Ernest Pinard

fiacre) Le livre fait tout de même scandale ! 🌱 1857 ⇒ procès de Madame Bovary Juste avant « Les Fleurs du Mal » de Charles Baudelaire Flaubert et le directeur de la revue de Paris ( Léon Pichard ) sont traînés en justice. Le procureur est Ernest Pinard et l’avocat des accusés ⇒ Jules Sénard On accuse Madame Bovary d’ « Outrage a la morale publique, a la morale religieuse et aux bonnes mœurs », les accusations sont les suivantes : ⇒ tableaux lascifs ⇒ images voluptueuses ⇒ insulte à l’institution

un ami écrivain se nommant Champfleury lui dit qu’il a certainement été accusé de réalisme. Au début de l’année 1857, un procès avait déjà été intenté à Gustave Flaubert pour son roman ‘’Madame Bovary’’, mais il avait été acquitté le 7 février. ». Pinard était le procureur qui avait perdu ce procès. Il joue gros sur le procès de Baudelaire car s il perd, il perd une partie de sa popularité en perdant 2 procès important a 6 mois d intervalles. Il faut savoir que Baudelaire redigea pour son avocat

devient écrivain. Il écrit La Religieuse, Le neveu de Rameau, Jacques le Fataliste, Le paradoxe sur le comédien et Le supplément au voyage de Bougainville. Ernest Renan : Ernest Renan est né en 1823 et meurt 1892. « L’homme n’appartient ni à sa langue, ni à sa race: il appartient qu’à lui-même, car c’est un être libre, un être moral », E.Renan. Ernest Renan était un catholique fermant destiné à être prêtre. Il a étudié les langues anciennes ( hébreux, allemand, …). Lors de ses études de théologie, sa

1857, le gérant de la revue, Léon Laurent-Pichat, l’imprimeur et Gustave Flaubert sont jugés pour « outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes mœurs ». Défendu par l’avocat Maître Jules Sénard, malgré le réquisitoire du procureur Ernest Pinard, Gustave Flaubert est finalement acquitté[10]. Le roman connaîtra un important succès en librairie. Honoré de Balzac avait déjà abordé le même sujet dans la Femme de trente ans en 1831 sous forme de nouvelle-roman qui parut en 1842 dans l’édition

conversations fusaient. Après une longue attente, le juge, l'avocat et le procureur sont entrés. J'ai reconnu Gustave Chaix d'Est-Ange, avocat de Baudelaire dont le talent oratoire lui avait valut une réputation précoce au barreau de Paris. Le procureur Ernest Pinard était également là Il était chargé de l'accusation. Il avait brillé quelques mois plus tôt grâce au brillant réquisitoire qu'il avait prononcé contre Madame Bovary de Gustave Flaubert, jugé licencieux. Cependant, il n'avait pu le faire condamner

publique (de nos jours, il s'agirait du ministère de l’Intérieur) saisit le parquet du délit d’« outrage à la morale publique » et pour « outrage à la morale religieuse ». Cette dernière accusation est finalement abandonnée. Le 20 août, le procureur Ernest Pinard, qui avait également requis contre Madame Bovary, prononce un réquisitoire devant la 6e Chambre correctionnelle, la plaidoirie est assurée par Gustave Chaix d’Est-Ange1. Le 21 août, Baudelaire et ses éditeurs sont condamnés respectivement à 300

1857, le gérant de la revue, Léon Laurent-Pichat, l’imprimeur et Gustave Flaubert sont jugés pour outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes moeurs;. Défendu par l’avocat Antoine Jules Sénard, malgré le réquisitoire du procureur Ernest Pinard, Gustave Flaubert est blâmé pour le réalisme vulgaire et souvent choquant des caractères  mais est acquitté . Le roman connaîtra un important succès en librairie. Honoré de Balzac avait déjà abordé le même sujet dans la Femme de trente ans en 1831

amende de trois cents francs, réduite à cinquante, suite à une intervention de l'impératrice Eugénie. L'éditeur, Auguste Poulet-Malassis, s'acquitte pour sa part d'une amende de cent francs, et doit retrancher six poèmes dont le procureur général Ernest Pinard avait demandé l'interdiction (Les bijoux ; Le Léthé ; À celle qui est trop gaie ; Lesbos ; Femmes damnées [le premier poème] ; Les métamorphoses du vampire). Malgré la relative clémence des jurés, eu égard au réquisitoire qui visait onze poèmes

1857, le gérant de la revue, Léon Laurent-Pichat, l’imprimeur et Gustave Flaubert sont jugés pour « outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes mœurs ». Défendu par l’avocat Maître Jules Sénard, malgré le réquisitoire du procureur Ernest Pinard, Gustave Flaubert est finalement acquitté[10]. Le roman connaîtra un important succès en librairie. Honoré de Balzac avait déjà abordé le même sujet dans la Femme de trente ans en 1831 sous forme de nouvelle-roman qui parut en 1842 dans l’édition

1857, le gérant de la revue, Léon Laurent-Pichat, l’imprimeur et Gustave Flaubert sont jugés pour « outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes mœurs ». Défendu par l’avocat Antoine Jules Sénard1, malgré le réquisitoire du procureur Ernest Pinard, Gustave Flaubert est blâmé pour « le réalisme vulgaire et souvent choquant de la peinture des caractères »2 mais est acquitté3,4. Le roman connaîtra un important succès en librairie. Honoré de Balzac avait déjà abordé le même sujet dans La Femme