Esope

morale exprime clairement : on voit beaucoup mieux les défauts des autres que les notre, que l’on oubli d’ailleurs souvent. Nous avons montré que l’utilisation des animaux permettait de rendre le récit plaisant et de masquer la satire. Le fabuliste Esope à lui aussi utiliser les animaux à son époque. Voulait-il exprimer lui aussi une critique sociale ?

de Louis XIV. Ici nous étudions une des premières fables car elle est tirée du premier libre des fables publié en 1668. La fable est un genre populaire très ancien qui remonte à l’antiquité (La Fontaine s’est fortement inspiré de l’écrivain grec Esope). C’est cependant un genre qui n’a jamais cessé d’évoluer et La Fontaine renouvelle ce genre. Il explique en effet dans la préface qu’il introduit de la vie et de la gaieté pour mieux faire passer le message dévoilé par ses prédécesseurs grâce au

Commentaire des obsèques de la lionne de La Fontaine Introduction: Les obsèques de la lionne (1678). La Fontaine utilise des sources des auteurs anciens. Il s'inspire notamment du fabuliste Esope ainsi que de Phèdre, Pilpey ou Abstimius --> 200 fables en latin. Pour cette fable, La Fontaine s'inspire d'Abstimius. Il s'affirme comme un scénariste du monde de la cour. Moment important --> obsèques. Sous l'apparence animale, La Fontaine ne craint pas la cour. Ici, le lion représente Louis XIV

jusque-là dans ses flancs. L'Arbre tient bon ; le Roseau plie. Le vent redouble ses efforts, Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au Ciel était voisine Et dont les pieds touchaient à l'Empire des Morts. Le villageois et le serpent Esope conte qu'un Manant, Charitable autant que peu sage, Un jour d'Hiver se promenant A l'entour de son héritage, Aperçut un Serpent sur la neige étendu, Transi, gelé, perclus, immobile rendu, N'ayant pas à vivre un quart d'heure. Le Villageois le prend

roi» et «Élégie aux nymphes de Vaux». Cette fidélité à Fouquet lui valut rapidement la haine de Colbert, puis celle de Louis XIV lui-même. Il meurt en 1695. Pour écrire ses fables Il a dut trouvé l'inspiration chez de nombreux fabulistes: nottament Esope qui est cité plusieurs fois dans ses livres, conteur grec du VI ième siècle avant JC. Mais aussi certains travaux d'Abstémius, un auteur de la renaissance italien et également chez des auteurs romains comme Phèdre, Horace.Il a aussi effectué un travail

l'auteur des fables qui sont énormément connus. Elles sont variés au niveau des vers ( octosyllabe puis alexandrin ) ou encore au niveau des rimes ( rimes embrassées puis rimes plates ) . Il s'inspire principalement de deux fabuliste de l'antiquité : Esope & Phèdre . Ses fables sont toutes regroupées dans huit livres , le première livre étant publiée en 1668. Le but de la Fontaine est de faire passer des satires des être humains par le comportement d'animaux présent dans ses fables assez courtes

XVIIème siècle, un poète français. Les Fables sont composées de 12 livres à l’imitation de Phèdre, fabuliste latin du 15ème siècle avant J-C. La Fontaine est un auteur de fables à l’imitation d’Esope, dont La Fontaine affirme, « je chante les héros dont Esope est le père ». Jean de La Fontaine est un fabuliste appartenant au mouvement littéraire du classicisme, et en écrivant des fables il a deux buts : plaire (placere) et instruire (docere). Rappelons qu’une fable a une fonction didactique et éthique (analyse

universel s’appliquant à ces fables. En effet, le genre des fables n’est pas nouveau et La Fontaine s’est d’ailleurs largement inspiré d’auteurs antiques tels qu’Esope ou Phèdre pour la rédaction de ses fables. Déjà au IV siècle avant Jésus Christ, Esope écrit des fables dans lesquelles on peut retrouver par exemple « Le Corbeau et le Renard » ou encore « la Cigale et la Fourmi », de même chez Phèdre qui s’en inspire. Mais La Fontaine n’est pas non plus le dernier à utiliser ces thèmes, ainsi, on peut

besoins de la fable. Cette fable est un exemple que je vais présenter dans cette anthologie ainsi que sept autres fables de Jean de La Fontaine qui traitent du même sujet.. Jean de la Fontaine se rapproche de sa source principale le fabuliste grec Esope et le poète latin Phèdre dont vous trouverez deux fables. Pour terminer, j'ai ajouté des fables d'auteurs plus récents qui, comme Jean de La Fontaine, ont rédigé des poèmes satiriques, comme au 18ème siècle Jean-Pierre Claris de Florian, au 19ème

Lecture analytique : « La jeune veuve » de Jean de La Fontaine : Introduction : La Fontaine, fabuliste du 17ème siècle, s’est inspiré des fabulistes de l’Antiquité Phèdre et Esope mais aussi de certains récits orientaux. Le but des fables est de fournir des éléments de réflexion. Le récepteur des visées didactiques est le dauphin du roi, c’est donc à un enfant appelé à gouverner plus tard que La Fontaine entend, grâce au monde animal, fournir une vision sur la morale, la justice. Cette dimension