El Desdichado Commentaire

divise, ô Narcisse »   (VALERY, « Charmes ») - Croisées : ABAB« Je suis le ténébreux – le veuf – l’inconsolé,Le Prince d’Aquitaine à la tour abolie ;Ma seule étoile est morte, et mon luth constelléPorte le Soleil noir de la Mélancolie » (NERVAL, « El Desdichado ») - Embrassées : ABBA« Le vierge, le vivace et le bel aujourd’huiVa-t-il nous déchirer avec un coup d’aile ivreCe lac dur oublié que hante sous le givreLe transparent glacier des vols qui n’ont pas fui ! »   Une rime est : « Féminine »

ô Narcisse » (VALERY, « Charmes ») - Croisées : ABAB « Je suis le ténébreux – le veuf – l’inconsolé, Le Prince d’Aquitaine à la tour abolie ; Ma seule étoile est morte, et mon luth constellé Porte le Soleil noir de la Mélancolie » (NERVAL, « El Desdichado ») - Embrassées : ABBA « Le vierge, le vivace et le bel aujourd’hui Va-t-il nous déchirer avec un coup d’aile ivre Ce lac dur oublié que hante sous le givre Le transparent glacier des vols qui n’ont pas fui ! » Une rime est : • « Féminine » si

cette ardeur, cette plaie, Je ne quiers fer, liqueur, ni médecine:L'heur et plaisir que ce m'est de périr De telle main ne permet que j'essaie Glaive tranchant, ni froideur, ni racine. |   | A B B A A B B A | Joachim du Bellay Commentaire de Les Cheveux d'or | Le rondeau Le rondeau était très utilisé au Moyen Âge. La Pléiade le rejettera pour lui préférer le sonnet. Le rondeau impose la repris du premier vers en refrain au long du poème. Il contient seulement deux rimes.

pièces d'eau Tout plongé dans mes rêveries ! Et de là, mes amis, c'est un coup d'oeil fort beau De voir, lorsqu'à l'entour la nuit répand son voile Le coucher du soleil, riche et mouvant tableau, Encadré dans l'Arc de l'Étoile ! En guise de commentaire Description et décors : Ces deux odelettes sont particulièrement remarquables par la palette de couleurs et par le jeu de lumières. Temporalité. Promesse d'un avril printanier, présence d'un coucher de soleil, réminiscence d'un « air très vieux »

› Nuit rhénane, un fantastique surprenant entre ivresse et éclat de rire (Seconde et Première) p. 5-6 Fiche 4 › « Mes amis m'ont enfin avoué leur mépris » ou l’art poétique de la dissonance (Première) p. 6-7 Fiche 5 › Pour aborder le commentaire littéraire (Seconde) p. 8-9 Fiche 6 › autour de l'œuvre (Seconde et Première) p. 9-10 Fiche 7 › D'un texte à l'autre, les résonances (Seconde et Première) p. 11-12 Fiche 8 › Du texte à l’image (Seconde et Première) p. 12 Fiche 9 › Questions

les démonstratifs nombreux renvoient à un narrateur témoin qui relate les faits au moment où ils se produisent. Les deux passés composés (" est devenu ", " est sorti ") évoquent un cataclysme irréversible. Le poème s'interrompt brutalement, sans commentaire, sur l'image fantastique de l'arbre animé et d'un ordre du cosmos durablement bouleversé... II Une esthétique de la surprise et du bizarre : Une esthétique de la surprise : apparitions déroutantes des quatres premiers vers dont les effets sont

....................................................................................... 12 ................................................................................................... 16 POUR COMPRENDRE : quelques réponses, quelques commentaires Étape 1 Des formes fixes aux confins du vers ............................. 19 Étape 2 Histoire littéraire .......................................................................... 21 Étape 3 Les lieux de la poésie (1) .......................

Le Prince d’Aquitaine à la tour abolie ; Ma seule étoile est morte, et mon luth constellé Porte le Soleil noir de la Mélancolie »  (NERVAL, « El Desdichado ») - Embrassées : ABBA « Le vierge, le vivace et le bel aujourd’hui Va-t-il nous déchirer avec un coup d’aile ivre Ce lac dur oublié

évoqués métaphoriquement comme « l'orage/Des eaux, de la flamme et du fer », trois éléments puissants qui dépassent et anéantissent l'individu. Ce poème est donc bien plus sombre et désespéré que les deux premiers. Travaux d'écriture Sujet 1 : commentaire de texte Introduction La tension entre les nations européennes est déjà grande lorsque l'écrivain Charles Péguy, récemment converti au catholicisme, publie en 1913 Tapisseries, triptyque poétique succédant à un autre recueil, les Mystères. Ce

visionné le film de Cocteau. Problématique : en quoi consiste la modernité de cette réécriture ? Comparaison de Du Bellay (Las ! où est…) et Nerval (El Desdichado) avec la problématique suivante : pourquoi peut-on dire que dans ces deux textes l’on entend la voix d’Orphée ? A été lu et étudié un extrait d’Eurydice d’Anouilh. + Présentation et commentaire du tableau de Poussin : Orphée et Eurydice. ( Retour vers le corpus Le mythe de Troie [pic] David Hélène et Pâris 1788 Musée du Louvre