Epreuve E1

468, 75. 2  ’après le tableau précédent on a : e D n +1 = 0, 5 × Sn +1 = 0, 5 × (500 + en ). On a donc en +1 = 0, 5 × (en +500 ). a. Pour tout nombre entier naturel n non nul, on définit la suite v par v n = 500 − en . Calculons v 1 = 500 − e1 = 500 − 250 = 250. Exprimons v n +1 en fonction de v n . On a, pour tout n > 0, v n +1 = 500 − en +1 = 500 − 0, 5(en + 500 ) v n +1 = 500 − 250 − 0, 5en = 250 − 0, 5(500 − v n ) v n +1 = 0, 5v n . en en +1 La suite v est une suite géométrique

à chaque pays, en adoptant une stratégie de concentration autour des pôles qu’elle maîtrise le mieux. Ceci a permis à la société de développer deux avantages compétitifs majeurs : une position dominante sur ses marchés, et une rentabilité à toute épreuve. En 2010, Danone se positionne en tant que leader sur le marché des produits laitiers frais (57% du CA) et de la nutrition médicale (6%), et en tant que concurrent de Nestlé sur le marché des eaux embouteillées (24%) et de la nutrition infantile

orator : orateur) → il caractérise le discours de celui qui veut impressionner et persuader ses auditeurs ou ses lecteurs. Enfin, je m’adresse à la France. Eh bien ! Mon cher et vieux pays, nous voici donc ensemble encore une fois, face à une lourde épreuve. En vertu du mandat que le peuple m’a donné et de la légitimité nationale que j’incarne depuis vingt ans, je demande à tous et à toutes de me soutenir quoi qu’il arrive. Charles dE GAULLE, 29 janvier 1960, Discours et Messages T.3. • Le registre polémique

Le tableau statistique se présente sous la forme xj nj fj Dans un graphique en bâtons, on porte en ordonnée fj en fonction de xj xj = 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 I.2- Valeurs continues On regroupe les valeurs en k classes d’extrémités e0 , e1 , ..., ek et l’on note pour chaque classe [ej-1 , j ej[ (d’amplitude hj) l’effectif nj et la fréquence fj ainsi que les fréquences cumulées Fj = ∑f l . l =1 ej-1 Le tableau statistique se présente sous la forme Fj-1 nj ej 2 fj Fj Dans un

• un prix d’achat moins élevé : cela résulte du fait qu’il n’a pas besoin de collecteur. En effet, le collecteur des machines à courant continu est un organe coûteux et fragile et qui nécessite un entretien fréquent. • une robustesse à toute épreuve. Certes, par le passé, ce type de moteur était moins apprécié en raison de ses performances médiocres. Mais le développement de l’électronique de puissance a permis de rendre le moteur asynchrone aussi performant que le moteur à collecteur.

génération LTE, et en concurrence avec EV-DO (Evolution Data Optimized), déployé dans les systèmes CDMA (Code Division Multiple Access). Ces services requièrent plus de bande passante que ceux des générations précédentes et ils mettent à rude épreuve les liaisons backhaul. Les réseaux backhaul existants ne peuvent pratiquement pas délivrer la capacité de transmission supplémentaire requise par chaque utilisateur HSDPA qui consomme 14.4 Mbit/s, soit 6 La solution IP RAN HUAWEI 2011

. . . . . . . 2.1.2 Propri´et´es . . . . . . . . . . . . . . 2.1.3 Quelques exemples . . . . . . . . . 2.2 Ind´ependance . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.1 Ind´ependance de deux ´ev´enements 2.2.2 Ind´ependance mutuelle . . . . . . . ´ 2.2.3 Epreuves r´ep´et´ees . . . . . . . . . . 2.3 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

entre les individus 81  Aspects méthodologiques L’enquête sociométrique : - Dispositif de recueil d’informations utilisant différents outils : observation, entretiens, questionnaire sociométrique Le questionnaire sociométrique - Pas une épreuve standardisée, pas un test - Principes • Connaissance approfondie du groupe et de son contexte • Questions construites en fonction d’un contexte réel à étudier • Résultats doivent servir à guider la reconstruction du groupe 82 - Exemple de

× (1 – e–x) = 1 – e–x + ex – 1 = ex – e–x. B = 5e1 + x × e–x = 5e. 1 − e 2x C= = e–x – ex. ex x + ex = xex + e2x. D= e −x 1 − e2x 23 Soit la fonction f définie sur ℝ par f(x) = . ex −2 2 1− e e 1 − e−2 e2 − 1 = −1 = = –f (1). 1. f (– 1) = e−1 e × e2 e1 2. Pour tout réel x, ( ) 1 − e−2x e2x e2x − 1 1 − e−2x = = = –f (x). −x e e−x × e2x ex 1− e 1. g(1) = 1+ e f (–x) = 24 ( ) 1 − e−1 e −1 1− e =– = . e +1 1+ e 1 + e−1 2. Pour tout réel x, 1 − e−x ex − 1 1 − ex =x = g(x). g(–x) = –x −x = –x x

L'analyse combinatoire (A.C.) est le dénombrement des dispositions que l'on peut former à l'aide des éléments d'un ensemble ni. 1.1.1 L'ensemble étudié : éléments discernables et éléments indiscernables Représentons les éléments d'un ensemble par e1 , e2 , . . . , en . L'ensemble Ω comporte n éléments, c.-à-d. card(Ω) = n. Si ei et ej sont équivalents, on dit qu'ils sont indiscernables. Si ei et ej sont diérents, on dit qu'ils sont discernables. L'ensemble Ω de n éléments peut être constitué