Emmanuelle Bercot

Pour Kant, la fin de l’être humain est de « penser par soi-même », comme l’indique la devise des Lumières selon lui : « Ose te servir de ton propre entendement ». Ce n’est donc plus à des autorités extérieures (religion, société, pouvoir politique, etc…) de définir à la place de l’être raisonnable (l’homme) ce qui est bien ou mal. C’est en lui-même, en sa propre conscience, que l’être humain doit chercher la réponse à ses interrogations d’ordre moral. Ce qui ne signifie pas pour autant faire ce que

Schelling. Il travaille ensuite comme précepteur, journaliste et, dès 1801, commence une carrière universitaire qui le conduira jusqu’à Berlin, où il occupera la chaire d’université de Fichte. Il meurt en novembre 1831 du choléra. Kant (Emmanuel) : (1724-1804) Emmanuel Kant est né en Prusse, à Königsberg, où il devient professeur et qu’il ne quittera jamais. Il reçoit de sa mère, luthérienne piétiste, une éducation morale très rigoureuse. Son existence est austère et d’une régularité qui, raconte-t-on

III- LA TEMPORALITE DU DESIR. 4 – PEUT-ON MAITRISER SES DESIRS ? La possibilité de ne pas être esclave de ses passions. a) Le souverain bien et les biens relatifs (Aristote 4ème s.) Tous les hommes recherches le bonheur. Or, comment expliquer que si peut d'homme soit heureux ? → Pourquoi ? Parce qu'on se trompe sur l'objet du bonheur, sur ce qu'il faut pour être heureux. Le bonheur est une fin finale. (= le but ultime). Et pour parvenir à cette fin, il y a des moyens. (moyen

Le beau traduit ce sentiment de plaisir que nous avons à contempler une chose. Quand on dit d'une personne, d'un objet, ou même d'une idée qu'il est beau , c'est lui apporter une certaine propriété jugée comme positive : la beauté. Cette beauté est-elle dans la chose-même, ce qui supposerait qu’il y a des choses belles et des choses laides en elles-mêmes ou dans notre façon de voir et de représenter les choses alors n’importe quoi peut devenir beau ou laid, selon notre sentiment ou selon la manière

I. Premièrement , l’obéissance est inéluctable. En effet dès le plus jeune âge , l’enfant n’étant pas suffisamment mature ,est encadré par ses parents. Ses parents lui apprennent à obéir . Il en est de même pour l’école, dans la relation maître-disciple , le maître apprend à l’élève à respecter des règles. Le corps de ce dernier doit répondre aux attentes du professeur , on pourrait parler de « dressage de corps «  . Il est vrai que l’élève se doit de se tenir droit sur sa chaise, se taire , ne

DM philo texte de Berkeley Idéisme et idéalisme dogmatique chez Berkeley Berkeley supprime le référent des idées. Il n'y a plus de problème de réalisme. Selon Berkeley: l'idée de cheval, bien comprise, n'est pas incompatible avec le fait que le cheval disparaisse dès qu'il n'est plus perçut. Berkeley pense que les objets continuent d'exister quand nous cessons de les regarder: ils sont perçus par Dieu. Deux conceptions de la pensée et de la connaissance: le réalisme direct et l'idéisme

connaissance rigoureuse et précise, la science est souvent reconnue pour ce qui se fait de mieux en matière de savoir. Rien n'est plus « vrai » que ses énoncés, et nous pouvons nous en remettre à elle en toute confiance précisément parce qu'elle ne table jamais sur cette confiance, et non seulement permet, mais encore exige que nous déposions nos préjugés et nos croyances. Que la science évolue dans un autre univers que celui des convictions et des opinions, c'est une assertion que n'ont cessé

Introduction à la Petite Logique in Morceaux choisis (Gallimard) de Hegel. Citation : « L'on trouve dans la préface de la Philosophie du Droit ces propositions : Ce qui est rationnel est aussi réel, et ce qui est réel est aussi rationnel. Ces propositions bien simples ont été vivement attaquées [...] Mais en ce qui concerne leur signification, pour la bien saisir, il faut se pénétrer de ce principe que Dieu est la réalité la plus haute et la seule réalité, et que, relativement à la forme, l'existence

alignments with other thinkers. However, his work as a whole demonstrates conclusively that Husserl worked out his sense of phenomenology in the context of a continuous and profound negotiation with Kant’s critical philosophy. 3 As one might expect Emmanuel Levinas accentuates the alterity of the intentional relation. The analysis offered in his essay ‘Intentionality and Sensation’ from 1965 also anticipates Derrida’s key notion of the role of iteration in time-consciousness and thereby identifies one

Le savoir absolu ne décrit pas la totalité du réel, ce qui serait délirant malgré ce que Kojève a pu laisser croire[réf. nécessaire], c'est un savoir sur le savoir, la conscience de soi du savoir comme savoir d'un sujet. C'est l'unité du subjectif et de l'objectif[63], passage à la logique qui est bien une vérité définitive, un savoir absolu bien que formel et sans contenu encore. On peut même dire que la conscience du caractère subjectif du savoir est aussi le savoir de l'insuffisance du savoir