Enjeux Du Multipartisme

de la représentation va influencé l'échiquier. 1. Les effets classiques la représentation proportionnelle : Un multipartisme, le problème est que partis politiques deviennent puissant et s'accapare la souveraineté. Si la RP mène au multipartisme.. Le scrutin majoritaire amène a un bipartisme ou a un multipartisme limité 2. Des effets et des enjeux plus complexe le multipartisme bipolaire en France est su aux SUD à 2 tours. II. Le fonctionnement plus ou moins efficace des institutions

aujourd’hui une importante remise en question du fait notamment de la constante évolution des partis et leur progressive désaffection par le citoyen. A. La restructuration du paysage politique : du multipartisme à la bipolarisation En 1958, le système des partis se caractérise par le multipartisme (6 groupes parlementaires à l’Assemblée), et l’absence de clivage permanent entre majorité et opposition. Il s’agit de rationnaliser l’offre politique. Michel Debré, père intellectuel de la Ve République

voisins (proches ou lointains) et qui ont interdit, souvent pour longtemps, l’exercice de toute forme de pluralisme politique. Pour préserver la pérennité du régime en place, certains par exemple ont purement et simplement choisi l’interdiction du multipartisme (c’est notamment le cas des monarchies du Golfe). D’autres ont préféré se réfugier derrière dans un pluralisme de façade, pour souvent mieux dissimuler le monopole et la prépondérance d’un parti unique. Mais le résultat est identique. La divergence

système américain de bipartisme. Utilisé dans les analyses des systèmes de partis, le terme de bipolarisation implique tout à la fois une évolution (passage de l'état « non bipolaire » à l'état « bipolaire ») et un type de système dans lequel le multipartisme tend à s'organiser autour de deux pôles ou deux coalitions. La bipolarisation est, en France,une traduction de la guerre froide dans la vie politique française. Sous la Troisième République, une situation de bipolarisation s'était produite lors

DU MULTIPLE A L'UN et vice-versa ? Essai sur le multipartisme au Sénégal (1974-1996)* Antoine TINE Institut d'Études Politiques de Paris (France) " Oui. Ce sont des dictateurs. Ils ne sont pas sincèrement démocrates. Le parti, c'est de la foutaise, un système de petits copains. Les élections, c'est de la rigolade. Moi, je le dis, ce sont des dictateurs." Cheikh Hamidou KANE, Les gardiens du temple, Paris, Stock, 1995, p.202. QUID ? L'étude des partis

(depuis 1958), s'inscrit dans le cadre d’une démocratie. Cette dernière confère, aux citoyens, une liberté de choix quant à leurs gouvernants. Et surtout contrairement à la précédente, la détention par le président de la République, du pouvoir exécutif. Enjeu de taille, exprimant la « nouvelle » importance de cette fonction. L’apparition du suffrage universel direct, additionné au phénomène de cohabitation, va profondément bouleverser les institutions : en effet on note l’apparition d’une légitimité démocratique

avant l’élection, les électeurs ayant une idée de la coalition qui va gouverner à l’issue d’un scrutin ;  * la représentation proportionnelle : elle favorise une fragmentation politique, mais ne conduit pas forcément à l’instabilité ou au multipartisme. Les partis n’ont pas d’intérêt à s’allier lors des élections, ce qui favorise leur éparpillement. Elle permet de faire apparaître de nouveaux partis représentatifs de tendances récentes de l’opinion (le FN en 1984 pendant les élections européennes)

sika.lazare@yahoo.fr RESUME En Côte d'Ivoire, la violence en milieu scolaire et universitaire a connu une évolution rapide depuis l'avènement du multipartisme en 1990. Si le contenu de la formation n'a pas véritablement changé, les rapports entre acteurs de l'école, par contre, se sont considérablement dégradés. En effet, avant le multipartisme, les élèves et étudiants jouaient leur rôle d'apprenants et respectaient les autorités académiques. Les enseignants étaient confortés dans leur statut

faveur du multipartisme. En outre, cette universalisation du suffrage a fortement influencé l’instauration d’un régime représentatif au Cameroun. Pour ce qui est de l’institutionnalisation des partis politiques, notons qu’avant 1990, le Cameroun connaît un multipartisme consacré par sa Constitution, mais dans les faits le pays est dominé par un parti unique et dirigé par un régime présidentiel fortement marqué par la prééminence du chef de l’exécutif. En janvier 1991, le multipartisme est institué

communiste. Il subordonne l'aide française à l'introduction du multipartisme, déclarant à ses hôtes: «La France liera tout son effort de contribution aux efforts qui seront accomplis pour aller vers plus de liberté». Félix Houphouët-Boigny déplore que son vieil ami François Mitterrand ait pu croire que la démocratie parlementaire à l'européenne puisse s'exporter en Afrique où les règles de droit sont encore balbutiantes et où les enjeux politiques se résument au partage de la manne occidentale (aide