Émile Guillaumin

poncifs. Émile Guillaumin, paysan d'Ygrande, ouvre une voie nouvelle. Fort de sa seule instruction primaire et de ses lectures, il va être, pour la première fois dans la littérature française, un paysan écrivant sur les paysans, gagnant une notoriété internationale avec son roman La Vie d'un simple. Plan et Problématique: Il était une fois, La vie paysanne des années 1873-1951 à travers celle d’un célèbre auteur, Émile Guillaumin...

BIOGRAPHIE : Paul Cézanne est né en 1839 à Aix-en-Provence, son père le destinait au droit mais Cézanne entreprend sans enthousiasme ses études a l'Université d'Aix. Ami de longue date avec Emile Zola, il est poussé par celui-ci a aller a Paris ou il s'établie en 1862 et rencontre Pissarro, Guillaumin, Renoir, Monet, Sisley. Durant l'année 1869 il rencontre Hortense Fiquet avec qui il aura un fils en janvier 1872. Il cachera cette liaison et cette naissance a son père qui n'apprendra qu'en 1876

situation que cinq ans plus tard, avant de s'établir comme banquier. Cezanne fit toutes ses études à Aix, acquérant une solide culture classique et se liant d'une profonde amitié avec quelques-uns de ses camarades de collège, au premier rang desquels Émile Zola, alors son confident le plus intime. Son père le destinait au droit, et il s'inscrivit à la faculté d'Aix en 1858. Sa vocation artistique était pourtant déjà suffisamment affirmée (il avait suivi les cours de l'école gratuite de dessin depuis

solide culture classique. Parmi ses camarades de collège, une certain Emile Zola devient son son confident le plus intime. A partir de 1857, il suit les cours de l'école municipale de dessin. En 1858, cependant, malgré sa vocation artistique et pour faire plaisir à son père, il s'inscrit à la faculté de droit d'Aix. En 1861, son père accepte qu'il monte à Paris où il fréquente l'Académie Suisse. Il rencontre Pissarro et Guillaumin. Il se présente au concours d'entrée à l'Ecole des Beaux-Arts mais

prédestiné à reprendre la banque paternelle. Emile Zola, l’un de ses meilleurs amis de l’époque, l’encourage à partir à Paris pour réaliser son rêve; devenir peintre. Cézanne finit par obtenir de son père, qui subvient à ses besoins, l’autorisation pour un premier séjour dans la ville lumière. Une fois arrivé à la Capitale, en 1861, il s’y sent mal, échoue au concours d'entrée à l'Ecole des Beaux-Arts mais il y fait tout de même la connaissance de Guillaumin et de Pissarro en fréquentant l’académie

et un | |soutien moral et matériel. Vincent fréquentera l'atelier du peintre français Fernand Cormon, où il exécutera durant quelques mois des | |études et des dessins d'après des modèles en plâtre. Il deviendra l'ami de Pissarro, Gauguin, Emile Bernard et Toulouse-Lautrec qui | |influenceront son oeuvre. | |Van Gogh apprendra la technique le la lumière et de la couleur des

impressionnistes. Il rencontre une jeune danoise , Mette-Sophie Gad, qu'il épouse en 1873. Elle lui donnera 5 enfants.  LE PEINTRE DU DIMANCHE, ELEVE DE PISSARRO La Seine au Pont d'Iéna, temps neigeux  1875 Musée d'Orsay, Paris |   | Avec son ami Emile Schuffenecker, un collègue de bureau, peintre amateur, il va peindre en banlieue. A ses débuts Paul Gauguin peint dans le style de Corot, et sera même admis au Salon de 1876.En 1874, chez les Arrosa, il rencontre Pissarro , qui va l'initier au paysage

mais pensait à arrêter pour faire des études d'Arts à Paris. Il finit par obtenir de son père l'autorisation pour un premier séjour parisien au printemps et à l'été de 1861, lors duquel il fréquente l'Académie Suisse, où il rencontre Pissarro et Guillaumin, mais échoue au concours d'entrée à l'Ecole des Beaux-arts. Il revient à Aix travailler dans la banque paternelle, mais repart un an plus tard pour Paris où il se réinscrit à l'Académie Suisse. Cézanne, définitivement, a décidé d'être peintre.

l'esprit éclectique caractéristique du Second Empire, Cabanel mêle les références à Ingres et à la peinture du XVIIIe siècle. Mais le thème mythologique n'est plus ici qu'un prétexte pour aborder le nu dont l'idéalisation n'exclut pas la lascivité. Emile Zola dénonce l'ambiguïté de cette représentation : "La déesse, noyée dans un fleuve de lait, a l'air d'une délicieuse lorette, non pas en chair et en os - cela semblerait indécent - mais en une sorte de pâte d'amande blanche et rose". L'engouement

était absent, non qu’il ne veuille pas exposer chez un photographe, comme le prétendent les esprits mal intentionnés, mais parce qu’il ne souhaite pas s’opposer au Salon officiel où il expose. Parmi les participants, figurent Boudin, Cézanne, Degas, Guillaumin, Monet, Berthe Morisot, Pissarro, Renoir, Sisley ; La désagrégation du groupe sera consommée en 1886. Entre ces deux dates, une révolution de la peinture est dite. Paul Durand-Ruel est un marchand d’art français détenant plusieurs galeries d’art