Ernest Wallon

SAT) donne naissance au Stade toulousain. La même année, l'association des « Amis du Stade », regroupant quelques notables, et notamment Ernest Wallon et Charles Audry, achète un terrain de sept hectares dans le quartier des Ponts-Jumeaux et y fait construire le premier stade du club, le stade des Ponts Jumeaux qui sera remplacé par l'actuel stade Ernest-Wallon en 1980. Le 31 mars 1912, le Stade toulousain bat à domicile le Racing club de France, sur le score de 8 à 6[2]. Ce premier titre de champion

de l'histoire qui poussa les Belges, du nord comme ceux du sud, à se défaire de la tutelle néerlandaise mais une religion commune, catholique en l'occurrence. Le choix de la langue française pour la jeune nation belge était logique. Bien que les Wallons et les Flamands utilisaient de nombreuses variantes dialectales, la bourgeoisie belge était coutumière du français, comme dans l'Europe entière. Il paraissait peu convenable de choisir comme langue nationale celle des Pays-Bas puisque la révolution

de Bruxelles et la dette publique. La région bruxelloise est géographiquement entourée par la région flamande mais elle est francophone à nonante pourcents et, de plus, elle est considérée comme étant officiellement une région à part entière. Les Wallons voudraient la création d’un Etat Wallonie-Bruxelles alors que les Flamands, eux, revendiquent la création d’une nation flamande comprenant Bruxelles. Quant à la dette publique belge qui s’élève à cent pourcents du PIB, elle est également un frein

français. Les Flamands s'indignent, ses incidents alimentent les demandes d'autonomies de la Flandre au sein de la Belgique. 1950, Flamands et Wallons, c'est a dire les francophones vivant dans le sud de la Belgique se déchirent sur l'avenir de Léopold III, ce dernier veut remonter sur le trône, les Flamands appuient sur un retour du roi alors que les Wallons s'y opposent. Certains menacent même de séparer la Wallonie de la Belgique. Léopold abdique en faveur de son fils Baudouin 1er. Il a beau être

CAS : LA BELGIQUE Question 1) L’Etat belge est un état fédéral depuis une réforme datant de 1993. Cet état est divisé linguistiquement. Deux peuples cohabitent : Les Flamands (ayant pour langue le flamand, langue proche du néerlandais) et les Wallons (ayant pour langue le français). La capitale de la Belgique est Bruxelles, qui a pour particularité d’être également une des capitales de l’union européenne. Question 2) La Belgique est séparée en 2 parties, celle du nord étant la région de la

de la Belgique, c’est-à-dire la Flandre d’aujourd’hui, où l’on parle la langue des Francs qui deviendra le flamand, et le sud de la Belgique où les nouveaux arrivés vont se mettre à parler la langue des Romains, le latin, qui donnera plus tard le wallon et le français. Par la suite, avec l’influence de la France notre voisine et de son importance pour nous et dans le monde la langue française est devenue la langue du pouvoir, celle qui était parlée par la noblesse. Les Flamands devaient apprendre

(UNILINGUISME NATIONAL) Par réaction contre la Politique de "Hollandisation" de Guillaume 1er entre 1815 et 1830, la constitution de 1831 impose le Français comme seule langue officielle (Administration – Justice – Armée – Enseignement). Le Flamand et le Wallon sont des "Patois" tolérés. 2. 1830-1914: NAISSANCE DU MOUVEMENT FLAMAND Trois origines : Un courant d'origine cléricale, qui associe la langue flamande à la piété populaire. Un courant issu des fonctionnaires du Régime

effectivement plus de flamands que de wallons , c'est à dire 60%. La flandre aurait de sérieux progrès à faire, car ce n'est pas un comportement soutenant la démocratie; que de dénigrer ainsi une minorité.             Dans certains cas, malgré des discussions et une recherche de solutions, il n'y a pas d'aboutissement et la situation se dégrade, comme cela a été le cas lors de la démission du gouvernement Leterme. Le conflit linguistique toujours présent entre flamands et wallons depuis quelques décénies arrive

divisions. 1°Les sujets de conflits flamand-wallons empêchant la constitution d’un gouvernement de coalition stable. Communauté « à facilités » dont les flamands veulent la suppression. Arrondissement électoral BHV dont les flamands veulent la scission. 2°Les enjeux de la crise. Bruxelles, capitale belge et européenne, maintient l’unité du pays encore aujourd’hui. Agrandissement de la région Bruxelles-Capitale qui serait reliée à la Wallonie (souhait wallon) La Belgique, future confédération de

Problématique : L’éclatement de la Belgique est-elle possible ? Plan Introduction 1- L’hypothèse de l’éclatement de la Belgique est bien réelle a. La fin d’un tabou b. La radicalisation flamande c. La stigmatisation des wallons 2- Mais la fin de la Belgique n’est pas pour tout de suite d. La Belgique n’a pas de plan B e. La population est contre f. Cela donnerait naissance à de nombreux problèmes Conclusion Introduction : Depuis ses débuts