Édit de Nemours

le roi Henri III envisage de confirmer Henri de Navarre comme son héritier légitime. Il lui envoie le duc d'Épernon pour l'inviter à se convertir et à revenir à la cour. Mais quelques mois plus tard, contraint par les Guise de signer le traité de Nemours, il lui déclare la guerre et met hors la loi tous les protestants. La rumeur dit qu'en une nuit, la moitié de la moustache du futur Henri IV blanchit24. Commence alors un conflit où Henri de Navarre affronte à plusieurs occasions le duc de Mayenne

s’agit plutôt d’une œuvre collective. On lui attribue son nom près d’un siècle après. L’action se passe à la Renaissance (fin 15e siècle  1598, édit de Nantes) et à la cour du roi Henri II. Madame de Clèves est élevé par sa mère et va être marié à un homme qu’elle n’aime pas. Elle qui vient de se marier rencontre pour la 1ère fois le duc de Nemours mais cette rencontre arrive trop tard et leur passion restera sans issue. Nous verrons en quoi consiste la rencontre entre ces deux personnages

(en Champagne) par les troupes de François de Guise. Début des guerres de Religion en France • 19 décembre 1562 : Bataille de Dreux : Condé battu et prisonnier • 24 février 1563 : Assassinat du duc de Guise par Poltrot de Méré • 19 mars 1563 : édit d'Amboise Deuxième guerre de religion (1567–1568) • 28 septembre 1567 : la « surprise de Meaux », le prince de Condé tente de s'emparer de la famille royale • 29 Septembre 1567 : massacre de prêtres catholiques par des protestants à Nîmes, dit

son vrai nom Marie-Madeleine Pioche de la Vergne, est un auteur de romans. Son œuvre la plus connu est La princesse de Clèves (1668). Elle écrit aussi La Comtesse de Tende, Histoire d’Henriette d’Angleterre, Mémoires de la Cour de France, ouvrages édités après sa mort, ou encore Zaïde, un livre en deux tomes qui connaît un grand succès. Thème principal : A la jonction du courant précieux et du courant tragique, ce roman met en avant, à travers les amours malheureuses de la princesse de Clèves

de La Rochefoucauld en 1680 puis du comte de La Fayette en 1683 la conduit à mener une vie sociale moins active dans ses dernières années. Elle s'est clairement retirée de la vie mondaine, afin de se préparer à la mort.Trois de ses ouvrages ont été édités à titre posthume : La Comtesse de Tende (1718), Histoire d’Henriette d’Angleterre (1720) et Mémoires de la Cour de France (1731). Résumé de lecture : Roman écrit par Marie-Madeleine de La Fayette en 1678. Il est considéré comme le premier véritable

Trois de ses ouvrages seront édités à titre posthume : La Comtesse de Tende (1718), Histoire d’Henriette d’Angleterre (1720) et Mémoires de la Cour de France (1731). Résumé de l'oeuvre: La Princesse de Clèves, publié en 1678 par Madame de La Fayette, se déroule à la fin du règne d’Henri II. Placé sous le signe d'un conflit opposant morale et désir, ce roman nous raconte comment Mlle de Chartes, qui après avoir épousé le Prince de Clèves, s'amourache du Duc de Nemours. Ce dernier ne peut guerre

protestants, celle du prince d’Orange et celle d’Elisabeth d’Angleterre qui FINANCE l’expédition du comte palatin Wolfgang, duc de Deux-Ponts en Bourgogne au printemps de 1569. -pour les catholiques, celles du roi d’Espagne, du pape et du duc de Toscane. Cet édit, signé à Saint-Germain le 8 août 1570, et qui a pour artisan principal le roi Charles IX, marque un retour à la tolérance civile. Il restitue la liberté de culte dans les lieux où il existait au premier août 1570. La tension est grande dans Paris.

jusqu'à La Charité-sur-Loire. En juin 1570, l'armée protestante l'emporta dans la bataille d'Arnay-le-Duc.La paix qui s'en suivit est le signe d'un revirement politique à la cour où les modérés retrouvent leur influence et où celle des Guise recule. Cet édit, signé à Saint-Germain le 8 août 1570, et qui a pour artisan principal le roi Charles IX, marque un retour à la tolérance civile, il restitue la liberté de culte dans les lieux où il existait au premier août 1570.En outre, les protestants obtiennent

recommandations, conformes à la morale. Elle prouvera sa franchise en avouant à son mari les sentiments qu’elle éprouve pour le duc de Nemours. Cette passion dévastatrice va causer la mort de sa mère ainsi que celle du prince de Clèves. Finalement, elle prouvera sa vertu après la mort de son mari, alors que, désormais libre, elle refuse d’épouser le duc de Nemours et se retire dans un couvent car elle se sent en partie responsable de la mort de son mari. Ce roman, se consacre essentiellement à l’approfondissement

Levillain : ''Le livre déborde largement les frontières des salons mondains et devient un sujet de conversation général et un objet de débat sans fin, notamment en raison de la scène de l'aveu par Mme de Clèves à son mari de sa passion pour le duc de Nemours, écoutée par celui-ci en cachette.'' Deux ans après la parution de la Princesse de Clèves, en 1680, La Rochefoucauld meurt. Cette disparition laisse Mme de La Fayette inconsolable. Mme de Sévigné confiera : ''je crois que nulle passion ne peut