Efficacité lumineuse spectrale

station terrienne destinatrice reçoit également à son tour la porteuse lors de la liaison descendante. Pour caractériser la qualité d'une liaison radioélectrique, on considère le rapport C/No entre la puissance C (en W) de la porteuse et la densité spectrale No (en W/Hz) du bruit. Le multiplexage Les signaux délivrés à la station terrienne peuvent être transmis individuellement sur une porteuse radioélectrique ou bien multiplexés. Dans le premier cas, on parle de transmission d'une voie par porteuse

électroniques et des spectres complexes de métaux de transition. 1.1.4. Phénomène d'absorption du rayonnement 1.1.4.1.Rappel sur les unités employées L'énergie qui est absorbée par l'échantillon dans un spectromètre infrarouge se présente sous forme lumineuse. Il s'agit donc d'un rayonnement électromagnétique (cf 1.2) pour lequel on a (s'il est monochromatique) : E=hυ avec : E en Joule h constante de Planck en Joule.seconde υ en seconde^-1. De façon plus pratique, on utilise la longueur d'onde λ (en micromètre)

CHAPITRE 1 • CHROMATOGRAPHIE, ASPECTS GÉNÉRAUX 1.1 1.2 1.3 1.4 1.5 1.6 1.7 1.8 1.9 Généralités sur la chromatographie analytique Le chromatogramme Pics d’élution gaussiens Modèle des plateaux Coefficient (ou Constante) de distribution de Nernst (K) Efficacité d’une colonne Grandeurs de rétention Facteur de séparation (ou sélectivité) entre deux solutés Facteur de résolution entre deux pics 6 7 7 9 11 11 14 15 17 18 19 20 23 24 27 27 27 28 30 32 33 1.10 Influence de la vitesse de la phase mobile 1.11

lumière du jour pouvait être reconstituée à partir de l'addition dans des proportions définies de trois émissions primaires à 450 à 550 et à 610 nm (voir figure 3). L’émission lumineuse est obtenue par excitation à l’aide de radiations ultraviolettes (photoluminescence). Suivant l’élément de lanthanide choisi, l’émission lumineuse est localisée dans le proche ultraviolet (avec le gadolinium, le cérium), le visible (rouge avec l’europium, orange avec le samarium, vert avec le terbium, jaune avec le

W) 2. Expressions du niveau sonore L (level) ou N (niveau) : Pour une source on note le niveau de puissance : NW = 10 log(P/P0) ; unité : décibel (dB) avec P0 = 10-12 W, puissance de référence. N peut être exprimé en fonction de l’intensité lumineuse ou de la pression p au carré : N = 10 log(I/I0) = 10 log(p2/p02) = 20 log(p/p0) on rappelle que log(x2) = 2.log x Avec I0 = 10-12 W.m-2 et p0 = 2.10-5 Pa, intensité et pression de référence respectivement. 3. Addition des sons : ATTENTION

provoqué par l’agitation thermique des électrons dans le conducteur électrique. On l’appelle blanc par analogie à la lumière blanche qui possède une densité spectrale uniforme. Le concept de bruit blanc n’est permis qu’à travers des systèmes linéaires Figure 2.2 : échantillon d’un bruit blanc B. bruit impulsif Figure 2.3 : densité spectrale d’un bruit blanc Comme son nom l’indique ce type de bruit est à caractère impulsif, il se présente sous forme de tensions perturbatrices de valeur élevée mais

rayonnement-cible 1.6 Détection passive et active 1.7 Caractéristiques des images 1.8 Notes finales Saviez-vous? Questions éclairs et réponses 2. Capteurs 2.1 Sur Terre, dans l'air et dans l'espace 2.2 Charactéristiques orbitales 2.3 Résolution 2.4 Résolution spectrale 2.5 Résolution radiométrique 2.6 Résolution temporelle 2.7 Photographie 2.8 Balayage multispectral 2.9 Infrarouge thermique 2.10 Distorsion géométrique 2.11 Observation météorologique 2.12 Observation de la Terre 2.13 Observation des océans 2.14

totale d’acquisition. à l’oscilloscope ou via une carte d’acquisition - Mesure indirecte : par comparaison avec une fréquence connue voisine, en réalisant des battements. Effectuer l’analyse spectrale d’un signal périodique à l’aide d’un oscilloscope numérique ou d’une carte d’acquisition. Analyse spectrale. Décalage temporel/Déphasage oscilloscope numérique. à l’aide d’un Reconnaître une avance ou un retard. Passer d’un décalage temporel à un déphasage et inversement. Repérer précisément le

cours chromatographie-chap1-Thierry Brière 31 Sélectivité α de la séparation On définit la sélectivité α d’une séparation par le rapport k2/k1 des facteurs de rétention de deux composés. Plus α sera élevé et meilleure sera la séparation. Efficacité N de la colonne Par analogie avec la distillation, on défini l’efficacité N d’une colonne par son nombre de plateaux. L’efficacité d’une colonne dépend de trois facteurs : 1) de sa géométrie : Plus une colonne sera longue et/ou plus son diamètre

lumière due aux variations de l'intensité lumineuse ou de la distribution spectrale de l'éclairement où l’effet de scintillement des sources lumineuses est cause par fluctuations de tension dues à des perturbations introduites dans le réseau au cours de la production, le transport ou la distribution de l'électricité, mais surtout dérivés de l'utilisation des charges fluctuantes [8] . ~4~ La perception de l’œil humain des fluctuations des sources lumineuse évolue en fonction de la fréquence et