Éphèbe

différents. Au premier plan, une pelouse sur laquelle se tient la Saint Famille. Au second plan, au pied d'un muret figuré par une épaisse ligne grise, Jean Baptiste et, légèrement en arrière, des murets ou rochers sur lesquels s'appuient cinq hommes nus (Ephèbes? Athlètes? Représentations symboliques?). Enfin, en arrière- plan, un paysage de montagne. Cet arrière-plan lointain est masqué en grande partie par les personnages, mais donne une impression de profondeur et allège l'œuvre, plutôt dense par ailleurs

d’entre eux, accusé de menacer la liberté de la cité. On inscrit le nom de celui que l’on veut exiler sur un tesson de poterie. Il faut au moins 6 000 voix pour que l’exil soit décidé. Au terme de son exil, le condamné retrouve sa citoyenneté. Éphèbe : jeune Athénien de 18 ans. Avant de devenir citoyen, il doit accomplir un service militaire de deux ans, l’éphébie. Hoplite : fantassin grec. Il porte un casque, une cuirasse, des jambières, une lance et une épée. Trière : navire de guerre

apprentissage intellectuel se limite à quelques rudiments de lecture et d'écriture, ils sont soumis à un entraînement physique et guerrier de plus en plus rigoureux au fur et à mesure qu'ils grandissent . Les épreuves d'endurance que subissent les éphèbes sont souvent très cruelles : dominer la faim, la soif, le froid, la chaleur et la fatigue et ils devaient se battre en groupe pour voir les elements les plus combatifs La musique, est importante dans l'éducation, elle développe les vertus guerrières

Dionysies) bien que certaines acceptaient la présence de métèques. 2) la défense de la cité Tout citoyen athénien était aussi un soldat. En effet, tous les athéniens ont effectué leur service militaire et par conséquent prêté le « serment des éphèbes » lequel stipulait qu’en cas d’attaque de la cité, ils se devaient de la protéger. Toutefois, il existait de grandes inégalités dans les armées : le rôle militaire du citoyen était défini en fonction de sa fortune, cavaliers pour les pentacosiomédimnes

beaux vêtements, leur allure et leurs cheveux les trahissent ; ils ne sont pas de simples paysans. En chemin, ils rencontrent un vagabond qui s’avère être un spartiate à la poursuite de son hilote. En effet pour devenir un véritable spartiate, un éphèbe (adolescent) doit tuer un esclave/paysan qu’ils appèlent hilote. Un matin, les enfants sont réveillés par les braiements de l’ânesse. Ils découvrent l’un des bandits mort. Ils comprirent alors que les bandits étaient toujours à leur poursuite et

sont différentes pour les garçons et pour les filles mais la finalité est identique. Les garçons : l'éphèbie L'éphèbie est pour un garçon la période de transition entre le statut d'enfant et celui d'adulte ; elle commence à seize ans - être éphèbe signifie littéralement "avoir atteint l'âge de la puberté" - et se termine à vingt ans. Ce terme recouvre deux réalités. La première éphèbie, qui a lieu à seize ans, a pour cadre la phratrie, regroupement à caractère religieux de familles autour

endurants et disciplinés, des citoyens capables de prendre la parole, de défendre leur point de vue, d’adopter les bonnes décisions dans le respect des valeurs partagées par la communauté. e > Gymnase (gymnos : nu) : Le lieu où les jeunes gens (éphèbes) et les adultes pratiquent, nus, divers entraînements sportifs ou militaires. Les enfants vont à la palestre (palé : lutte) où ils pratiquent la course, les sports de combat, le saut en longueur, le lancer du disque et du javelot. > Lycée : Le nom

et de se pencher sur des problèmes de la vie en communauté par le biais de la mythologie le plus souvent. Le théâtre est donc une mise en scène de l'Etat démocratique, par laquelle on peut inculquer des valeurs morales aux citoyens, notamment aux éphèbes, puisque les questions politiques y sont traitées, tout comme les grandes aspirations humaines telles que la liberté. Les travers de la cité et de la démocratie y sont aussi évoqués, par exemple avec les comédies d’Aristophane, ce qui assure une prise

rompre les os ! Caligula fut le premier empereur à se produire en public sous les traits d'un histrion. Car ni Auguste ni Tibère ne dansaient devant le peuple, et puis, faisant cesser toute musique, ne se projetaient dans les airs, rattrapés par des éphèbes ! Il présenta Drusilla comme son épouse et son héritière à titre privé. Il s'adonna à une débauche qui fut mise en relief dans ‘’Caligula’’ (1979), film de Tinto Brass avec Malcolm McDowell dans le rôle-titre, qui contient des scènes à caractère

tard, 5 000 hoplites spartiates sont présents à la bataille de Platées. Ce nombre décroît tout au long du ve siècle, principalement en raison du tremblement de terre de 464 av. J.-C., qui selon Plutarque, détruit le gymnase, tuant ainsi tous les éphèbes, et de la révolte des Hilotes (10 ans de guérilla). Ainsi, à la bataille de Leuctres, en 371 av. J.-C., il n'y a plus que 1 200 hoplites mobilisables, dont 400 meurent au cours du combat. Aristote assure que de son temps, on compte à peine mille citoyens