Epicure Quand On Est Jeune

n'a jamais connu autant de plaisir. Le bonheur existe, et il est simple; c'est un visage. L'univers sourit. Pendant un an, la vie n'est qu'une succession de matins ensoleillés, même l'aprèsmidi quand il neige. Vous écrivez des livres là-dessus. Vous vous mariez, le plus vite possible - pourquoi réfléchir quand on est heureux? Penser rend triste; c'est la vie qui doit l'emporter. La deuxième année, les choses commencent à changer. Vous êtes devenu tendre. Vous êtes fier de la complicité qui s'est établie

lire : →Cocode Maupassant : http://fr.wikisource.org/wiki/Contes_du_jour_et_de_la_nuit/Coco →Iceberg deKassak : http://lettres-histoire-geo.ac-amiens.fr/sites/lettres-histoire-geo.ac-amiens.fr/IMG/pdf/Une_selection_de_nouvelles_a_chute.pdf →Quand Angèle fut seule de Merigeau : http://lettres.ac-rouen.fr/francais/recit/angele.html →La ligue des rouquins de Doyle : http://fr.wikisource.org/wiki/Nouvelles_Aventures_de_Sherlock_Holmes/L%E2%80%99Association_des_hommes_roux →Double assassinat

mais une fin en soi. Si la fin devient l’accumulation d’argent, on arrive à la spéculation où l’argent se reproduit lui-même sans rapport à un quelconque objet / sans la médiation d’un objet. Dans Éthique à Nicomaque, Aristote dit qu’il faut quand même que cette accumulation de richesse ne soit pas une fin en elle-même / subordonnée à autre chose. Si elle n’est plus une fin en soi, elle redevient un moyen. On peut là réfléchir à ce qui fait la valeur d’un objet : la qualité, l’utilité

jamais connu autant de plaisir. Le bonheur existe, et il est simple ; c’est un visage. L’univers sourit. Pendant un an, la vie n’est qu’une succession de matins ensoleillés, même l’après-midi quand il neige. Vous écrivez des livres làdessus. Vous vous mariez, le plus vite possible – pourquoi réfléchir quand on est heureux ? Penser rend triste ; c’est la vie qui doit l’emporter. La deuxième année, les choses commencent à changer. Vous êtes devenu tendre. Vous êtes fier de la complicité qui s’est

autre bien. Aristote déduit dès son époque que la valeur d’usage est primordiale car un bien sans valeur d’usage ne pourrait pas être échangé contre un bien plus utile. Aristote annonce le débat sur la « valeur travail » et la « valeur utilité ». «Quand un architecte échange la maison qu’il construit contre les chaussures fabriquées par un cordonnier il faut que l’architecte reçoive du cordonnier le travail de celui-ci et qu’il lui donne en échange le sien » (Aristote). Cette citation indique clairement

Et précisément, l’atome fut longtemps un candidat | |sérieux, au titre d’être permanent. Remarquant que c’est en décomposant un corps en ses diverses parties que le temps s’y | |prend généralement pour marquer son empire sur les choses, un Épicure va précisément faire de l’atome, un corps simple. Ultime| |composant de la matière, l’atome est en effet, et par définition même[2], un corps in-sécable, indivisible, l’équivalent | |physique du point mathématique, si l’on veut. Sa simplicité[3]

épicuriens : le but est d’atteindre la plus grande jouissance possible. Mais attention aux effets secondaires. Eviter toutes formes de souffrance. « La mort ne nous concerne pas car tant que nous existons, la mort n’est pas là. Et quand vient la mort, nous n’existons plus. »  Epicure. Le néo-platonisme : Plotin, l’âme reçoit les rayons de l’Un, tandis que la matière est cette obscurité qui n’a pas de réelle existence. Même les formes dans la nature reçoivent toutes un pâle reflet de l’Un. Plotin parle d’expérience

Dans le monde Méditerranéen de l'époque, apparaît une toute nouvelle façon de concevoir l'Homme. Aubenque : Philosophie antique Festugiere : L'homme grec Jean Brun : Les présocratiques / Socrate / Platon et l'Académie / Aristote et le lycée / Epicure et les epicuriens . I. Emergence de la pensée La pensée peut être distinguée des opinions (doxa) et de la religion. Ces deux concepts peuvent relever de la croyance. Il s'agit de considérer la pensée comme caractérisée par l'autonomie, et

l'invention de cet ancien peintre, lequel, ayant à représenter au sacrifice d'Iphigénie le deuil des assistants, selon les degrés de l'intérêt que chacun apportait à la mort de cette belle fille innocente, ayant épuisé les derniers efforts de son art, quand se vint au père de la fille, il le peignit le visage couvert, comme si nulle contenance ne pouvait représenter ce degré de deuil. Voilà pourquoi les poètes feignent cette misérable mère Niobé, ayant perdu premièrement sept fils, et puis de suite autant

correspondant à son statut social. Le détail du cursus avancé par Diogène Laerce relève toutefois d'une « illustration narrative des principales influences théoriques qui se seraient exercées sur Platon »[p. 6] ». Ceci revient à dire que la biographie du jeune Platon est une invention conçue pour s'accorder a posteriori avec ses œuvres. En voici quelques éléments, tirés essentiellement des ouvrages de Laërce. Il eut pour maître de gymnastique Ariston d'Argos, et l'on dit qu'il a remporté deux prix aux Jeux