Équations de Friedmann

stocks. Dans cette équation, le terme de droite représente la valeur des échanges, tandis que celui de gauche correspond à la quantité totale de monnaie, compte tenu de la vitesse avec laquelle elle change de mains. Pour Fisher, V et T sont 2 variables constantes (pour une période donnée) car elles dépendent du comportement des agents, donc une variation de la masse monétaire (M) entraîne logiquement une variation dans le même sens du niveau des prix (P). Il résulte de cette équation qu'une augmentation

elles correspondent en général à une agrégation d’équations. o Fonction de Production ( Y=f(k,L) ) capital o Equation d’imposition (T=t*Y), elle évolue en fonction de la volonté des responsables de la politique économique. Equation de comportement : équation désignant le comportement agrégé des agents. (Exemple de l’équation de demande agrégée des consommateurs ; équation de consommation keynésienne C=cY + Co). Il y a les comportements collectifs qui sont exprimé par la fonction de bien

――――――――――――――――――――――――――――――――――――――――――――――――――30―――――――――――――――――――――――――――――――――――――――――――――――――― Le modèle de marche aléatoire dans l’économie financière de 1863 à 1976 Franck Jovanovic‡―――――――――――――――――――――――――――――――――――――――――――――――――― L’objectif de cet article est de montrer comment l’utilisation du modèle de marche aléatoire pour représenter les variations boursières a été progressivement incorporée dans la théorie économique, faisant de ce modèle la représentation de l’évolution dynamique

leurs interactions devraient permettre de bien concevoir une politique de développement. 3 Qu’est-ce qu’un modèle de croissance ? Les modèles de croissance économique sont par définition, des schémas { l’aide desquels on essaie de mettre en équation la manière dont l’activité économique d’aujourd’hui peut rejaillir sur l’activité économique de demain afin de pouvoir explorer l’ensemble des voies de développement que les ressources naturelles, économiques, financières et humaines du pays permettent

rendent compte. Pour lui sa contribution fondamental était la déduction des fonctions de demande et l'équilibre général tel qu'il l'a défini n'était qu'un problème mathématique d'équations à résoudre. Mais en cherchant à écrire mathématiquement ces équations simultanées en reliant plusieurs marchés, il a définit ce qui allait devenir l'objet de l'analyse économique. Son problème est: comment écrire le système d'équations simultanées, quelles sont les solutions et quelles vont en être les caractéristiques

de la part des salariés et la demande de biens de P° de la part des entreprises. Qu’est ce qui assure la viabilité de ce régime de croissance ? Taux d’inflation élevé et taux nominal faible, r est égale au taux nominal moins le taux d’inflation (équation de Fisher). Comme le taux d’inflation est élevé alors le taux nominal est faible, dans un régime monétaire de débiteurs qui se double d’un régime de croissance inflationniste, on a fondamentalement une demande de bien qui est rigide à la baisse

mais sur les marchés financiers ». En fait, il faut favoriser l’ouverture des marchés financiers des pays en développement car les placements y sont plus rentables à cause du potentiel de croissance. Vers 1975-1980, la théorie monétariste de Milton Friedman influence beaucoup le monde financier et les politiques monétaires restrictives mises en place pour combattre l’inflation vont faire grimper encore plus les taux d’intérêt. Les raisons micro-économiques 1)Les innovations technologiques avec

des métaux précieux a un effet bénéfique sur l’économie. Il a fallait attendre le 18e siècle et les classiques pour que cet explication soit remise à l’ordre du jour. Il revient toute fois à I. Fisher le mérite de la formaliser sous forme d’une équation : M.V = P.T M C’est la quantité de monnaie en circulation (masse monétaire). V Vitesse de circulation de la monnaie : c’est le nombre de fois, où une unité monétaire est utilisée durant une période déterminée, généralement une année pour des transactions

- complexité - incertitude I = f (X , U) I = quantité d'information nécessaire à l'organisation ou générée par celle-ci X = complexité de l'organisation de son environnement U = incertitude caractérisant son action dans l'environnement Cette équation permet de différencier les types de structures et de systèmes d'informations. Information et complexité : X est composé de deux facteurs : N = nombre d'éléments C = nombre d'interrelations Thompson (1967) : niveau de gravité C. Information

disponibles, V est exogène car elle est déterminée par la technologie et les habitudes de paiements des agents, M est exogène car elle est contrôlée par les autorités monétaires. Sous ces hypothèses, FISHER tire de l'identité (1) ,qui est en fait une équation des échanges, une relation de causalité entre la monnaie et les prix : un accroissement de monnaie dans l'économie va provoquer un accroissement proportionnel du niveau général des prix. La théorie quantitative de la monnaie fait de la création