Essence

I. Autour du mot: ESSENCE, DÉSIR - Pourquoi réunir deux notions sinon parce que, comme dans théorie et expérience, l’une ne peut se concevoir sans l’autre, comme si le concret n’était tel que par l’abstrait? - L’essence, ce que la chose est, le simple concept n’est pas la nature car la nature est ce qui est donné à la naissance, ce qui pose chacun ici et maintenant avec autour de lui une nature en général, extérieure, et en lui un donné intérieur une programmation dirait-on aujourd’hui selon

voit deux silhouettes en train de marcher. » Ainsi, le théâtre dispose de ressources propres, en particulier scéniques, qui permettent de bien mettre en valeur la force des scènes de révélation. Il semble d'ailleurs que le théâtre touche à son essence même en représentant ce genre de scène. 3. Le théâtre : un jeu de masque L'illusion est une composante essentielle du théâtre : illusions des personnages, que le déroulement de l'intrigue va dissiper, mais aussi illusion du spectateur appelé

contrainte extérieure. RENDRE : Il y a ici la notion de DEVENIR. Or, si la technique REND l’homme (libre ou esclave) c’est que ce n’est donc pas sa situation première. Problème : quel est le propre de la technique, quelle est son essence, ce qu’elle EST. ESSENCE : ce qui fait qu’une chose est ce qu’elle est, ce qui constitue le fond de son être, ce qui en elle ne peut pas être supprimé (sinon, la chose n’est plus elle-même). DONC, LE PROBLÈME SEMBLE ÊTRE LE SUIVANT : EST-IL DANS L’ESSENCE

« Sortie » de la terre Essence et existence Nous avons défini le makom (l’endroit) comme la source de l’existence. Cette définition renvoit à deux notions philosophique en opposition. Essence et existence Essence (lat. essentia, de esse, être; trad. du gr. ousia) : L’essence est ce qui fait qu'une chose est ce qu'elle est, abstraction faite de ses modifications superficielles et temporaires. En ce sens, elle s'oppose à accident. Par exemple, dire qu'il est de l'essence de l'homme

Essence = ce qui est constitutif de la nature d'une chose, ce par quoi on la définit. Existence = fait d'être (réellement) I. Par cause de soi, j’entends ce dont l’essence enveloppe l’existence, autrement dit, ce dont la nature ne peut se concevoir qu’existante. II. Est dite finie en son genre, la chose qui peut être bornée par une autre de même nature. Par ex., un corps est dit fini, parce que nous en concevons toujours un autre plus grand. De même, une pensée est bornée par une autre pensée

couramment reliée au fardeau, ce qu’il demande ce n’est pas si par essence elle est un fardeau, mais si dans certaines circonstances il est possible de la comparer à un fardeau. 4) enfin, il faut ici donner un sort au verbe « être », qui est un verbe d’état. Avec le verbe « pouvoir », nous venons de le voir, le verbe « être » se trouve amoindri au sens où il ne s’agit pas de se demander si la liberté est un fardeau par essence, mais si dans certains cas, elle peut en être un. Donc le verbe être

Définition complète dans livre (p.139, 1ère colonne : « Ces substances sont...dans l’avenir ») Partie 1 Essences individuelles Renferment tout ce qui peut se passer dans le futur d’une personne (l.4-5) Comparaison avec les propriétés définies du cercle. Cette notion devient fatalité(l.10-13) Totale dépendance Dieu, car c’est lui qui a choisit l’univers du sujet et a créé sa substance (=essence) (p.138 2eme colonne : « La liberté de l’agent...choisi par Dieu » ; p.139 1ere colonne : « La liberté

l’homme : infinie et sublime pour Pic de la Mirandole, limitée par la nature selon Pomponazzi. La modernité affiche la même diversité : mécanisme modéré chez Descartes, extrême chez La Mettrie. Rousseau reprend le thème de l’homme indéterminé, d’une essence humaine ouverte à mille accidents. Cette idée ouvre la voie d’une définition de l’homme par la liberté, l’ouverture aux possibles, reprise par Heidegger et Sartre. Elle entraîne une conception large de l’humanité qui évite de réduire l’homme à un

succession de moi pour arriver à un moi final ou sinon existerait il un moi profond ? De plus le moi est une nature profonde quelque chose de intime enfuis en nous . Ce moi est impérissable ne change pas et montre ce que nous somme vraiment , c'est une essence de notre être quelque chose que ne nous pouvons pas changer un moi dont on est née avec mais pour autant somme nous capable de définir ce moi ?Car ce moi et si profond donc est-il définissable ? Est ce que ce moi n'est t-il pas comme un instinct

permet de comprendre : « L'existence précède l'essence ». Nous sommes constamment projetés hors de toute définition ou tentative de réduction à une chose. Au contraire de l'existence humaine, en effet, les choses sont précédées d'un projet, d'une essence qui les enferme dans leur être : un marteau a été pensé pour réalisé une fonction avant d'être ce qu'il est et qu'il n'est que ce pour quoi on l'a conçu. L'Homme, en revanche, n'est que ce qu'il fait par sa propre conduite et il est condamné à se