En Quoi L Art Dénonce T Il La Guerre

L’Eloge de l’Inconstance Objectif : Approfondir l’étude du personnage de Dom Juan en analysant son art de la séduction rhétorique. Support : Molière Dom Juan 1665 I, 2 « Quoi tu veux qu’on se lie […] mes conquêtes amoureuses » Introduction : Après le départ de Gusman, Dom Juan apparaît pour la première fois sur scène ; cette entrée va permettre au spectateur de confronter le personnage principal à l’image renvoyée par les paroles de Sganarelle. Au début de la scène le valet reproche à son maître

Introduction Jean Hélion (1904-1987) est un peintre abstrait devenu figuratif il amorce son passage vers une nouvelle figuration juste avant la guerre de 1939. En 1930, Jean Hélion s’impose dans l’histoire de l’art moderne en fondant, avec Théo van Doesburg, Otto Carlsund et Léon Tutundjian, la première avant-garde française vouée à un art radicalement abstrait (Art concret), qui devient en 1931 le mouvement Abstraction-Création, dissout en 1936. Mais c’est à partir de ces années qu’Hélion évolue de plus

de modifier cette relation et tout au moins d’y renforcer sa position relative. Rapport de force ou chacun veut améliorer sa position. Guerre est un type de conflits mais pas = à conflit. Conflit est inverse de la violence, phénomène GF pas de conflit direct mais provoque des conflits + en + violent. Conflit pas toujours violent. G régulière: déclaration de guerre, convention de la Haye 1907, autorisation par l’état, action codifié par des lois. Clawewitz: « G n’est que la continuité de la politique

La littérature engagée : « Il me semble d’ailleurs qu’on ne devrait lire que les livres qui vous mordent et vous piquent. Si le livre que nous lisons ne nous réveille pas d'un coup de poing sur le crâne, à quoi bon lire ? Pour qu'il nous rende heureux, comme tu l’écris ? Mon Dieu, nous serions tout aussi heureux si nous n'avions pas de livres, et des livres qui nous rendent heureux, nous pourrions à la rigueur les écrire nous-mêmes. En revanche, nous avons besoin de livres qui agissent sur nous

le poète engagé mis ,par son engagement, au service d’une cause comme Aragon ou Hugo. Nous allons discuter le point de vue de Stéphane Mallarmé, « Ce n’est point avec des idées que l’on fait de la poésie… c’est avec des mots » en nous demandant en quoi les mots et les idées peuvent-ils se démarquer autant l’un de l’autre bien qu'ils composent tous deux la structure poétique. Pour répondre à cette problématique nous verrons dans un premier temps que la poésie nécessite un véritable travail sur le

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visée de l’auteur. Son devoir est aussi de rendre son écrit plaisant à lire. Ainsi, on peut se demander s’il est indispensable que la littérature ne serve qu’à défendre ou dénoncer un certain point de vue, ou si elle peut se limiter au seul plaisir du lecteur, tout comme celui de l’écrivain. Il convient d’abord d’étudier en quoi la littérature se doit d’être engagée, puis nous montrerons également qu’elle offre une autre dimension à ses lecteurs: le plaisir. D’abord, qu’est-ce que la littérature

en illustrant chaque mouvement par un poème et une peinture représentative. Les mouvements littéraires du XIXe siècle illustrés par des ouvres littéraires et artistiques I/ Le Romantisme (1820-1850) Présentation Le «Romantisme» désigne un art, une pensée et un état d’âme caractéristiques de l’époque 1820-1850. Des écrivains dits préromantiques réagissent contre le rationalisme du siècle des lumières. Ce mouvement littéraire est en rupture avec les règles, le goût et le « beau » classique

Renaissance, était fondé sur la réécriture. L’imitation des modèles antiques était perçue comme un signe de bon goût et un gage de sérieux. L’époque classique valorisait également l’imitation des anciens. Les Classiques, notamment Nicolas Boileau dans son Art Poétique, rendaient hommage à leur talent. D’après ces auteurs, les anciens ont créé tout ce qu’il était possible de créer et désormais il n’est plus possible que de changer la formulation. À leur manière, les auteurs des Lumières réécrivent aussi

faire les liaisons. • Prononcer ou non le e ? L’élision est le fait de ne pas compter un son qu’on ne prononce pas parce qu’on ne l’accentue pas. On parle de e caduc ou e muet en fin de vers, mais aussi devant une voyelle ou un h muet, devant quoi il s’élide. « Pré/ten/dai/t a/rri/ver/ san/s en/com/br[e] à/ la/ vill[e] » (La Fontaine) = 12 syllabes En revanche, le e se prononce devant une consonne ou un h aspiré. « J’im/plo/re/ ta/ pi/tié/, Toi,/ l’u/ni/que/ que/ j’aim[e] » (Baudelaire) =