Entretien Avec Philippe Breton

formes d’échanges à l’heure du numérique, nous examinons ici un nouveau phénomène de société, celui de l’influence des nouvelles technologies sur nos relations humaines. Quatre documents tentent de caractériser cette nouvelle influence : Philippe Breton dans un entretien pour Enjeux (juillet-août 2005), Pascal Lardellier dans Problèmes politiques et sociaux publié en avril 2005, Isaac Aimov dans Face aux feux du soleil paru en 1970, et Hubert Blatz avec son dessin intitulé Solitudes partagées datant de

André Breton, surréalisme et psychanalyse Rêve, écriture du rêve, écriture automatique autant de termes qui reviennent dès que l’on parle de surréalisme. Et comme le nom de Paul Éluard est attaché à l’esthétique surréaliste, qu’il a écrit plusieurs œuvres en collaboration avec André Breton, l’amalgame peut aller très vite, or les deux hommes n’ont pas toujours eu les mêmes idées. Il ne s’agit pas ici de refaire une analyse de ces concepts dans l’œuvre d’André Breton… mais de donner brièvement une

nouvelles technologies et les relations humaines Les nouvelles technologies modifient-elles les relations dans la société ? Le dossier, à travers les différents documents, va permettre de réfléchir à cette question. Dans un entretien de 2005 pour le magazine Enjeux, Philippe Breton suggère qu'internet accompagne et même accélère le recul du lien social. Pascal lardellier, dans un article de la revue Problèmes politiques et sociaux, conteste quant à lui ce point de vue. Isaac Asimov, dans son roman de

documents ont toute un point en commun, leur sujet qui tourne autour d’internet et de ces avantages et inconvénients sur les relations entre les humains. Le premier est tiré d’une revue, les Enjeux publié en juillet-aout 2005, c’est un entretien avec Philippe Breton intitulé : « Ce ne sont pas les nouvelles technologies qui expliquent l’individualisme ». Ces propos on été recueillis par Claude Vincent. messagerie instantanée ou encor bien d’autres services. Cela peut donc permettre à des gens des

directe, sans médiation, est porteuse de démagogie et de populisme. Depuis cinquante ans, on est en panne de futur et on nous vend la "société de l'information" comme seule issue. Ce concept va disparaître rapidement, j'en fais le pari. Entretien avec Philippe Breton, propos recueillis par Claude Vincent, "Ce ne sont pas les nouvelles technologies qui expliquent l'individualisme", Enjeux, juillet-août 2005 Document 2 Le "bonjour-bonsoir" avec les voisins que l'on connaît sans les connaître

Saint-Florent-le-Vieil (Maine-et-Loire) et mort le 22 décembre 2007 à Angers, était un écrivain français. Si Au château d'Argol, son premier roman, fortement influencé par le romantisme noir et par le surréalisme, avait attiré l'attention d'André Breton, c'est avec Le Rivage des Syrtes, et surtout le spectaculaire refus de son auteur de recevoir le prix Goncourt en 1951, que Julien Gracq s'est fait connaître du public. Reconnaissance paradoxale pour cet écrivain discret qui s'est effacé derrière

être la devise que la plupart des historiens du surréalisme se proposent de suivre et de confirmer dans leurs travaux savants, surtout après la disparition d’André Breton en 1966, comme le faisaient les colons contre les Indiens d’Amérique, suivant une réponse attribuée au général Philip Henry Sheridan. Mais déjà du vivant de Breton, le mouvement surréaliste se voyait préférer à la fois ceux qui s’auto-définissaient comme ses «ennemis intérieurs» (tel que Bataille) et les soi-disant «hérétiques»

figure d'Apollinaire à travers sa correspondance et le témoignage de deux poètes surréalistes. Supports : lettre d'Apollinaire à Lou ; textes d'A. Breton et de P. Soupault. Questions A) Quelles conceptions de l'amour et du « métier de poète» revendique Apollinaire dans sa lettre à Lou (doc. 1) ? B) Recherchez qui sont Philippe Soupault et André Breton et reformulez brièvement le portrait que chacun d'eux dresse d'Apollinaire dans les documents 2 et 3. C) Commentez, à l'aide de ces documents et de

Le dimanche de Bouvines, G. Duby parvient à introduire l’événement dans l'historiographie, c'est ainsi qu'il donne un renouveau a l’École des Annales, ainsi, on dit que G. Duby appartient à la deuxième génération des Annales. Il explique dans un entretien en février 1980 que l’événement permet aux historiens de faire la lumière sur des choses rarement évoquées. Et de par cet éclairage, les historiens peuvent retrouver d'autres données historiques permettant de comprendre le temps long.

une feuille composée d'une introduction et de deux poèmes : « Toutes les revues sont les esclaves d'une manière de penser, et, par le fait, elles méprisent la pensée.[…] Nous paraîtrons quand nous aurons quelque chose à dire »[3]. En 1924, André Breton confie au poète la direction de la Centrale du bureau des recherches surréalistes. Au cours de cette période, il écrit des scénarios de films et des poèmes en prose, et plusieurs textes sont publiés dans La Révolution surréaliste, l'organe du groupe