Empire Du Mal Reagan

2006 RICHET I., La religion aux EU, PUF, Paris, 2001. FROIDEVAUX-METTERIE C., Politique et religion aux EU, La découverte, Paris, 2009 LACORNE D., De la religion en Amérique, Gallimard, Paris, 2007 Mc NAUGHT M., La religion civile américaine de Reagan à Obama, Presses universitaires de Rennes, 2009 KEPEL G., La revanche de Dieu, Seuil, Paris 1991. L’Histoire n°376, Atlas des Amériques, mai 2012. GOUSSOT M., Les Etats Unis : société contrastée, puissance contestée, La Documentation photographique

sociale ». L’État providence s’oppose à la vision d’un État gendarme, dans laquelle l’intervention publique se limite aux fonctions dites régaliennes (police, armée, justice). En France, origine contestée du terme : Développé au Second Empire par des républicains français qui critiquaient la philosophie trop individualiste de certaines lois (comme la loi Le Chapelier[] qui interdisait les syndicats), et préconisaient un « État social ». Employé pour la première fois par le député Emile

rôles de superpuissance aux côtés de l’URSS. Les années 50-60 sont marquées par Martin Luther King et l’assassinat du président Kennedy en 1963. Les années 60 sont également marquées par la crise des missiles de Cuba. La nouvelle politique de Ronald Reagan au cours des 1981 à 1989 est un succès dans le pays mais aussi à l’étranger, notamment avec l’URSS. A partir de la fin de la Guerre froide, les Etats-Unis deviennent la seule hyperpuissance dans le monde. Dans les années 1990, c’est le début des

Une nation est un ensemble de codes culturels communs partagés de commun accord. 1. Tous les Etats ne sont pas de Etats-nations ; de plus, l’Etat-nation peut évoluer. 2. De nombreux Etats sont plurinationaux (Empire ottoman, Union soviétique, Yougoslavie, Empire austro-hongrois) 3. Il existe –peut-être- des nations sans Etat (région flamande, Kurdistan, nation juive, nation arabe, etc.) 4. La structure étatique est affectée par une érosion de ses compétences :

de Keynes (keynésianisme). DIA (caricature) ex po des grands travaux aux EU, Roosevelt profonde influence jusq crise 1970, où échec de cette po. → certains ho po décident de revenir au libéralisme pour sortir de crise : GB de M Thatcher et EU de R Reagan.  fin XXe, aussi de nv triomphe du libéralisme tjrs contesté, ds cadre de mondialisation, par altermondialistes : croissance non seult porteuse d'inégalités mais aussi de dégradations (pollutions ...) >>donc on peut dégager 3 périodes de croissance

plus décomplexée : la vitalité économique de la chaîne tient en grande partie à sa capacité à exploiter ses employés jusqu’à la lie. La deuxième, celle de Susan Strasser, remonte l’histoire de la marchandisation de masse pour trouver les racines du mal Wal-Mart, alliance de marketing conservateur et de calculs économiques ultra-libéraux. Une alchimie socialophage déjà concoctée auparavant par d’autres enseignes, comme Woolworth . Maison mère et dépendance : la "famille" Wal-Mart Wal-Mart est comme

sa marine de guerre et en implantant de nombreuses bases dans le monde. Reagan relance alors le vieil antagonisme en parlant d’  « Empire du mal ». Il défie l’URSS en implantant de nouveaux missiles en Europe et en lançant son projet de défense stratégique (IDS) ou « guerre des étoiles » en 1983. Moscou ne pourra pas suivre. L’URSS se fait devancer technologiquement. C’est signe que le système économique communiste va de mal en pis, contrairement à celui du monde capitaliste. Par ailleurs, les Américains

| | |1981 : élection de Ronald Reagan : "America is back" | | |( période de tensions | | |( URSS = "Empire du Mal" | |

Entente, mais leurs dirigeants ont aussi activement participé aux négociations qui ont remodelé la géographie politique de l'Europe. La 2nde guerre mondiale sonne le glas de la domination des puissances européennes sur le monde et signe la fin des empires coloniaux que ce soit ceux des vainqueurs ou des perdants. A la suite de ces deux guerres, les USA ont montré leur capacité à mobiliser tout leur moyen économique, technologique et politique afin de vaincre le nazisme ainsi que la puissance militaire

Pour ses adeptes, « le réalisme serait une politique active alors que l’idéalisme procéderait d’une matrice intellectuelle associée à la passivité »[24] et c’est, sans hésitation, la politique sécuritaire et intransigeante de Reagan qui aurait mis fin à l’ « empire du mal ». Mais, selon l’auteur, la « froideur du réalisme [a] masqué la profondeur du moment libéral »[25] déjà perceptible à l’époque reaganienne[26]. L’effondrement soudain de l’Union soviétique place les Etats-Unis en situation