Équations de Friedmann

Elle se décline d’une virulente critique quant à l’efficacité des politiques économiques à la négation de l’État en tant qu’institution au service de la collectivité. a) La critique des politiques conjoncturelles keynésiennes Le monétarisme de Friedman Les « monétaristes » puis les «  nouveaux classiques » mettent en évidence l’inefficacité des politiques de régulations conjoncturelles. Les interventions étatiques d’inspiration keynésienne sont inflationnistes. L’inflation est pour les libéraux

conduit à affiner les canaux de transmission de la politique monétaire, et notamment à considérer le canal du crédit et les effets « richesse ». 1.2. L’effet richesse L’effet richesse trouve ses fondements théoriques dans le revenu permanent de Friedman. L’individu (ou « le ménage ») dispose d’une richesse, constituée de ses revenus salariaux, de son patrimoine financier (actions, obligations etc.) et non financier (immobilier). Cette richesse lui permet de dégager son revenu permanent (moyenne

des recompositions permanentes, des avancées décisives dans la connaissance et le savoir. C’est une discipline où la connaissance se veut mémorisable et une accumulation au cours du temps. Par exemple, sans Pigou pas de Keynes et sans Keynes pas de Friedman. Sans Walras pas de Pareto, sans Pareto pas d’Arrow, ni Debreu et sans Arrow et Debreu pas de Grossman ni Stiglitz. Schumpeter y voit trois utilités: « un avantage pédagogique, de nouvelles idées et des perspectives sur les voies de l’esprit humain »

analyses Marxistes, conteste la possibilité d’une convergence entre le cadre néoclassique et le cadre keynésien. - 3e approche : Certains courants de pensée sont restés hermétiques aux idées keynésiennes. Par ex le courant Monétariste animé par FRIEDMAN : nie l’impact réel des politiques budgétaires et également l’impact de long terme de la politique monétaire. De façon plus marginale, les éco libertariens, descendants de l’école de Viennes comme HAYEK, continuent à combattre l’intervention publique

beaucoup de temps à ce que l'on appelle le lien social, avec ses conflits, ses inégalités. On réfléchit sur le travail, la richesse. Dans l'enseignement supérieur, tous ces mots disparaissent et sont remplacés par des signes, des graphiques, des équations. Il ne s'agit plus de dire ce qui est, mais ce qui doit être: l'économie de marché. À l'esprit de finesse, lié à la pluridisciplinarité du champ secondaire, succède l'esprit de géométrie, qui ne prétend plus comprendre le monde, mais le métrer, le

et la somme actualisée des bénéfices nets. V = somme (n)(t=1) Bt/(1+ρ)t (point de départ du taux de rentabilité d'un I). Si ρ est positif l'investissement est réputé rentable. → t=2 ; V = 100 ; B1 = 70 ; B2 = 60 Recherche de ρ : résoudre équation du second degré 100 = 70/(1+ϱ) + 60/(1+ϱ) ² Ce qui équivaut à (100(1+ϱ)²)/ (1+ϱ) ² = (70(1+ϱ))/ (1+ϱ) ² + 60/(1+ϱ)² Ou encore 100(1+ϱ)² = 70(1+ϱ)+60 On pose x = 1+ϱ on obtient alors 100x² = 70x+60 Il faut résoudre le système suivant : ax²+bx+c

neutre pour les auteurs « classiques » ................................................................. 53 3.2.2 La monnaie est « active » pour Keynes ......................................................................................... 54 3.2.3 Friedman et la vision monétariste .................................................................................................. 55 3.3 LE PROCESSUS DE CREATION MONETAIRE................................................................................

est lié à l’information imparfaite ou à une mobilité imparfaite. Le chômage conjoncturel ou Keynésien, il est lié à une demande globale insuffisante face à une offre excédentaire Le chômage structurel (naturel ou équilibre), pour Milton Friedman le chômage naturel ne signifie pas que ce chômage est immuable (c-a-d naturel, non transformable), c’est un chômage qu’une politique monétaire ou budgétaire ne peut réduire, on définit le taux de chômage naturel comme un taux de chômage d’équilibre

quantité donnée de monnaie peut être modifiée pour répondre à un désir inopiné des individus de détenir plus de monnaie en espèces et en billets que sous forme de dépôts, notamment en cas de ruée . L'analyse de ces deux questions proposée par Milton Friedman et Anna Schwartz dans leur Histoire monétaire des États-Unis (1963, pp 168-73) montre que les objectifs répondant à ces deux interprétations sont différents. Dans le deuxième sens, l'objectif est la prévention des paniques bancaires et il est tout

Raisonnement logique, mathématiques. On va analyser toutes les interdépendances entre tous les éléments de la réalité économique, on va les mettre en équation. Equation de Fisher : modèle monétaire ( MV = PT Le modèle peut être théorique c'est-à-dire littéraire, non chiffré ; ou économétrique c'est-à-dire chiffré, avec équations comptables, équations comportementales (analyse micro économique) : on chiffre une analyse du comportement de l’individu. Afin de mettre en place ces modèles, il faut avoir