Emirates Stadium

clubs, which led to the club becoming mired in financial problems and effectively bankrupt by 1910, when they were taken over by local businessman Henry Norris. Norris wanted to move the club elsewhere, and in 1913 Arsenal moved to the new Arsenal Stadium in Highbury, North London; Arsenal appointed Herbert Chapman as manager in 1925.Chapman brought Arsenal their first period of major success. His revolutionary tactics and training laid the foundations of the club's domination of English football

international. En effet, on peut trouver cette pratique dans les certains pays européens comme en Angleterre avec le terrain de football de l’équipe de Chelsea qui a dû changer le nom de son terrain pour s’appeler « Emirates Stadium », ou les logos sur les maillots parisiens « Fly Emirates », qui est le nom d’une compagnie aérienne. Autre exemple cette fois ci en France, avec le Stade du Mans qui se voit changer le nom de son stade pour « MMA Arena Stade ». Cette pratique va également permettre de développer

ce qui lui permettra d’ajuster le coût annuel du stade qui sera de l’ordre de 30 millions d’euros. Dans d’autres cas le naming est un financement à part entière, par exemple pour l’Emirates Stadium d’Arsenal, ce naming en chiffres, est un contrat signé dès octobre 2004 entre la compagnie aérienne Fly Emirates et le Arsenal FC d’une durée de 15 ans portant sur un versement de 147 millions d’euros sur cette période. Soit quasiment 10 millions par an, plus de trois fois le montant espérer par Lille

PSG à l’ère qatarie, risque de poser problème. “Certes le PSG a de grandes ambitions sportives, mais est-ce qu’avoir son nom sur leur maillot vaut vraiment 100 millions d’euros par an ?”. Surtout que le contrat de sponsoring maillot actuel avec Fly Emirates ne rapporte que 3,5 millions d’euros par an. Un nouveau sponsor pour le PSG ?400 Millions d’euros pour le PSG. C’est ce que la Qatar National Bank (QNB) serait prête à investir dans un contrat de sponsoring. La QNB pourrait alors figurer

L'éclatement de la bulle contraint Dubaï à rééchelonner d'urgence sa dette [pic]| 26.11.09 | 10h28  •  Mis à jour le 18.12.09 | 17h02   Londres, correspondant - Les Dubaïrotes ont la gueule de bois. Pays de la démesure, leur émirat est aujourd'hui au bord de la faillite, incapable d'honorer ses engagements financiers. Le choc de l'annonce, mercredi 25 novembre, du rééchelonnement de la dette de deux de ses groupes phares – le conglomérat Dubaï World et sa filiale immobilière Nakheel – jusqu'au

seul et même groupe. 4 1 ANALYSE EXTERNE 1.1 Analyse de la concurrence de Porter : Menaces de l’apparition de nouveaux entrants -Nouvelles compagnies de Low-Cost comme Ryan AIR et Easy Jet -Compagnies aériennes issues du golfe persique (Fly Emirates) -Barrières a l’entrée forte car il est nécessaire de réaliser de gros investissements de départ Menace faible Pouvoir de négociation des fournisseurs Intensité de la concurren ce Pouvoir de négociation des clients Kérosène -Peu de concurrence

Saviez-vous que Nike est un des sponsors du PSG ?  Oui  Non Partie 2 - La marque Fly Emirates Connaissez-vous la marque Fly Emirates ?  Oui  Non Trouvez-vous que la marque Fly Emirates est une marque sympathique ?  Tout à fait d'accord  Plutôt d'accord  Ni d'accord, ni pas d'accord  Plutôt pas d'accord  Pas du tout d'accord  Ne se prononce pas Trouvez-vous que la marque Fly Emirates est proche de vous ?  Tout à fait d'accord  Plutôt d'accord  Ni d'accord, ni pas d'accord

chaque jour proposer des contrats et des produits intéressants tant d’un point de vue de qualité que de prix. Mais, Airbus semble dominer avec notamment : 2007 : La plus grosse commande de l'histoire d'Airbus devient celle de la compagnie Fly Emirates Airlines, ayant annoncé l'achat de soixante-dix futurs A350 et onze très gros porteurs A380. Contrat estimé à 20,2 milliards de dollars. 2008 : EADS remporte face à Boeing un marché militaire historique (de ravitailleurs) de 35 milliards de dollars

et même groupe. 4 1ANALYSE EXTERNE 1.1 Analyse de la concurrence de Porter : Menaces de l’apparition de nouveaux entrants -Nouvelles compagnies de Low-Cost comme Ryan AIR et Easy Jet -Compagnies aériennes issues du golfe persique (Fly Emirates) -Barrières a l’entrée forte car il est nécessaire de réaliser de gros investissements de départ Menace faible Pouvoir de négociation Intensité de la Pouvoir de négociation des fournisseurs concurren ce des clients

présenter son dernier-né depuis qu’il a réalisé son vol inaugural le 16 septembre. Le salon de Dubaï, lancé en 1989, est devenu un événement majeur pour les avionneurs étant donné la croissance rapide des transporteurs aériens de la région, dont Emirates, Etihad et Qatar Airways.