrouissage, … 2 - Caractéristiques physiques générales : - transparence / opacité, - couleur, - réfraction / réflexion / absorption (lumière), - conduction thermique / isolation, - conduction acoustique / isolation, - isotropie / anisotropie, - caractère amorphe