Embryon surnuméraire

recherche de F enfant « parfait ». le diagnostic pré-iroplaotatoire (DPI) Pour éviter l'angoisse de l'attente du diagnostic et un avortement traumatisant aux familles atteintes de maladies génétiques, il est possible de réaliser un diagnostic sur un embryon conçu in vitro alors qu'il est au stade de quelques cellules, et cela avant l'implantation dans l'utérus maternel. En France, le 1er bébé sélectionné suite à un DPÏ est né en novembre 2000 dans une famille qui avait déjà perdu 2 enfants d'une maladie

temps nous parlerons des nombreuses conséquences qui en découlent et proposerons enfin quelques précautions. Définitions de la grossesse La grossesse ou gestation est l'état d'une femme enceinte, c'est-à-dire portant un embryon ou un fœtus, en principe au sein de l'utérus, qui est dit gravide. En général, elle fait suite à un rapport sexuel, et débute selon les points de vue à partir de la fécondation (fusion d'un ovule et d'un spermatozoïde) ou de la nidation (implantation

étudier du fait de leur taille : Homme : 100 µm= 1000x plus petit que Xénope Segmentation bilatérale, marquée par le fait que pendant les divisions, les cellules se répartissent de part et d’autre des axes antéro-postérieur et dorso-ventral du futur embryon. Segmentation partielle ou méroblastique, cellule œuf se divise à la surface, le vitellus ne se divise pas. Ex : poisson zèbre Segmentation discoïdale, les divisions sont restreintes à une région cytoplasmique dépourvue de réserves vitellines. La

grands progrès dans le domaine au cours des dernières années, en particulier quant à son application sur l’être humain. Ainsi, une équipe de chercheurs de l’Université Cornell a modifié génétiquement un organisme humain. Ceux-ci ont intégré dans un embryon humain un gène codant la synthèse d’une protéine fluorescente, par l’intermédiaire d’un vecteur viral (pour les organismes multicellulaires, il faut recourir à la fécondation in vitro). Le but étant d’étudier, dès la conception de l’être humain, la

cellule-œuf de la brebis à face noire, elle devait alors s'assurer que la cellule obtenue deviendrait un embryon. Ils la cultivèrent pendant six ou sept jours afin de vérifier qu'elle se divisait et se développait normalement avant de l'implanter dans une mère porteuse, une autre brebis Scottish Blackface. Dolly avait une face blanche. Les 277 fusions de cellule donnèrent naissance à 29 embryons qui furent implantés dans 13 mères porteuses. Un seul d'entre eux se développa jusqu'à l'âge adulte et l'agneau

accessibles à la ponction ménopause précoce p p ovariectomie maladie génétique grave Cryopréservation du sperme et des embryons C és ti d s td s b s Traitement hormonal substitutif UE2 Contrôle procréation et AMP 2010/2011 Dr E CHEVRET Grossesse pour autrui Intervenir une femme porteuse Couple demandeur Insémination sperme conjoint embryon obtenu par FIV UE2 Contrôle procréation et AMP 2010/2011 Dr E CHEVRET Insémination artificielle avec sperme du conjoint

OVARIENNE Durant chacun des cycles, l’ovulation ne produit qu’un seul ovule destiné à la fécondation. La stimulation ovarienne est vouée à engendrer la fabrication de plusieurs ovocytes* par l’ovaire afin d’optimiser les chances d’obtenir un embryon viable. Si un seul ovocyte était mis en fécondation, les probabilités d’une grossesse seraient minces. Les médecins se sont donc trouvés dans l’obligation de provoqués la maturations de plusieurs follicules*, pour ainsi extraire plusieurs ovocytes

jours plus tard deux à trois embryons (jamais plus de 5) sont formés. Un ou deux sont réimplantés dans l’utérus de la future mère. Si l’implantation échoue, on redépose les embryons restants pour une nouvelle tentative. Cette technique obtient 15 à 20 % de réussite dont 27 % de naissances multiples. En France, 11 000 naissances sur 750 000 sont dues au FIVETE. Cependant, un problème posé revient souvent : si l’implantation réussit du premier coup, que faire des embryons formés restant ? Fautil les

avoir un enfant indemne de cette pathologie. Dans un premier temps, les médecins "fabriquent" des embryons in vitro à partir des ovules de la mère et des spermatozoïdes du père. Ils prélèvent ensuite une cellule sur chaque embryon - lorsque ces derniers ont atteint le stade de huit cellules - et les soumettent au diagnostic génétique. Enfin, ils réimplantent dans l'utérus de la mère les seuls embryons non porteurs du gène malade. Il faut souligner que si cette technique était étendue plus largement

procréation qui se pratique généralement en cas d'infertilité féminine liée à l'absence d'utérus, ou à sa déformation. La mère porteuse porte l'enfant d'un couple qui a fourni ses embryons. Elle ne fournit pas de contribution génétique, c'est-à-dire un ovule, mais prend en charge le « développement in utero » d'un embryon et, à la naissance, remet l'enfant à la « mère sociale », qui peut aussi être la « mère génétique » de l'enfant si le couple n'a pas eu recours à un don d'ovule, et à son père  Développement