En Quoi Bel Ami Est Il Arriviste

| |HATIER Annabac 2006 |Invention : Vous écrirez le dialogue entre deux lycéens qui, après leur lecture | | |du corpus, se posent la question suivante : en quoi la poésie nous | | |concerne-t-elle vraiment ? | |L’obscurité en poésie (corpus 6, p. 319) |Question : Quels poèmes

chez eux, mais l’ambiance est tendue entre les époux. De plus, les problèmes d’affaires de M. Arnoux n’arrangent pas les choses. Mme Arnoux est envoyée chez Frédéric pour lui demander de l’aide grâce à son contact avec le banquier M. Dambreuse, un ami de la famille. Mais depuis l’aide fournie aux Arnoux, plus de nouvelles. Un jour, il se rend donc en campagne sur leur domaine en sachant que Mme Arnoux s’y trouvait seule. Il fit quelques allusions sur ses sentiments, que Mme Arnoux rejeta en faisant

Aussi, on peut se demander quelles sont les pratiques culturelles, intellectuelles, économiques, sociales et politiques de la société de la cour au XVème siècle ? En quoi les pratiques culturelles, sociales de la cour sont-elles au coeur d'enjeux de pouvoirs et de luttes d'influence ? Dans un premier temps, nous verrons en quoi la cour constitue un modèle de civilisation, puis nous nous interresserons au faste et à la théatralisation inhérents au milieu de la cour et enfin nous verrons à quel

Gentilhomme de Molière * Le Jeu de l’Amour et du Hasard de Marivaux * Les Fourberies de Scapin de Molière * Les Caprices de Marianne de Musset * Le Malade Imaginaire de Molière * Hernani de Victor Hugo * Candide de Voltaire * Bel Ami de Maupassant * Bérénice de Racine * Zadig de Voltaire ( 1877 ) L’assommoir, Emile Zola : un roman naturaliste Résumé : L'Assommoir raconte la grandeur puis la décadence de Gervaise Macquart, blanchisseuse dans le quartier de la Goutte-d'Or

à signer le texte de la monarchie constitutionnelle - pour but de porter la voix de l’auteure et ses revendications. - un pamphlet et une réécriture féminine de la DDHC, de 1789 - L’extrait étudié est le postambule de cette œuvre Problématique: En quoi ce texte constitue-t-il une incitation pour les femmes à se battre pour leurs droits ? Plan 1 e mouvement: l.1-9: a pour but de sonner l’alarme et cherche à réveiller la femme. 2e mouvement: l.9-13: celui-ci va chercher et pousser à l’indignation.

la pension qui porte son nom. Ses pensionnaires sont des êtres mesquins comme Poiret et mademoiselle Michonneau, ou sans éclat comme la jeune Victorine Taillefer. Trois personnages émergent de cet univers médiocre : Eugène de Rastignac, un jeune et bel étudiant en droit, candide provincial, tout juste sorti de sa famille aristocratique mais sans le sou. Le vieux Père Goriot, un marchand de vermicelle qui s'est fabuleusement enrichi pendant la Révolution, et semble cacher une grande passion pour les

durant des centaines de pages, l'intéresser à sa vie. Pour atteindre ce but, l'écrivain doit donc faire en sorte que son lecteur joue un rôle dans l'œuvre et qu'il s'attache au personnage principal. C'est pourquoi il s'adresse souvent à lui comme à un ami. Les confessions sont aussi des confidences. A plusieurs reprises, on y trouve l'emploi de l'impératif: «écoutez...», les questions impersonnelles: «Qui pourrait croire que...» ou encore l'emploi de l'apostrophe: «Lecteur pitoyable ! Partagez mon affliction

| |- Ponge, Proêmes |Invention : Vous écrirez le dialogue entre deux lycéens qui, après leur lecture du corpus, se posent la question suivante : en quoi la poésie | |HATIER Annabac 2006 |nous concerne-t-elle vraiment ? |

entraîner le fait d’avoir un enfant sans père. Ce qu’elle n’appréciait pas du tout, c’était que des étrangers, ayant eu vent de sa situation, lui posent des questions indiscrètes. Un jour, elle est allée dîner au restaurant avec un ami et un autre couple. Cet ami, qui approuvait tout à fait la démarche qu’elle avait suivie, a raconté l’histoire de Chloé à l’autre couple, dont la femme, à laquelle Chloé venait d’être présentée, a immédiatement fait des commentaires d’un ton impoli et hostile : «

son enterrement au cimetière du Père-Lachaise, Victor Hugo prononce cette magnifique oraison funèbre : « Tous ses livres ne forment qu'un livre, livre vivant, lumineux, profond, où l'on voit aller et venir, et marcher et se mouvoir, avec je ne sais quoi d'effaré et de terrible mêlé au réel, toute notre civilisation contemporaine, livre merveilleux que le poète a intitulé Comédie et qu'il aurait pu intituler Histoire […] À son insu, qu'il le veuille