Enquete De Satisfaction Darty

(université Paris 10 Nanterre), Francis Guilbert (IAE de Lille), Hervé Guyon (université de Bretagne occidentale), Marie-Louise Héliès-Hassid (université Paris-Dauphine), Joël Jallais (IAE/IGR de Rennes), Virginie Lainé (Ségécé), Jean-Pierre Lanzetti (Darty), Jean Marc Lamarins (Lactalis), Anne Leger (Champion), Stanislas Lepic (Kraft Food), Sandra Maliszewski (Monoprix), Régis Nirdol (Auchan), Gilles Paché (université de Montpellier), Suzanne Pontier (université Paris 12), Sophie Rieunier (IAE de Paris)

constitue pas une fin en soi, mais sert les objectifs d'une organisation : o Pour une entreprise privée, Le profit o Pour une association : l'intérêt général o Pour une administration : le service public LE PROFIT DOIT ETRE LA RESULTANTE DE LA SATISFACTION DU CLIENT. Le directeur général de General Motors qui un jour s'est écrié : " Nous fabriquons de l'argent, pas des voitures " se trompe. D - La conversion des entreprises au marketing Elle rencontre à l'épreuve des faits trois écueils sur sa

_ 38 B. 1. 2. Une Fidélisation par les MDD qui reste toutefois difficile _________________________________42 Les consommateurs sont-ils fidèles à leur Distributeur ? ___________________________________________ 42 Objectif : Optimiser la satisfaction client _______________________________________________________ 45 C. 1. 2. Quelques marques nationales difficile à détrôner ________________________________________48 Les marques nationales vraiment menacées par les MDD __________________________________________

connaître, comprendre et participer activement dans le secteur de l’événementiel en général. A l’issue de cette période, mes missions attribuées et leur réalisation ont totalement permis ce résultat, et sa finalité première est véritablement ma satisfaction de ce milieu professionnel et les réponses plutôt positives sur la question et la conviction de mon avenir dans ce marché du travail. Je reste, de manière assez précise, convaincu du domaine professionnel qui m’attire, et je souhaite, désormais

l‟entreprise était responsable, d‟une part certains auteurs ont défendu l‟idée d‟une responsabilité de l‟entreprise étendue à toute la communauté, alors que d‟autre part d‟autres penseurs ont défendu une responsabilité de l‟entreprise limitée à la seule satisfaction des intérêts des actionnaires, appelées « stockholders ». Force est de remarquer qu‟au-delà de savoir envers qui l‟entreprise était responsable, la question est en réalité de savoir qui sont concernées directement par les actions de l‟entreprise

salarié 33,2 11,4 25,5 15,2 58,7 41,3 100 26,7 73,3 100 Total 13,8 16,3 30,1 69,9 100 Habituellement Occasionnellement Travail le dimanche habituellement ou occasionnellement Jamais (y compris sans objet et non renseigné) Total Source : INSEE/enquête emploi 2004/Traitement des données par la mission INSEE du Conseil économique et social. Dans le commerce de détail, 39 % des actifs travaillent le dimanche occasionnellement ou régulièrement. Le taux le plus élevé est celui de l’agriculture, soit

merchandising et des mètres linéaires. Rapport de la commission "Parapharmacie" mise en place par le Conseil National de la Consommation (CNC), du 9 février 2005 sur les produits frontières et d’automédication En 2005, le CNC, sur la base d’une enquête menée par la Direction Générale du Commerce, de la Concurrence et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) sur les "produits frontières" du monopole pharmaceutiques, a conclu que l’article 4211-1 du Code de la santé publique doit être revu et réduit

place marginale dans l’offre. On peut prendre comme exemples les marques de mode telles que Zara, Cyrillus, Esprit ; les enseignes étrangères comme Natura ; les sites Internet spécialisés comme rendezvousdeco ou des sites Internet d’enseignes comme Darty ou John Lewis. La décoration n’est donc plus une affaire de distributeurs spécialisés puisqu’un nombre croissant de distributeurs non spécialisés cherche à tirer parti de la forte attractivité de ce marché. On retrouve les grandes surfaces de bricolage

proposées notamment par les auteurs américains, mettent l’accent sur l’aspect socialement positif du marketing, à savoir son orientation vers la satisfaction des consommateurs. Ces définitions ont raison de mettre l’accent sur le concept de satisfaction des besoins du public, qui est à la base même du marketing. Mais elles commettent l’erreur de présenter la satisfaction de ces besoins comme le but du marketing, alors qu’elle n’en est que le moyen essentiel. - Une définition réaliste Selon Denis Lindon1,

Peat Marwick, 1998) - Une vision matérialiste : l’augmentation du volume d’achat est le but ultime de la fidélisation. Rentabilité, marge par client sont les concepts qui sont reliés à cette «école ». - Une vision qualitative : la satisfaction, la qualité sont les maîtres mots. Le produit est central dans la problématique de fidélisation. - Une vision affective : il faut développer l’attachement à la marque pour fidéliser le client. La communication est donc un élément moteur