Endettement Des Piigs

marchés. Pour eux, servir leurs dettes est de plus en plus cher et risque de devenir insoutenable. Les taux sur les emprunts publics divergent considérablement, notamment à partir d’avril 2010. La situation des pays connus sous l’acronyme anglais PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne) est considérée comme étant particulièrement problématique. En décembre 2010, le taux de la Grèce est quatre fois plus élevé que celui de l’Allemagne ; celui de l’Irlande correspond au triple du taux allemand

Il faut cependant se méfier de certains arguments, parfois amplement relayé par les médias ,  qui s’avèrent faux comme la retraite à 53 ans ou trompeurs les treizième et quatorzième mois.  D’autres relèvent plutôt du cliché, voir du mépris, comme la dénomination PIIGS pour  Portugal ­Irlande ­Italie ­Grèce ­Espagne (utilisée par certains opérateurs des marchés  financiers pour désigner les États européens fortement endettés).        Pays      Date        Notation        Grèce      Grèce      Grèce     

banques rendu nécessaire par les excès antérieurs de la dette privée. L'enchainement et le cumul de ces évènements contribue à entretenir et à développer un mouvement de stigmatisation des pays « à déficit », que certains vont même qualifier de « PIIGS » ( Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne). Suite en partie à la crise de la dette publique grecque une crise tempête boursière survient durant l'été 2011 Sommaire [masquer] 1 Causes de la crise 2 Pays à risque élevé 2.1 Grèce 2.2 Irlande

problème supplémentaire, que n’a pas l’Espagne : un endettement gigantesque. La Commission prévoit une dette équivalente à 123,5 % du PIB en 2012, le deuxième plus fort rapport d’Europe après la Grèce. Et comme le déficit ne baissera pas, le stock de dette rapporté au PIB devrait continuer à progresser. Le refinancement italien devrait donc être de plus en plus difficile. L'Italie est pour le moment le seul pays faisant partie du malheureux groupe des PIIGS (Portugal, Irlande, Italie, Grèce et Espagne)

grecque est issue de la crainte des créanciers de la Grèce sur sa capacité à rembourser sa dette publique ainsi que de payer les intérêts de cette dette. Elle résulte à la fois de la crise économique mondiale et de facteurs propres au pays : fort endettement (environ 120 % du PIB) en 2010, déficit budgétaire qui dépasse les 13 % du PIB1. Cette crise a été aggravée par le manque de transparence dont a fait preuve le pays, lors de son entrée dans la zone euro, dans la présentation de sa dette et de son

avait pour but d’empêcher que le laxisme d’un seul Etat altère la crédibilité de l’euro ; ← Le poids considérable de la finance internationale qui lui a conféré la mission de juger la soutenabilité des finances publiques caractérisées par un endettement excessif suite au fonds mobilisés pour le sauvetage du système bancaire et aux dépenses engagées en tant que plan de relance. Suivant ce schéma et sachant que la Grèce est le « maillon faible », les financiers ont commencé à douter de la capacité

................................. 25 Les subprimes .............................................................................................................................................. 27 Chapitre 3 – Politique monétaire laxiste et endettement massif ............... 31 Une politique monétaire laxiste ................................................................................................. 31 Une économie et un système financier abusant de l’effet de levier ......... 33 La faillite

banques rendu nécessaire par les excès antérieurs de la dette privée. L'enchainement et le cumul de ces évènements contribue à entretenir et à développer un mouvement de stigmatisation des pays « à déficit », que certains vont même qualifier de « PIIGS » (Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne). Suite en partie à la crise de la dette publique grecque une tempête boursière survient durant l'été 2011. Ce sujet présente beaucoup d'intérêts, étant un sujet d'actualité concernant la monnaie unique l'Euro

Juglar a mis en évidence des cycles économiques d’une dizaine d’années. En période d’expansion, le crédit est abondant mais une contraction des débouchés se produit périodiquement, ce qui réduit les recettes des entreprises. A cause de leur fort endettement, les entreprises font faillites, ce qui entraîne la crise. Ce rôle a également été souligné par le paradoxe de la tranquillité et par l’effet d’accordéon. * Le paradoxe de la tranquillité de Minsky Pour Minsky (post Keynésien), le cycle d’activité

financière, celle-ci n’est pas finie : de nombreux hedge funds sont en difficulté et cela représente une grave menace. Parce que leurs clients les délaissent au profit de placements plus sûrs et que les banques les forcent à réduire le formidable endettement sur lequel ils fondent leur fameux effet de levier, les hedge funds sont entraînés dans une course à la liquidité, ce qui se traduit par des ventes massives sur les marchés actions, ce qui est une explication importante de la débâcle boursière actuelle