Élisabeth Ire

de France (1494 - 1547), roi de France (1515-1547) Charles Quint (Gand, 1500 - monastère de Yuste (Espagne), 1558), empereur germanique (Charles V) et roi d'Espagne (Charles Ier) Marie Ire d'Angleterre (1516 - 1558), reine d'Angleterre, d'Irlande et de France (seulement en titre) (1553 - 1558) Élisabeth Ire d'Angleterre, reine d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande (1558-1603) Philippe II (1527 - 1598), roi d'Espagne, prédominance militaire et politique de ce pays Thomas More (1478–1535), juriste

Pierre de Ronsard (1524-1585) - Second livre des Amours Marie Ire d'Écosse (Marie Stuart, ou Mairi Ire en gaélique écossais) (8 décembre 1542 - 8 février 1587), aussi connue comme Marie, reine des Écossais, était souveraine du royaume d'Écosse et fut emprisonnée en Angleterre par sa cousine, la reine Élisabeth. Après avoir été condamnée pour trahison, elle fut exécutée en 1587. Marie Ire d'Écosse (Marie Stuart, ou Mairi Ire en gaélique écossais) . Marie Stuart fut successivement reine d'Écosse

secondes noces une autre de ses cousines paternelles, Marie Ire d'Angleterre (1516-1558), fille d'Henri VIII et reine d'Angleterre de 1553 à 1558, mais ce n'est pas un mariage populaire auprès des Anglais. Avec l'aide des Espagnols, la reine tente de restaurer le catholicisme, religion de sa mère Catherine d'Aragon, aboli par son père Henri VIII qui a instauré l'anglicanisme. 3) Il se remarie une troisième fois, le 22 juin 1559, avec Élisabeth de France, fille d'Henri II et de Catherine de Médicis,

traditions après l'écart de ses parents, qui avaient choisi la cathédrale Saint-Paul, plus bourgeoise. Dans ce panthéon royal reposent des personnages aussi différents que la «reine vierge», Elisabeth Ire son tombeau est impressionnant ,Marie Stuart ou Charles Dickens, notamment. Sur les traces de Victoria, Elisabeth fut couronnée à l'abbaye de Westminster et s'assit sur le trône de chêne, comme ce fut le cas, depuis 1301, de tous ses prédécesseurs. C'est là que William connut le pire jour de sa vie:

Jacques Ier d’Angleterre et VI d’Écosse, qui prit le trône écossais en 1567 et le trône anglais en 1603, suite au décès de sa cousine Élisabeth Ire d'Angleterre. Le 20 octobre 1604, il s'autoproclama « King of Great Brittaine, France and Ireland » (« Roi de Grande-Bretagne, de France et d'Irlande »), titre qu'ont repris certains de ses successeurs. Sous le règne d'Anne Ire de Grande-Bretagne, depuis l'Acte d’Union de 1707, les parlements d'Angleterre et d'Écosse ont été fusionnés et les deux nations constituent

cairn.info/revue-francaise-de-droit-constitutionnel-2010-3-page-483.htm Découvrir le sommaire de ce numéro, suivre la revue par email, s’abonner... Flashez ce QR Code pour accéder à la page de ce numéro sur Cairn.info. © P re ss es U ni ve rs ita ire s de F ra nc e | T él éc ha rg é le 3 1/ 03 /2 02 3 su r w w w .c ai rn .in fo ( IP : 1 90 .1 15 .1 75 .1 29 )© P resses U niversitaires de F rance | T éléchargé le 31/03/2023 sur w w w .cairn.info (IP : 190.115.175.129)https://www.cairn.i

vendre plus cher. Il fut, avec conviction, de son temps : celui d'une grande reine, savante, pragmatique, courageuse, énergique et prudente, dont la personnalité complexe domina son époque depuis son avènement, en 1558, jusqu'à sa mort, en 1603. Élisabeth Ire fut pour tout son peuple une idole, un mythe vivant, une Diane chrétienne, la Reine Vierge. Ses sautes d'humeur, ses fureurs l'humanisent, et Strindberg pense qu'elles sont passées dans la Cléopâtre de Shakespeare, dont elle est autrement l'opposé

ÉLISABETH Ire D’ANGLETERRE 8-170 . Sous Élisabeth Ire, le petit royaume d’Angleterre, cerné au nord par une Écosse indépendante et hostile, à l’ouest par une Irlande incontrôlée, sur le continent par l’essor des grandes monarchies absolutistes d’Espagne et de France, se révèle, au cours de péripéties dramatiques, un partenaire majeur de l’aventure européenne et mondiale. L’Angleterre affirme alors une personnalité mûrie au cours de la guerre de Cent Ans, puis forgée de main de maître par les premiers

Le théâtre Elisabéthain Le terme de théâtre Elisabéthain désigne les pièces de théâtre écrite et interprétés en Angleterre pendant le règne de Elisabeth 1ère (1558 – 1603). Le terme de « théâtre Elisabéthain » a été gardé après le règne d’Elisabeth car ses successeurs Jacques 1er et Charles 1er s’en sont inspiré eux aussi. Dominé par la figure de Shakespeare, le 16ème et le 17ème siècle représente l’âge d’or du théâtre. Les origines du théâtre Elisabéthain Le théâtre élisabéthain a plusieurs

le désir, la jalousie, la hantise de la vieillesse et de la mort ainsi qu'une analyse très fine du sentiment amoureux. Shakespeare devint actionnaire de la compagnie théâtrale des " Lord Chamberlain's Men ", qui, après la mort de la reine Élisabeth Ire, prit le nom de " King's Men ". Les représentations avaient lieu habituellement au Globe Theatre puis, à partir de 1608, au Blackfriars, mais Shakespeare eut l'occasion de représenter ses pièces à la cour d'Élisabeth plus souvent qu'aucun autre