Épidémie de choléra

grande agglomération : 2,3 millions d’habitants Pays parmi les plus pauvres du monde => pas de construction aux normes parasismiques, aucune prévention. Après le séisme, des secours inexistants et dépassés. Enormes problèmes sanitaires : épidémie de choléra ; Appel à la communauté internationale pour venir en aide aux sinistrés. Un an et demi après le séisme, il y a toujours plus d’un million de personnes qui vivent dans des abris de fortune en attente de relogement.

lutte constante contre la sous-alimentation, la misère et pour la conservation de sa force de travail (lutte contre la maladie, le chômage et l’accident). Les logements ouvriers sont souvent des taudis petits et mal aérés, où les épidémies font des ravages (choléra, tuberculose, forte mortalité infantile). Profitant de leur nombre et de leur rôle, les ouvriers s’organisent afin d’améliorer leurs conditions de vie et de travail, entre 1850 et 1914, même si elles restent précaires, notamment

soc: ex hô peuples → malnutr°, manq hygiène, manque soins → en proie fléaux et maladies siècle+ mortalité infantile forte, famine, épidémies, G Mort infan baisse lente mais encore forte en Afr+Asie Famine rare en R, mê si pomme de terre → 500000 morts Irlande (1845-50)+ mvt émigra° Fléaux Asie→ catastrophes démographiq Contraste égalt sur plan sanitaire: choléra, typhus, variole, lèpre, peste se raréfient en Eur mê si subsistent 2 maux majeurs: tuberculose+ malaria en E; différent en E-Orient:

dans des conditions d’hygiène d’autant plus propices au développement de pandémies que la médecine ne fait, durant tout le Moyen-Age, aucun progrès significatif. De fait, l’apparition des premières grandes épidémies, dès le XIIème siècle et jusqu’au XVIIème siècle, de lèpre, de peste ou de choléra, et la récurrence de grandes famines, accroissent de façon considérable le nombre d’indigents et de mendiants qui se rendent dans les hôpitaux et remplacent les pèlerins. Peu à peu, l’étranger reçu comme

natalité urbaine reste élevée même si elle connait une baisse au milieu du siècle grâce à une population urbaine jeune. Aussi, l’urbanisation entraine des taux de mortalités élevés. Par exemple, le peuple parisien est sous-alimenté, vulnérable aux épidémies (choléra en 1836) et doit faire face à une mortalité assez forte. L’espérance de vie reste plus grande dans les zones rurales que dans les zones urbaines (en 1880 : 54 ans contre 47 ans). Vers les années 1820, le terme « paupérisme » arrive en France

marqueront la fin du régime. II- La crise économique et sociale, détonateur de la révolution de 1848 A- Des revendications méprisées : Conditions de travail, d’hygiène et de logement désastreuses. Emeutes des Canuts de Lyon, novembre 1831. Epidémie de Choléra. 1932. Emeutes à Paris et Lyon Avril 1834 = Massacre de la rue Transnonain par Thiers. Des lois sociales inopérantes. Loi limitant le travail des enfants 1841 Loi scolaires 1833 B- Une situation insoutenable : Grave crise agricole 1846

Accorder le pouvoir législatif à la chambre Faire en sorte que la religion catholique ne soit plus la religion d’état Mais durant son long règne il devra faire face aux Légitimistes (Bourbon), aux Bonapartistes (Napoléon), aux Républicains, à des épidémies (choléra), des accidents ferroviaires (train), des révoltes (dans les colonies et ouvrières). En 1848, les Parisiens contestent son pouvoir : 3ème révolution. Louis-Philippe d’Orléans quitte la France et un gouvernement provisoire est instauré. À la

l’Asie du Sud et de l’Est avec un risque maximal dans la péninsule indochinoise . La lèpre (infection chronique de la peau par un bacille) concerne encore des millions de gens. L’eau non potable transmet de nombreuses maladies mortelles dont le choléra (selles très fréquentes, vomissements, crampes, déshydratation jusqu’à la mort) ou la bilharziose (petit vers qui se reproduit dans l’appareil circulatoire). Toutes ces maladies tuent ou handicapent des millions de personnes alors que les remèdes

soignaient les phtisiques dans les hospices étaient indemnes de cette maladie. La peur sans doute devant cette maladie fatale qui touchait les gens de façon insidieuse, sans symptômes au début. Elle était différente des grandes épidémies connues comme la peste ou le choléra qui frappaient brutalement une grande quantité de la population. Ce n'est qu'à partir du XVIIème siècle, en Europe du sud une prise en compte du fait contagieux de la tuberculose. En Italie d'abord, puis en Espagne au XVIIIème

nombreux massacres se font encore, dans certains endroits. Les Français ont amené des hélicoptères de combat, des avions, des blindés, des mortiers mais pas assez de camions et de médicaments et se retrouvent donc impuissants devant l'épidémie de Choléra qui se déclenche à Goma et qui emporte de nombreux réfugiés hutus. C'est également à ce moment-là que les médias et les humanitaires se sont enfin sensibilisés par cette tragédie génocidaire et ont été sur le terrain. Conséquences • au sein