Épidémiologie

Epidémiologie : webographie Généralités Un lexique : http://www.cite-sciences.fr/lexique/index.php?id_expo=49&id_habillage=86&lang=fr Vaccin / vaccination http://www.inserm.fr/thematiques/microbiologie-et-maladies-infectieuses/dossiers-d-information/vaccins-etvaccination http://www.savoirs.essonne.fr/dossiers/la-vie/medecine-sante/les-promesses-des-nouveaux-vaccins/ Chikungunya http://www.cite-sciences.fr/cs/Satellite?c=Page&cid=1195217626062&pagename=Portail%2FEXPOStemporaires%2FPortailLayout&pid=1195217394508

Pas d'acétone au départ car pas de carences en insuline. Sujet adulte même si aujourd'hui la maladie s'exprime de plus en plus tôt à causes du changement des habitudes de vie. Facteur génétique. Metformine permet de réduire la résistance. ¤ Épidémiologie : 3 Milions diabétiques répertoriés et 500 000 méconnus. 90% de type 1. Augmentation des types 1. Manifestation plus précoce du type 2. ¤ Mode de révélation : type 1 : soif et polyurie car pour éliminer une molécule de sucre, le rein

les deux yeux. Le malade se plaint de : Baisse de la vision que le malade attribue le plus souvent à ses lunettes Déformation des images Impossibilité de lire un mot en entier en raison d'un scotome Il n'existe aucun phénomène douloureux. Épidémiologie 12 % de la population entre 65 ans et 75 ans présente une DMLA. C'est la cause principale de cécité non corrigeable de la personne âgée dans le monde occidental. Du fait du vieillissement de la population, sa prévalence pourrait augmenter de

plaque s d'athéromes reduissent + ou – sont calibre. UN volume de sang moins important peut alors y circuler. Les conséquence de athérosclérose vont dépendre de l'organe atteint et de l'importance du déficit d'irrigation de cette organe. 1,1 Épidémiologie de athérosclérose Facteur de risque Physiologie = Age sexe Génétique = antécédent familiaux Pathologique = Obesiter, diabète sucre, hypercholesterolemie Comportementaux = tabac, alimentation, sédentarité,prise de pilule oestroprogestative

sur le dosage de l’activité de G6PD par : – méthode quantitative précise (spectrophotométrie) – méth. semi-quantitatives de dépistage ou de screening de masse – PCR et techniques moléculaires : dépistage, et aussi identification des variants ( épidémiologie moléculaire ) • Ce dosage est relativement aisé et bon marché • Attention ! le dosage est perturbé (activité quasi normale) : – en pleine crise hémolytique – après transfusion refaire le dosage à distance IFMT. M. Strobel, 2008 15

des individus ou des collectivités. * PREVALENCE (somme de tous les cas) : Nombre des cas de maladies, d’accidents, de suicides qui surviennent dans une population donnée, sans distinguer entre les cas nouveaux et les cas anciens. * EPIDEMIOLOGIE : tranche de la médecine étudiant les différents susceptibles d’intervenir dans l’apparition et l’évaluation d’une ou plusieurs maladies. * DETERMINANTS DE SANTE : déterminants biologiques (sexe, hérédité), déterminants psychologique, comportementaux

• les mélanomes cutanés, les plus fréquents, sont de différents types : mélanomes superficiels extensifs, mélanomes nodulaires, mélanomes acrolentigineux, mélanomes de Dubreuilh, • les mélanomes choroïdiens, • les mélanomes muqueux. - Epidémiologie Le mélanome affecte tous les âges (avec un pic entre 40 et 50 ans), mais est exceptionnel avant la puberté. Il apparait essentiellement sur la peau mais il peut également apparaitre sur l’œil (choroïde ou conjonctive) ainsi que sur les muqueuses

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suicidaires : Mises en danger répétées sans tentative de suicide proprement dite, telles que pratiques sexuelles à risque, usage massif de drogue, refus de traitements, refus alimentaire, prises de risques graves (sport extrême etc.) IV)EPIDEMIOLOGIE : Dans notre pays il y’a une recrudescence des suicides, le taux du suicide est de 2/100.000 habitants. -Il est plus fréquent chez l’homme que chez la femme mais ce rapport s’inverse pour les tentatives de suicides. A)Evaluation du risque suicidaire :

Bretonneau, causée par une bactérie de la famille Entérobactérie, du genre des salmonelles, et dont les espèces responsables sont: Salmonella enterica – typhi ou paratyphi A, B, C. Salmonella enterica typhi est encore appelée bacille d'Eberth. Épidémiologie D'après l'Organisation mondiale de la santé, le nombre de patients atteints dans le monde serait compris entre 16 et 33 millions de personnes, avec plus de 200 000 décès annuellement1. La contamination se fait par l'ingestion de boissons ou aliments