Esther Duflo

FICHE DE LECTURE *La p*olitique de l’autonomie D’Esther Duflo Biographie : {draw:frame} Ancienne élève de l’Ecole Normale Supérieure, Esther Duflo est professeur en économie du développement au Massachusetts Institute of Technology (MIT) et cofondatrice du Abdul Latif Jameel Poverty Action Lab (J-PAL). Depuis 2009, elle est titulaire de la chaire « Savoirs contre pauvreté » du Collège de France, créée en partenariat avec l’agence française de développement (AFD). En 2009, elle a reçu

« A tout âge, les pauvres meurent plus que les autres, même au sein d’un village ». Cercle vicieux : la pauvreté entretient les problèmes de santé de même qu’une maladie peut entretenir le manque de ressources => entraîne les familles dans des situations de plus en plus précaires. Met en avant rôle de la médecine préventive au niveau individuel. Solutions non-prises en charge par le secteur privé (non lucratif). Contre le bon sens : on privilégie naturellement la médecine curative, car son efficacité

chrétien de s humilier devant son Dieu et de manière volontaire se privant de nourriture ; à ce sujet nous pouvons citer : David le roi, la reine Esther la référence est dans le livre de Esther. N b : le jeune dit Esther dans la bible est un appel à Dieu afin de limiter et faire ce qui est impossible aux hommes .Ce n’est pas une grève de la faim. Esther 4 :1 à 3 2 la prière Ç’est un moyen de communication avec DIEU , pour parler et aussi écouter la part de notre Dieu,nous pouvons citer JESUS

FICHE DE LECTURE LE DEVELOPPEMENT HUMAIN Lutter contre la pauvreté (I) d’ Esther DUFLO Introduction : 1°) Selon Amartya Sen, la santé et l’éducation sont des facteurs indispensables à la croissance. En effet ces deux critères sont essentiels pour mesurer l’indicateur de développement humain (espérance de vie, taux de scolarisation et taux d’alphabétisation)

famille Grandlieu intervient pour faire changer d'avis la vicomtesse de Grandlieu au sujet de la fortune de M. de Restaud. Personnages principaux: M.Derville: ami de la famille Grandlieu et ancien voisin de GobseckM.Gobseck: (de son vrai nom Jean-Esther Van Gobseck) vieil hollandais. C'est un usurier s'occupant de la fortune d'un certain compte de Restaud.Ernest de Restaud: fils du compte de Restaud. Il aime Camille la fille de la vicomtesse.Mme de Grandlieu: (ou la vicomtesse) c'est la soeur du

cet amour car la mère d'Ernest est dépensière et dans une relation illégitime avec Maxime de Trailles. Elle gaspille sa fortune pour ce dernier. L'avoué intervient en faveur de Camille. Il évoque le temps avec son voisin, un viel homme nommé Jean-Esther van Gobseck qui était un usurier hors du commun. Maître Derville va démontrer comment Ernest de Restaud s'est vu attribuer l'intégralité de l'héritage familiale. Quand Gobseck meurt, c'est lui le possesseur de la fortune des de Restaud. Il est entouré

procès et à proposer une transaction. Il acquiert dans Gobseck une grande réputation par la manière dont il rétablit la fortune de la vicomtesse de Grandlieu. C’est aussi l’avoué dupère Goriot et l’exécuteur testamentaire de Jean-Esther van Gobseck pour sa nièce Esther Gobseck dans Splendeurs et misères des courtisanes.

procès et à proposer une transaction. Il acquiert dans Gobseck une grande réputation par la manière dont il rétablit la fortune de la vicomtesse de Grandlieu. C’est aussi l’avoué du père Goriot et l’exécuteur testamentaire de Jean-Esther van Gobseck pour sa nièce Esther Gobseck dans Splendeurs et misères des courtisanes.

La Comédie humaine, Balzac 1. Balzac décrit son projet comme "un rêve" l.2, comme "un de ces projets impossibles que l'on carresse et qu'on laisse s'envoler" l.2 et comme "une chimère qui sourit, qui montre son visage de femme et qui déploie aussitôt ses ailes en remontant dans un ciel fantastique" l.3-4. Le sens premier d'une chimère est un monstre mythologique qui se compose de plusieurs parties de différents animaux. Peut être alors la chimère représenterais le livre en lui même, constitué

Pour un romancier, l’incipit est un véritable défi d’écriture. En effet, l’incipit demande de répondre à deux attentes principales : transmettre les informations nécessaires aux lecteurs mais également éveiller son désir de poursuivre le roman, c’est-à-dire le séduire. Quand Balzac publie Gobseck en 1840, mais également aujourd’hui en 2012, ces deux attentes demeurent dans l’esprit du lecteur mais également un autre : découvrir un pacte de lecture réaliste. En effet, le lecteur a également a l’esprit