Enfant

La croisade des enfants INTRODUCTION «The Big Apple », la ville de New York est un endroit propice au changement et à l’épanouissement industriel, mais surtout à la violence. C’est dans ces circonstances, probablement entre deux ou trois explosions, que Michael Cunningham a écrit son recueil de nouvelles Le livre des jours paru en 2005. Dans ce dernier, se trouvent les textes : Dans la machine, La croisade des enfants et Une pareille beauté. La croisade des enfants, nouvelle plutôt marginale

Morts les enfants Renaud En 1985, sortie de l’album "Mistral Gagnant" où l’on retrouve « Mort les enfants ». Tout d'abord engagé veux dire : « Mis par son engagement au service d'une cause », donc pour moi « morts les enfants » est une chanson engagé. Renaud traite des enfants à travers le monde et surtout de la misère, de la guerre, de tout ce qui tue des enfants sur notre terre. Il commence par les enfants de Bogota, capitale de la Colombie. Ville si pauvre qu’un enfant qui meurt de faim

Les enfants et l'argent Les tout-petits ne connaissent pas la valeur de l’argent. Ce n’est que vers 7 ou 8 ans qu’un enfant commence à compter et à évaluer la réelle valeur de la monnaie.  Donner de l’argent de poche à son enfant peut être éducatif et culturel. Nous allons nous demander combien doit-on donner d'argent à nos enfants et à quelle fréquence ? Donner de l'argent de poche ne serait pas culturel ? Tout d'abord l'argent de poche doit toujours être donné en fonction des moyens des

L. Janin J. Guillot Etude de cas Notre étude de cas porte sur un enfant de 7 ans de niveau CP qui ne respecte pas toujours les règles sociales de la classe. Il peut s’agir du fait qu’il parle trop fort, il se lève de sa chaise, qu’il crie, qu’il embête ses camarades etc. Pour le punir donc pour lui faire comprendre que ce qu’il a fait n’est pas bien et qu’il ne faut pas recommencer, son enseignant le prive de récréation. Par cela, il le prive donc de jeux, de défoulement, de vie en société

I- EVOLUTION DE L’IMAGE ET DU ROLE DE L’ENFANT DANS LA PUBLICITE : DU XIXème SIECLE A NOS JOURS Dans cette première partie, nous verrons comment les enfants apparaissent dans les publicités au cours des deux derniers siècles, quel est le public visé par les publicitaires, et quel type de produits les enfants mettent-ils en valeur. * Du début du XIXème jusqu’au milieu du XXème siècle : les affiches publicitaires La télévision n’ayant pas encore fait son apparition à cette époque, les publicités

d´essence, Un enfant meurt en silence Sur le trottoir de Bogotá On ne s´arrête pas Dechiqu´tés aux champs de mines, Décimés aux premières lignes Morts les enfants de la guerre Pour les idées de leur père Bal à l´ambassade, Quelques vieux malades Imbéciles et grabataires Se partagent l´univers Morts les enfants de Bopale, Industrie occidentale Parti dans les eaux du Gange, Des avocats s´arrangent Morts les enfants de la haine Près de nous où plus lointaine Morts les enfants de la peur

notre ambiguïté face à cet objet. Tantôt bonne fée qui nous permet de nous détendre après une rude journée de travail, de nous cultiver, de découvrir. Tantôt mauvais génie nous abreuvant de violence, de bêtises et, surtout, objet fascinant pour nos enfants, elle devient sujet de préoccupation voire de conflit avec nos petites têtes blondes et, avouons-le, nous sommes parfois dépassés, partagés entre notre besoin de protéger, de poser des limites, un cadre clair et, parfois, le besoin d’avoir un moment

REPORTAGE: Le récit des enfants-soldats recrutés contre leur gré par les Tigres tamouls Article paru dans l’édition du 03.06.09 Détenus par l’armée sri-lankaise dans un « centre de réintégration », ils veulent oublier la guerre Les Tigres tamouls avaient décidé de faire un exemple « Ils nous ont rassemblés en cercle, et au milieu, ils ont placé le garçon et sa petite sœur qui avaient essayé de s’échapper », raconte Dharuna (les noms ont été changés). Cela faisait quatre jours que la jeune fille

Dans un premier temps, Renaud traite des enfants à travers le monde et surtout de la misère, de la guerre, de tout ce qui tue des enfants sur notre terre. Il commence par les enfants de Bogotá, capitale de la Colombie. Ville si pauvre qu’un enfant qui meurt de faim sur le trottoir n’émeut plus personne. Puis il nous rappelle que certains enfants meurent à la guerre pour des idées de la génération de leurs parents. Il évoque ensuite deux pollutions dues à des explosions d’usines chimiques. La première

Pour un enfant dont les parents sont absent, c'est l’animal qui lui tient compagnie, tout en assurant (à l’enfant) une protection bien utile. Auprès d'un très jeune enfant l’animal remplacera la présence humaine beaucoup mieux que ne le ferait une poupée, un ours ou tout autre objet affectif."Pour l'enfant, l'animal correspond à une nécessité. De nos jours il est fréquent que les parents travaillens, et les enfants n'ont personne à qui parler lorsqu'ils rentrent de l'école. Plus que jamais, ils ont