Empire allemand

et profondément marquées par ces bouleversements ? I La Grande Guerre : une guerre différente. A. La montée des tensions. En 1914, la tension est à son comble entre la triple entente (France, Royaume Uni, Russie) et la triple alliance (empire allemand austro-hongrois et l’Italie). Par tout le nationalisme se renforce (même des minorités nationales). L’international socialiste défend la paix mais est peu suivi. En juillet 1914 le socialiste Jean Jaurès pacifiste convaincu est assassiné par un

y a eu quatre essais précédent. La IIIème république a duré 70 ans cependant rien au départ ne laissé présager qu’elle durerait aussi longtemps. En effet en 1870 la IIIème république accouche dans la guerre contre la Prusse débutée par le second empire. Pendant ses 10 premières années de vie, elle restera dans l’incertitude d’être renversé pour un rétablissement de la monarchie en France. Malgré le contexte hostile, la décennie 1870-1880 permet de voir que même une France abattu, humilié et au

britannique pendant la Conférence de Paris, il démissionne de ses fonctions le 7 juin 1919, lésé par la direction que prenait les négociations de paix. Mais il pu néanmoins faire appliquer certaines de ses revendications, comme le déblocage de l’or allemand pour payer la nourriture qu’on leur fournit, ou encore que le montant des réparations serait défini par une commission interalliée, sans pour autant que l’ensemble de ses suggestions soit écouté. C’est alors qu’il rédigea les Conséquences économiques

social-démocratie dans les années 1920 . . . . . . . . 2.3 La gauche allemande face au nazisme . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 4 4 5 3 Le socialisme dans une Allemagne divisée (1945-1989) 3.1 La renaissance des partis socialistes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2 L’évolution de la RDA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3 A l’ouest, le SPD sans Marx . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 5 5 6 4 Le socialisme allemand depuis 1990 4.1 L’effondrement du communisme . . . .

principaux sentiments des nationalistes à la veille de la guerre. I. La République des patriotes : A. Les provinces perdues : L'armistice a été conclu entre Jules Favre (ministre des Affaires Étrangères) et le chancelier du nouvel Empire allemand Bismarck le 28 janvier 1871. Le 26 février, avec le traité de Versailles, la France s'engage à payer 5 milliards d'indemnités en 3 ans et surtout perd l'Alsace et la Lorraine. La majorité des députés s'est résolue à accepter des conditions du

politique se révèle d'ailleurs plus patriotique que républicaine. 2)Lavisse le patriote Pierre Nora a parlé de « dogmatisme patriotique » à propos de Lavisse tant la patrie occupe une place importante pour lui. Lavisse est très attaché au II Empire, en effet il réalise une carrière brillante sous celui-ci. Même après la chute de 1870 il reste longtemps fidèle à l'espoir d'une restauration impériale. Ce n'est qu'en 1878 qu'on peut observer un changement puisqu'il écrit : «  Je pensais jadis

Allemagne, près de la porte de Brandebourg. Il est actuellement le siège du Bundestag, le Parlement national de la République fédérale d’Allemagne. Celui-ci correspond au pouvoir législatif, il rassemble les députés qui votent les lois. Le Parlement allemand a un rôle important car l’Allemagne est un régime parlementaire. Dans un tel régime, le Gouvernement (pouvoir exécutif) peut être renversé par le Parlement devant lequel il est politiquement responsable. Les membres du Gouvernement ne sont pas

patrie en cherchant « union sacrée », et soutenir celui qui apparait adonc à l'égal de son fleur défenseur : le chef. Ainsi Otto von bismarck qui vouloir de unité allemande incita t-il la feu franco-prussienne de 1870. Révoquer que allemagne y avoir à époque qu'une fédération États indépendants, et que la guerre permit homogénéiser Empire allemand sous la ornement prussienne, ce qui fut avènement de allemagne bismarckienne qui enchaîner seule europe continentale pendant près de trente ans.du surgir de

union sacrée », et stimuler celui qui se déclarer alors non moins que son meilleur tutélaire : le chef. À L'exemple De Otto von bismarck qui rêvait de unité allemande appeler t-il la guerre franco-prussienne de 1870. Rappelons que allemagne était à temps qu'une confédération États indépendants, et que la guerre permit unifier Empire allemand sous la ornement prussienne, ce qui fut avènement de allemagne bismarckienne qui commander seule europe continentale pendant près de trente ans.du surgir de

à travers l'histoire, il convient de s'interroger sur l'impact de ces systèmes d'alliances sur les équilibres entre nations dans les relations internationales. Le concert européen, présent tout au long du 19ème siècle, est bouleversé par l'unité allemande et les systèmes bismarckiens, Bismarck offre pourtant un système d'alliance équilibrée mais qui se fissure rapidement après sa chute en 1890 et l'avènement de la Weltpolitik de Guillaume II. Ainsi, le « siècle de fer » introduit une nouvelle façon