En solitaire

fer, que la religion n'est pas l'unique chemin vers le bonheur et qu'il est d'ailleurs de loin le pire qu'un homme puisse suivre. Ce poème est provocateur car il contredit de ce fait les convictions de la religion. Dans Les Rêveries du promeneur solitaire, Rousseau développe lui aussi sa conception personnelle du bonheur, en opposition avec celle de Voltaire puisque celle-ci repose sur la simplicité et l'osmose avec la nature.

insatisfactions générales. Rousseau distingue l’homme de l’animal par sa perfectibilité. L’homme est bon, c’est la société civile qui l’a corrompu ; il lui appartient donc de retrouver les lois naturelles. Les Confessions et Les Rêveries du promeneur solitaire fondent l’autobiographie, l'auteur s'y livre à une observation approfondie de ses sentiments intimes. IV. L’ introduction de Les Confessions Les Confessions de Rousseau est une autobiographie couvrant les cinquante-trois premières

Dans un extrait des Pensées (1670) de Pascal, dans Le Philosophe scythe de La Fontaine, dans Le Mondain (1736) de Voltaire et dans les Rêveries du Promeneur solitaire (1776-1778) de Rousseau, le bonheur de ces auteurs est évoqué. Nous allons voir à quoi se rattache-t-il. Tout d’abord, certaines personnes trouveront le bonheur dans les choses simple de la vie comme la nature. La Fontaine oppose dans son poème un homme qui aime son jardin : > L. 7 à un vieillard austère : > l. 25.

Lecture analytique 3 Les rêveries du promeneur solitaire, JJ Rousseau 1782 LA REVERIE A. La rêverie: une méditation sur le bonheur au sein de la nature. -Lieux conduisent à rêverie, lacs agités, montagne. -Cp lexical de l'eau (fait naître rêverie) « flux et reflux » (l.9) « vague » (l.6) paragraphe 1 > mouvement de l'eau qui symbolise mvt de l'âme et du bonheur > multiple de rêverie « rêver » « songer » « sans prendre la peine de penser » « bercer » & nostalgie. -Expérience partager

ce qui pourrait [lui] paraitre ridicule ou désavantageux pour [elle]. » Dans la même idée, Rousseau, au moment de l’écriture de ses Confessions, est un homme résigné et éprouvant un dégout intense envers l’homme. Dans Les Rêveries du promeneur solitaire, Rousseau dit : « J’écrivais mes Confessions déjà vieux, et dégouté des vains plaisirs de la vie que j’avais tous effleurés et dont mon cœur avait bien senti le vide. » - Il est impossible de se connaitre parfaitement ainsi l’auteur aura une

-Argumentation -Conclusion éventuelle -Les sources ____________________________________________________________ _______ Jeune, Vieux et Mort. Comment vivre ? L’affirmation de Jean-Jacques Rousseau tirée de ses Rêveries du promeneur solitaire tente de répondre à cette question par une autre : « La jeunesse La jeunesse est le temps d’étudier la sagesse; la vieillesse est le temps de la pratiquer. L’expérience instruit toujours, je l’avoue; mais elle ne profite que pour l’espace qu’on

attise contre lui la vindicte populaire, et sa maison de Môtiers est lapidée. Cette époque est celle de l'autobiographie : Les Confessions (commencées en 66), les Dialogues (1772-75, justification agressive), et enfin les Rêveries du promeneur solitaire (commencées en 76). Seul et malade, revenu à Paris, Rousseau entreprend de se raconter et de se justifier. Il trouve quelque consolation dans la rêverie et dans l'herborisation. Il meurt le 2 juillet 1778, laissant sa dernière œuvre inachevée.

Dire les choses comme cela serait un peu simpliste. Nous pouvons par contre dire qu’il y a un « présent des choses passées », « présent des choses immédiate » et « un présent des choses à venir ». Rousseau semble dans les Rêveries du Promeneur Solitaire avoir trouvé un état où son âme n’a pas eu « besoin de rappeler le passé, ni d’enjamber sur l’avenir ; où le présent dure toujours sans néanmoins marquer sa durée ». D’où l’idée qu’il faut « profiter » du présent : un présent sans regret ni nostalgie

Catherine II. C'est à cette période que Rousseau commence son œuvre autobiographique. Entre 1766 et 1769, il écrit les Confessions. En 1772, il entame la rédaction des Dialogues de Rousseau juge de Jean-Jacques. Les Rêveries du promeneur solitaire sont rédigées au cours des deux dernières années de sa vie. En 1778, le marquis de Girardin lui offre l'hospitalité dans un pavillon de son domaine d'Ermenonville, près de Paris : il y meurt subitement le 2 juillet 1778 de ce qui semble être

sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755) Du Contrat social (1762) Émile ou de l’Éducation (1762) Roman La Nouvelle Héloïse (1761) Récits autobiographiques Les Confessions (1765-1770) Les Rêveries du promeneur solitaire (1776)