Erving Goffman Biographie

inspirée des méthodes ethnologiques, qu'est l'observation participante. Celle-ci leur permet de comprendre le sens que les acteurs sociaux donnent aux situations qu'ils vivent. Les principaux représentant de cette seconde école sont notamment Erving Goffman, Howard Becker, Anselm Strauss et Freidson. Everett Hughes apparaît comme un maillon intermédiaire entre ces deux écoles. Contributions de l'École de Chicago La sociologie de l'École de Chicago a été fertile, elle a fortement contribué à

La mise en scène de la vie quotidienne 1. La présentation de soi Erving Goffman Erving Goffman, né en 1922 au Canada, suit des études de sociologie à Chicago, où il approfondit notamment l’œuvre de Mead, Freud, Weber, Durkheim et Simmel. Il soutient sa thèse en 1953 : « Mode de communication au sein d’une communauté îlienne », après une observation participante d’un an aux îles de Shetland sur les formes de sociabilité entre les habitants. Il enseignera puis se consacrera à la recherche

dimension sociologique, il n’y a pas de matière en soi qui soit un problème public, il s’agit d’un construit social situé dans le temps et l’espace. Selon Joseph Gusfield, qui est un sociologue Américain formé en compagnie de Howard Becker, Erving Goffman et Elliott Freidson, dans la génération des sociologues d'après-guerre à l'Université de Chicago, à la question : Qu’est-ce qu’un problème public ? Gusfield préfère problèmes publics à problèmes sociaux, car il y a une distinction entre le

comment les gens donnent sens à leur comportement plutôt qu’à d’autre. Erving Goffman, sociologue canadien, a fait parti avec Howard Becker, sociologue américain, de l’Ecole de Chicago. L’école de Chicago était bien une université avec l’un des premiers département de sociologie au monde qui a travaillé à la base sur les marginaux, la déviance (avec Robert Park) avec des approches sociologique très qualitative. Erving Goffman s’est plus intéressé aux institution et au milieu professionnel, avec les

relation sociale très forte entre l’analyste et l’analysant, création d’un milieu social dans lequel alchimie de la transformation peut se produire. * « Thérapie de groupe » = même concept alchimique. Exemple : psychiatrie américaine ; Erving Goffman décrit pressions s’opérant dans le contexte d’un hôpital psychiatrique. Patients finissent par se rendre à l’interprétation psychiatrique de leur existence qui est le cadre de référence commun du groupe « thérapeutique ». La personne et les

Présentation de soi Définition : concerne l’image de soi qu’on désire offrir aux autres. La présentation de soi (Erving Goffman, 1959) • permet la gestion des relations interpersonnelles (avec les autres) : mieux identifier qui nous sommes et comment nous traiter. Le comportement des gens envers nous dépend fortement de l’impression qu’ils se font de nous. • Permet de protéger l’estime de soi. Attitude favorable ou défavorable envers nous même. Elle dépend aussi de ce que les autres pensent de nous

ERVING GOFFMAN : identité et interactions Les lignes qui suivent rendent compte de manière non exhaustive d’un ouvrage essentiel de Goffman : « La mise en scène de la vie quotidienne » (éditions de minuit, 1987). Quelques idées font également référence à l’ouvrage « Les rites d’interaction » (éditions de minuit, 1988). Parmi les courants sociologiques, Goffman appartient au courant interactionniste. Il développe ses analyses en posant l’hypothèse qu’une étude des interactions s’intéresse

Barrault Elodie Master meefa, groupe L4 La mise en scène de la vie quotidienne I/ La présentation de soi D’Erving Goffman Références bibliographiques : Cet ouvrage a été paru en 1973 sous sa version originale « The presentation of Self in Everyday Life ». L’édition française a été traduite de l’anglais par Alain Accardo. L’édition du livre est Les éditions de Minuit ; la collection à laquelle l’ouvrage est rattaché est « le sens commun », créée par Pierre Bourdieu. Enfin, son nombre de pages

4) Les grands principes d’Erving Goffman En premier lieu , Erving Goffman s’est interrogé sur l’interaction[1] lors des relations sociales. Dans son ouvrage « Les rites d’interaction » , il met en évidence certaines expériences de la vie quotidienne où tout individu est confronté à un moment ou un autre à interagir avec autrui ( face à face ou médiatisé). Il s’interroge sur deux notions « garder la face »[2] et « perdre la face »[3]. Pour comprendre ces deux notions il faut savoir que pour lui

L’œuvre de ERVING GOFFMAN I. Présentation de GOFFMAN II. Les relations A. La notion de l’interaction 1. définition 2. l’interaction vue par GOFFMAN 3. les règles de l’interaction B.. Ordre social et ordre de l’interaction C. L’interaction symbolique III. La place de l’Homme A. L’interaction centrée et diffuse 1. l’interaction centrée 2. L’interaction diffuse B. Le « territoire du moi » IV. Les repères de l’Homme et la communication non verbale