Erving Goffman

L’œuvre de ERVING GOFFMAN I. Présentation de GOFFMAN II. Les relations A. La notion de l’interaction 1. définition 2. l’interaction vue par GOFFMAN 3. les règles de l’interaction B.. Ordre social et ordre de l’interaction C. L’interaction symbolique III. La place de l’Homme A. L’interaction centrée et diffuse 1. l’interaction centrée 2. L’interaction diffuse B. Le « territoire du moi » IV. Les repères de l’Homme et la communication non verbale

4) Les grands principes d’Erving Goffman En premier lieu , Erving Goffman s’est interrogé sur l’interaction[1] lors des relations sociales. Dans son ouvrage « Les rites d’interaction » , il met en évidence certaines expériences de la vie quotidienne où tout individu est confronté à un moment ou un autre à interagir avec autrui ( face à face ou médiatisé). Il s’interroge sur deux notions « garder la face »[2] et « perdre la face »[3]. Pour comprendre ces deux notions il faut savoir que pour lui

La mise en scène de la vie quotidienne 1. La présentation de soi Erving Goffman Erving Goffman, né en 1922 au Canada, suit des études de sociologie à Chicago, où il approfondit notamment l’œuvre de Mead, Freud, Weber, Durkheim et Simmel. Il soutient sa thèse en 1953 : « Mode de communication au sein d’une communauté îlienne », après une observation participante d’un an aux îles de Shetland sur les formes de sociabilité entre les habitants. Il enseignera puis se consacrera à la recherche

ERVING GOFFMAN : identité et interactions Les lignes qui suivent rendent compte de manière non exhaustive d’un ouvrage essentiel de Goffman : « La mise en scène de la vie quotidienne » (éditions de minuit, 1987). Quelques idées font également référence à l’ouvrage « Les rites d’interaction » (éditions de minuit, 1988). Parmi les courants sociologiques, Goffman appartient au courant interactionniste. Il développe ses analyses en posant l’hypothèse qu’une étude des interactions s’intéresse

INTRODUCTION Présentation de l'ouvrage : Erving Goffman, Stigmate. Les usages sociaux des handicaps (1963), traduit de l'anglais par Alain Kihm, coll. Le Sens commun, Éditions de Minuit, Paris, 1975. Ce livre est un essai de sociologie de 175 pages traitant de l'inter relation entre les stigmatisés et les normaux. Quelques concepts de l'ouvrage : Stigmate : « situation de l'individu que quelque chose disqualifie et empêche pleinement d'être accepté par la société » (page 7) Information sociale

III. L'interaction comme fondement de la construction identitaire . l'homme comme « animal social » . l'autre comme mon alter ego . la multiplicité de l'identité IV. Conclusion Résumé L'ouvrage Stigmates est écrit par le sociologue Erving Goffman en 1963. Ce terme prend sa racine du grec "stigma" signifiant une marque physique d'infamie, aujourd'hui on définit ce mot par une situation dans laquelle se trouve un individu que quelque chose disqualifie ou l'empêche pleinement d'être accepté

sociologue canadien Erving Goffman dans lequel l'auteur analyse sont sujet de prédilection, qui est autre que les interaction entre individus,tous ceci par le biais d’enquête participative . Ainsi c'est après avoir étudient de nombreux cas particulier, tel que les île de l'Est de l'écosse (pour sa thèse de doctorat en 1953) ou ,encore même le milieux psychiatrique qu'il dépeint dans sont ouvrage Asylium (qui influencera fortement les thèse anti-psychiatrique) ;E,Goffman réalise en 1959 cette

I - Aperçu sur la biographie d’Erving Goffman (1922-1982) * Fils de Juifs ukrainiens, c’est un sociologue américano-canadien interactionniste ; après une licence de sociologie à l’université de Toronto, il rejoint le département de sociologie de Chicago. En 1962, il est nommé professeur à Berkeley en Californie & auteur de plusieurs ouvrages sur l’interactionnisme symbolique. * Goffman fait l'exception parmi les sociologues de l'époque dans ses points d'intérêt académique, sa

Séance 9 TD TSS1) Erving Goffman développe un nouveau courant de la sociologie, appelé "l'interactionnisme" qui étudie la vie sociale à travers les interactions entre les individus. Goffman s’est ainsi attaché à comprendre le sens que les acteurs sociaux donnent aux situations qu’ils vivent et pour cela il s’est écarté des méthodes quantitatives pour privilégier l’observation participante. Aussi, l'œuvre d’Erving Goffman est moins centré sur l’action individuelle que sur les “petits comportements”

| | Les bienfaits de l'exercice physiqueLe groupe de Steven Blair de l'université d'Alabama à Birmingham a montré que la mortalité de sujets maigres et sédentaires était le double de celle de sujets en surpoids (définis par un indice corporel supérieur à 27,8 kg/m2) mais faisant régulièrement de l'exercice. La "sédentarité" pourrait donc bien être à l'origine de la surmortalité observée chez les obèses, plutôt que l'obésité en elle-même.L’activité physique, qu’il s’agisse de sport, de marche