Épilogue

l’écriture de Lagarce renouvelle le genre théâtral : répétitions et reformulations = difficultés à parler ; théâtre en crise : presque pas d’action - finalement, Lagarce crée un théâtre lyrique et poétique : vers libre, verset, répétitions, intermède et épilogue = épisodes symboliques, poétiques + dimension romanesque de la chronologie, avec effets d’analepses et de prolepses. SUJET 3. « Je ne fais pas de la littérature. Je fais une chose tout à fait différente ; je fais du théâtre. » écrit Ionesco

adolescent) 4. La révélation du secret : la rencontre réelle des parents (Au présent,analepse) 5. La libération du poids du secret, pour le père (Au passé, François est presque un adulte) 6. La tombe de Simon (Au passé, François est un adulte, Epilogue) II. L’adaptation cinématographique 1) Présentation du réalisateur et des acteurs L’adaptation cinématographique du roman « Un secret » a été réalisé par Claude Miler. Né en 1942 et mort en 2012, c’est un réalisateur

partie de l’Europe. On écrit les pièces pour eux et ils remanient souvent les œuvres anciennes en fonction de leurs goûts, de leurs moyens et de leurs idéaux. "Le Roi Lear" et "Roméo et Juliette" de William Shakespeare se voient ainsi ajouter des épilogues heureux. Le XVIIème siècle : Théâtre classique : Tragédie et comédie Le XVIIIème sècle : Comédie, tragédie et drame Le XIXème siècle : Drame bourgeois et drame romantique censure

Philippe prononce la formule ? ______________________________________ 6- Que veut Philippe grâce au livre ? ________________________________________________________ Document réalisé par Keven Girard © Les éditions Z’ailées, tous droits réservés ÉPILOGUE 1- À quel endroit Maximilien se réveille-t-il ? ____________________________________________________ Document réalisé par Keven Girard © Les éditions Z’ailées, tous droits réservés ACTIVITÉ # 2 : LA PERTE DE MÉMOIRE Dans le roman Maléfice

l’invincible honte » se croise avec « La honte seule ». CORRECTION : Plan : - prologue qui annonce un crime effroyable « suites cruelles », « faute terrible » : 1er paragraphe - l’action c'est à dire les faits bruts - procès : tribunal, débats - épilogue (paragraphes 3 à 5) = remords + auto-justification Il y a un procédé d’amplification sur la partie des remords. Il prédispose son lecteur en insistant beaucoup plus sur sa justification que sur les faits. - Vocabulaire dramatique des termes

parallèle avec le potentiel des innovations technologiques et avec la nécessaire surenchère en faveur de la valeur d'estime. En cela, l'analyse fonctionnelle d'usage apparaît comme le premier pas vers une meilleure définition des cahiers des charges. épilogue Pour dépasser le stade des intentions. Prendre en compte les facteurs et les exigences d'usage est une nécessité impérieuse. Les intermédiaires qui interviennent en chaîne comme interprètes des futurs usagers

résumant au besoin les principaux arguments. Élargissement : on élargit le propos. À d’autres lieux, à d’autres problèmes qui pourraient être traités avec la même approche, à un problème connexe, à un problème plus vaste (le plus fréquent). Épilogue : on conclut le propos par une phrase marquante, bien tournée, incisive, qui doit laisser le correcteur sur une bonne impression. 

Vains efforts d’Augustine pour s’instruire. Retour dans sa famille Chez sa sœur Chez ses parents Visite à la duchesse Discussion avec elle Retour chez elle Scène violente avec Théodore Théodore détruit le tableau Augustine et sa mère Épilogue : Augustine est morte à 27 ans GT “ Un vaste projet ” Préface de 1830 projet didactique Extraits de la correspondance avec Ève Hanska “ Tableau vrai […] des passages dangereux de la vie Extraits de l’“ avant propos ” question

Un frère imaginaire II Maxime & Tania III Le secret IV La vérité V Une libération « ohana » signifie famille, famille signifie que personne ne doit être abandonné, ni oublié. Qu'est-ce qu'un épilogue? L'épilogue est ce qui permet de justifier le projet littéraire Analyse Incipit 1. a) On commence par une contradiction b) 2. Le lecteur est troublé 3. Il est Envieux, vantard & triste. 4. Un fable et en l un récit duquel

destin écrasant, moins la résignation qui devrait l'accompagner ». C'est ainsi que Camus oppose à l'esprit du suicidé (qui, d'une certaine façon, consent à l'absurde) celui du condamné à mort qui est en même temps conscience et refus de la mort (voir épilogue de L'Etranger). Selon lui c'est cette révolte qui confère à la vie son prix et sa grandeur, exalte l'intelligence et l'orgueil de l'homme aux prises avec une réalité qui le dépasse, et l'invite à tout épuiser et à s'épuiser, car il sait que « dans