Équipotentielle

de la notion de "process" et de "signaux". Cette notion change fondamentalement la façon de penser et concevoir un programme. 2.2.1. Signaux, process, instructions concurrentes et simulation Une analogie directe est d’assimiler un signal à une équipotentielle d’un circuit électronique et comparer un process à un sous-programme d’interruption dont le signal d’interruption est un événement survenu sur l’un des signaux déclarés dans la liste de sensibilité du process. Il existe différentes façons de déclarer

les mesures à l’une des surfaces de référence suivantes : Géoïde et Ellipsoïde. a. Géoïde Le géoïde est la section moyenne des mers supposée prolongée sous les continents. Elle n’a pas de définition mathématique. Elle correspond à une surface équipotentielle sur laquelle la pression est constante. Ce sont les géophysiciens qui la définissent à partir de mesures du champ de gravité. Ils utilisent la relation : [pic] Où r= distance du point potentié au centre de la terre a = rayon équatorial [pic]

toitures; Toitures en éléments porteurs en bois; Réfection des ouvrages d'étanchéité. ● prEN 12977-1 Consignes générales de raccordement des installations solaires thermiques ● NF-C 15-100 Raccordement électrique, protection contre la foudre, liaison équipotentielle 1m 1 ≤ 5m 65° - 75° Fig. 1 Positionnement correct de l’échelle. Lorsque vos pieds sont contre l’échelle, l’angle d’inclinaison idéal doit vous permettre de toucher du coude tendu le barreau de l’échelle. Prévention des risques

donc en volts. Dans un système numérique tous les potentiels sont mesurés par rapport à un potentiel de référence, la masse, qui est une équipotentielle commune à tous les circuits. Cette précision permet de parler du potentiel (ou de la tension) d’un point d’un montage au lieu de spécifier « différence de potentiels entre ... et la masse ». A chaque équipotentielle d’un circuit on peut donc associer un bit qui représente la valeur de la tension de l’équipotentielle considérée. 1.2.1 Conventions

à redresser : => on peut utiliser 1 ou 2 groupes de n diodes qui sont à anodes communes ou à cathodes communes. J. NEVEUX ESIGELEC 1AFI 2012/2013 45 Le commutateur « plus positif » ou commutateur à cathodes communes  Les cathodes sont équipotentielles. D1 D2 D3 V1 D4 V2 Rs Vs V3 V4 J. NEVEUX ESIGELEC 1AFI 2012/2013 46 Le commutateur « plus positif » ou commutateur à cathodes communes A tout instant, la tension Vs est égale à la tension la plus positive. D1 conduit quand : V V

l’intérieur du conducteur. (iii) Toute charge nette réside à la surface. (iv) Le potentiel est constant dans le conducteur, et sa surface est une équipotentielle. (v) Le champ E est perpendiculaire à la surface. Si le champ possédait une composante tangentielle, il y aurait déplacement de charges à la surface du conducteur, et le caractère équipotentiel ne serait plus respecté. II.2.1.3. Ondes électromagnétiques dans un conducteur Dans le cas des conducteurs, on ne contrôle pas la circulation

vers l'extérieur en direction d'une masse. Toute particule de charge négative (q-) va être soumise à une force d'attraction vers la pointe. Une pointe, qui crée des équipotentielles sphériques, aura une action localisée. Un fil tendu de très faible diamètre identique à une "pointe allongée" créera des équipotentielles cylindriques et son action sera étendue à toute la zone qui lui est parallèle. * Effet CORONA Si la densité de charge sur la pointe devient très grande c'est à dire :

des clauses techniques particulières a pour but de définir les travaux d’électricité en courants forts et courants faibles. Les travaux comprendront : • le comptage du tarif bleu, • la distribution de la terre et les connexions équipotentielles, • la création d’une armoire générale courants forts, • distribution secondaire depuis cette armoire générale, • les alimentations électriques pour les autres corps d’états, • l’équipement des locaux, • l’éclairage

terre aussi) a. Mise à la terre * Ce qu’il faut maitre à la terre (fig.23) * Tout corps métallique pouvant être touché, normalement isolé du courant électrique mais susceptible d'être en contact avec le courant. Les liaisons équipotentielles principales : les canalisations métalliques * Les appareils de l’installation électrique, (socles de prises), et les conducteurs de protection, (fil jaune et vert), de tous les circuits électriques. Les masses des appareils de "classe I"

réseauorthogonal : le réseau d'écoulement. En effet,en toutpointM, la lignede courantestperpendiculaire à la ligneéquipotentielle : passant parM (fig.15). SoitP un pointtrèsvoisinde M surl'équipotentielle Pertede chargeentreM et P: (- dh)"p= î. ÀÊ = 0 (équipotentielle), or (- dh)rr,rp donclesvecteursî et VÈ sontperpendiculaires. Géotechnique1 - J. Lérau - c. il - 15- d , 1 " i p "t e , n t i e l l e s L;Xnes etL n cauranb I { = Cri. \ ^ f,,={t4 t o t^ ,/ ' - r,- -14\ -AI AL \ \ Ligneséquipotentielles