Éruption phréato-magmatique

97 volcans (72 cônes de scories, 7 dômes et 18 maars) alignés du nord au sud, du Gour de Tazenat au Lac d’Aydat. Chacun de ces édifices a vraisemblablement connu qu’une seule éruption, on parle de volcans monogéniques. Certains volcans comme le Pariou sont dit polygéniques, ce sont des exceptions ayant subis plusieurs éruptions. A l’ouest le plateau de la Limagne descend sur un fossé d’environ 35°. Cette topologie a un impact important sur la physionomie des coulées de laves. II-Les cônes de scories:

Éruption volcanique  Une éruption volcanique est un phénomène géologique caractérisé par l'émission, par un volcan, de laves et/ou de téphras accompagnés de gaz volcaniques. Lorsqu'une éruption volcanique provoque des dégâts matériels et des morts parmi l'espèce humaine mais aussi chez d'autres espèces animales ou végétales ce qui est la majorité des cas pour les volcans terrestres, ce phénomène constitue, à courte ou moyenne échéance, une catastrophe naturelle ayant un impact local à mondial

mètres de haut, est sans doute un des plus fascinants volcans d auvergne. Ce volcan a connu deux éruptions successives d’où l’intérêt porté sur ce volcan. Le puy de Lemptégy a connu deux éruptions effusives ce qui a entraîné la formation d’un cône de scories. Ce cône est du à la viscosité du magma. Le fait que ce même magma ait une très faible teneur en silice rend celui ci très fluide. Lors de l éruption, des bombes, des scories et des cendres sont projetées en l’air créant des dépôts de roches et

l'est le graben de la plaine de Limagne (rift continental). Les deux ensembles sont séparés par une faille normale de même direction. La chaîne comporte une centaine de volcans appelés puys. Ces volcans datent de l'ère quaternaire, les premières éruptions ont eu lieu il y a 95 000 ans environ2, les plus récentes il y a moins de 8 000 ans, ce qui fait dire à la communauté scientifique qu'une reprise de l'activité volcanique dans cette région n'est pas improbable1. Certains de ces puys ont des cratères

Lors des débuts de la volcanologie, l'observation de quelques volcans a été à l'origine de la création de catégories basées sur l'aspect des éruptions et le type de lave émise. Chaque type est nommé selon le volcan référent. Le grand défaut de cette classification est d'être assez subjectif et de mal tenir compte des changements de type d'éruption d'un volcan. Le

un volcan bouclier qui constitue 40 % de l'île dans sa partie sud-est. Avec le Kīlauea, l'Etna ou le Stromboli, le piton de la Fournaise compte parmi les volcans les plus actifs de la planète et l'un des plus surveillés. Depuis 1998, une ou plusieurs éruptions surviennent chaque année. Cependant, il est parfois possible d'aller observer sur place les projections et les coulées de lave. Comme le volcan d'Hawaï, le piton de la Fournaise correspond à un panache, c'est-à-dire un volcan de point chaud. Les trapps de

dorsale. Par ailleurs, celle-ci ce voit coupée par un rift, où le magma y est au plus près de la surface. Les volcans sont ainsi proches les uns des autres, mais aussi sont réliés. C’est pour cela que les vulcanologues surveillent de très près les éruptions car elles peuvent toutes créent un effet boule de neige… Parmi les tous les volcans, on en compte environ 130 actif. L’un des plus actif est le volcan Helka, au sud du pays. Mais il y a un peu plus d’un an, le 20 mars 2010, le volcan Eyjafjöll

Massif Coordonnées 2631 m Massif du Piton de la Fournaise 21° 14′ 33″ Sud 55° 42′ 32″ EstCoordonnées géographiques: 21° 14′ 33″ S 55° 42′ 32″ E Administration Pays  France Région et département d'outre-mer La Réunion Géologie Type Activité Dernière éruption Code [1] Observatoire Volcan rouge Actif 5 nov. 2009 (en cours) 0303-02= Observatoire volcanologique du Piton de la Fournaise [2] Géolocalisation sur la carte : La Réunion modifier [3]   Le piton de la Fournaise, qui culmine à 2631 mètres,

car les contraintes physiques qui y règnent le rendent en partie liquide. Il est formé essentiellement de roches telles que la péridotite (ses minéraux sont : olivine, pyroxène, grenat). Au contact entre la croûte et le manteau supérieur. (5) Éruptions sur des zones de volcanisme actif. Deux types de volcanismes sont représentés ici, le plus profond des deux est dit « de point chaud ». Il s’agirait de volcans dont le magma proviendrait des profondeurs du manteau proche de la limite avec le noyau

mur à décorer d'enduit frais, tandis que le pictor imaginarius trace l'esquisse du tableau qu'il compte réaliser. À un moment que l'on peut situer entre 10 heures et midi, leur travail est interrompu, probablement par une série d'explosions phréato-magmatiques qui accompagnent le début de l'éruption. Suite à une secousse, un peintre perché sur un échafaudage laisse échapper un récipient de chaux, dont le contenu éclabousse le mur et sera retrouvé par les archéologues dix-neuf siècles plus tard5. À