Épiméthée

les moyen de survivre, de défense (la fourrure, la vitesse à la course, etc … ). Et puis Zeus confie aux deux frères d'opérer une répartition. C'est à dire qu'ils doivent distribuer à tout les êtres vivant les moyens de vivre et de survivre. Epiméthée dit à son frère qu'il s'en occupe. Il attribut tout les caractéristiques que l'ont connait. ===> Reste un être vivant qui n'a aucun moyen pour survivre ====> L'Homme. ====> Prométhée va volé le feu aux Dieux. Que faut t'il comprendre ? 1°)

critère de l’utilité. L’idée du meilleur ou du pire : du point de vu de la vérité, toutes les représentations se valent. Mythe du Protagoras : Zeus qi demande aux titans : Prométhée et Epiméthée de donner des qualités aux êtres humains qui leur permettent de survivre : Epiméthée commence : compensation : Epiméthée : celui qui pense après coup. Don ensuite de se protéger des espèces, mais les hommes restent en conflit. Pour développer la technique : le sens de la justice et du respect mutuel. Derrière

Prométhée : il crée une femme, Pandore, ornée de tous les dons divins, et l’envoie auprès d’Epiméthée (« celui qui pense après »), frère de Prométhée, accompagnée, en guise de cadeau de fiançailles, d’une boîte qu’il est recommandé de ne jamais ouvrir. Epiméthée suit la prescription et la répète à Pandore, mais celle-ci par curiosité, ouvre la boîte qui contenait les maux (maladie, mort, guerre, misère…etc.) qui s’échappe ; seul l’Espoir demeure enfermé. Il s’agit bien d’une origine du mal, mais plus particulièrement

au lieu d’utiliser mes points, j’utilise un outil pour frapper.2) Tous les mythes antiques insiste sur l’idée que l’homme a une place particulière dans la nature parce qu’il est capable de faire des outils - Le mythe de Prométhée : Prométhée et Épiméthée ont pour rôle de distribuer des facultés aux êtres vivants, il leur donne des plumes, la vitesse… pour permettre l’égalité, mais ils oublient les Hommes (le moins doué de la nature). Prométhée vole le feu à Héphaïstos et le donne aux hommes.- Frankenstein

compensé ; aucun n'être n'est parfait. Les hommes oublient cependant qu'ils ne sont pas parfaits, qu'ils sont vulnérables et fragiles (nus et sans rien). Au contraire de la Genèse, ici, l'homme est en bas de l'échelle et c'est grâce à Prométhée et Epiméthée, qui volent aux dieux de quoi rendre l'homme plus fort, que l'homme prend de l'importance. Ce texte explique la civilisation comme non-naturel ; il renvoit à l'homme son imperfection. Ces mythes ont donc des points communs (rationnalité) et des différences

le sentiment de liberté possible dans un espace réduit, l'idée que par l'imagination et la force cérébrale on peut accéder à une forme de liberté (cerveau libre/cerveau ressemble à noix). Le mythe de Frankenstein procède du mythe de Prométhée et Epiméthée chargés par les dieux de créer tous les être vivants grâce à tout un stock de matériaux. Au moment de créer l'être humain, il ne reste plus grand chose, ni poil ni griffe, c'est alors que Prométhée vole le feu. Le mythe est modernisé dans l’œuvre

la lumière. Les dieux chargent alors les deux frères, Prométhée et Epiméthée, de répartir les capacités donc doter ces races. C’est Epiméthée qui, avec l’accord de son frère, se charge d’effectuer la distribution. Il est convenu que Prométhée procèdera ensuite à l’examen du travail accompli. Epiméthée s’acquitte de sa tâche avec une idée en tête : empêcher qu’aucune espèce ne soit en mesure d’en éliminer une autre. (…) Epiméthée a remarquablement fait son travail. Mais voici qu’il s’aperçoit, trop

heureuse. Les sociétés modernes sont avides de croissance, davantage que de richesse » (p. 154). Cela revient à dire qu’une société est condamnée à la frustration dès que la croissance ralentit. Prométhée a donné le feu aux hommes mais son frère Epiméthée, en accueillant Pandora, symbole de fécondité mais aussi de voracité, a réintroduit la frustration dans le cœur des hommes. Ainsi va l’humanité, ignorante de cette tension qui l’habite : « L’Occident n’a jamais compris en temps réel la croissance

mythologie antique - si l'on en croit le dictionnaire de la mythologie grecque et romaine de Grimal, une fille de l'Océan et de Téthys, appartenant à la première génération divine, celle des Titans. Mariée à Japet, elle engendra Atlas, Prométhée et Epiméthée. Parfois présentée comme femme de Prométhée, elle serait la mère d'Hellen, l'ancêtre de tous les Hellènes. Ou encore, elle aurait épousé Hélios, le Soleil, avec comme fils Phaéton et comme filles les Héliades. Une autre Clyméné serait fille de Nérée

1. La fin est morale : c’est la dignité humaine. Et cette dignité a pour origine la liberté. L’homme n’est pas déterminé par l’instinct, et en ce sens il est le plus démuni des animaux. A la place, il possède la raison (cf fable sophiste : Epiméthée / Prométhée). Mais la raison n’est pas le simple substitut de l’instinct. Il ne s’agit pas de donner à l’homme la simple capacité d’atteindre le niveau de l’instinct. Il s’agit bien plutôt de le rendre responsable de cette capacité. La raison est