Enjeu De Gorgias

l'opposition entre le récit mythologique et le discours philosophique, cette deuxième partie met en avant la complémentarité de la philosophie et du 18 19 20 21 Brisson (1982), p. 125. Brisson (1982), pp. 139-140. Brisson (1982), p. 144. C'est le cas du Gorgias, 523a-524a, qui met en scène le jugement des âmes après la mort, ou de La République, X, 617d-621b, passage dans lequel Socrate raconte le mythe d'Er. 7 mythe, envisagé cette fois comme récit didactique exprimant une pensée ou une idée abstraite

sur leur liaison. INTRODUCTION : NATURE ET CULTURE NE SONT PAS DES CHOSES Ces 2 notions sont indissociables, elles se présentent d’emblée comme liées l’une et (à) l’autre. De fait, toute la difficulté de cette réflexion et de ces enjeux réside dans le « et », c’à d dans les relations entre la nature et la culture. Nous partirons de l’idée qu’il n’existe rien de tel que LA nature tout court ou que LA culture tout court (ces 2 termes n’obéissent pas à des déterminations fixes).

les publicitaires sont en un sens les continuateurs des sophistes.Socrate s’est attaqué aux sophistes car selon lui on ne peut pas tout dire sur tout sans prendre garde à ne pas se contredire. Dans l’action de se contre-dire, il y a un enjeu éthique. Dans Le Gorgias, Socrate place des sophistes devant leurs contradictions mais surtout il montre que la reconnaissance de l’erreur et de la contradiction est en quelque sorte en reprenant des termes contemporains un acte d’authenticité. Il ne s’agit pas

liberté se trouve restreinte. C'est ici l'effet de la culpabilité que décrit Freud et qui est propre à engendrer des névroses. C/ La loi n'est bien souvent qu'un artifice destiné à empêcher l'être de réaliser sa nature. Si on suit Calliclès dans le Gorgias, celui-ci pose la loi, qu'elle soit morale ou juridique, comme un artifice utilisé par les faibles pour se protéger des forts. En effet, la nature inscrit en chacun le désir de croissance, mais ce désir entre en conflit avec celui des autres, ce qui

la classe dominante. Karl MARX, L'Idéologie allemande : l'Etat est un « instrument d'exploitation de l'homme par l'homme » Selon Calliclès, la loi est une conspiration contre nature des faibles dans leur lutte contre les plus forts. Cf. PLATON, Gorgias. Réponse : une liberté sans loi est préjudiciable à chacun et à tous. SUJET 8: La nation relève-t-elle de l’utopie ? I – DEFINITION DES EXPRESSIONS ET TERMES ESSENTIELS Nation : communauté humaine caractérisé par la conscience de son identité

juste. A l’inverse le droit naturel rencontre parfois des difficultés à faire respecter la justice. La première question, nécessaire, est alors la suivante : La force du droit coïncide-t-elle d’une manière ou d’une autre avec le droit du fort ? Cet enjeu est l’élément déclencheur de plusieurs questions essentielles: la force du droit implique-t-elle que le droit prenne le pas sur la force ? Au vu d’événements tels que la répression ultra violente qui fait rage dans la Syrie de Bachar el-Assad, ne peut-on

2.2 Explication causale des croyances 3. 2.3 Explication rationnelle des croyances 3. 3 Persuader et convaincre 4. 3.1 Persuader : langage et manipulation 5. 3.2 Convaincre : départager la vérité et l’erreur 6. 3.3 Résumé et enjeu : liberté et vérité 7. 3.4 L’autocontradiction performative 4. 4 ConclusionA Chacun sa vérité II Le retour « A force de répétitions et à l'aide d'une bonne connaissance du psychisme des personnes concernées, il devrait être tout à fait possible

fois que j’essaye de me penser, je manque nécessairement l’acte par lequel je tente de me saisir que je réalise. Je sais bien que je suis moi, mais dans ce que je sais de moi, il manque qqch d’essentiel, c-à-d l’acte par lequel je peux penser. Les enjeux du problème : Comment si je m’aperçois que je ne suis pas capable de me penser, de me connaître, de définir en moi ce qu’il y a de plus important, pourrai-je accéder à un contenu de connaissances fiables de ce qui m’entour et n’est pas moi 

le bien qu’il faisait au genre humain; qu’il fut toute sa vie juste, laborieux, bienfaisant par vanité, et qu’il ne fit que tromper les hommes par ses vertus; je m’écrie alors: « Mon Dieu, donnez-nous souvent de pareils fripons! » BONHEUR: Les enjeux de la notion – une première définition   Le bonheur est souvent conçu comme étant une fin ultime de la vie humaine (c’est ce qu’on appelle eudémonisme). Il se distingue des fins partielles, c’est-à-dire des fins qui à leur tour deviennent des moyens en

_3_)« QUE PERISSENT LES FAIBLES ! » QU’EST-CE QU’ETRE FORT ? QU’EST-CE QU’ETRE FAIBLE ? CAFE THEMATIQUE DE PHILOSOPHIE : Séance du 21 mars, 18-20 h « Le Vélocipède » : Sur le rapport entre la force, la faiblesse et la justice FRANCK LELIEVRE. Enjeux. Critique d’une « image » du fort et du faible : la victime et son agresseur. Notre propos a pu surprendre car nous avons essayé de montrer que la réponse à la question posée « qu’est-ce qu’être fort ? » pensée jusqu’au bout se trouvait peut-être