Et Je Porte Avec Moi Cette Ardente Souffrance Corpus

domine dans les trois poèmes du corpus, vous vous demanderez en quoi ces poèmes mettent en évidence les caractéristiques du poète. Vous serez particulièrement attentif au procédé commun employé dans chaque poème. TRAVAIL D’ECRITURE : (facultatif) COMMENTAIRE : Vous commenterez le texte de Gautier (texte 1). DISSERTATION : « Et je porte avec moi cette ardente souffrance », écrit Apollinaire dans son poème « Tristesse d’une étoile ». Pensez-vous que la souffrance est nécessaire au poète pour écrire

QUESTIONS : Ce Corpus est constitué de trois poèmes en vers du XIXe et XXe siècles, publiés entre 1840 et 1918. Le poème de Gauthier, « Le pin des Landes » se trouve dans España (1840) ; celui de Baudelaire “L'Albatros” dans Les Fleurs du mal (1854) ; et celui de Apollinaire « Tristesse d'une étoile » dans Caligrammes (1918). Nous allons voir premièrement quel est le setiment qui domine ces trois poèmes puis quel est le procédé commun à ces trois textes. 1 : Dans « Le pin de Landes », le poète

étoile" : "Et je porte avec moi cette ardente souffrance". La souffrance est-elle nécessaire au poète pour écrire ses poésies ? la poésie nait-elle toujours de la douleur éprouvée par le poète ou peut-elle avoir d’autres sources ? Nous verrons dans une première partie que la poésie peut naître de la souffrance, puis nous montrerons dans une seconde partie que le poète peut trouver d’autres sources d’inspiration. La poésie peut tout d’abord prendre forme à partir de la souffrance, où nous pouvons

Pauline CHEY, Elisa NUNES 2nd B QUESTION CORPUS Nous allons étudier trois pièces de théâtre au sein de ce corpus diachronique : Le Tartuffe de Molière qui est une comédie classique de 1669, c’est une pièce satirique et comique à visée argumentative. Britannicus, une tragédie classique écrite en 1669 par Racine et enfin, Cyrano de Bergerac, une comédie dramatique par E.Rostand de 1897. Dans ce corpus, nous allons montrer les enjeux et les particularités de ces trois dialogues. Dans une

après la mort de sa fille Léopoldine, le 4 septembre 1843. «  Oh ! je fus comme fou dans le premier moment, Hélas ! et je pleurai trois jours amèrement. Vous tous à qui Dieu prit votre chère espérance, Pères, mères, dont l'âme a souffert ma souffrance, Tout ce que j'éprouvais, l'avez-vous éprouvé ? Je voulais me briser le front sur le pavé ! Puis je me révoltais, et par moments, terrible, Je fixais mes regards sur cette chose horrible, Et je n'y croyais pas, et je m'écriais : Non ! – Est-ce

après la mort de sa fille Léopoldine, le 4 septembre 1843.] Oh ! je fus comme fou dans le premier moment, Hélas ! et je pleurai trois jours amèrement. Vous tous à qui Dieu prit votre chère espérance, Pères, mères, dont l'âme a souffert ma souffrance, Tout ce que j'éprouvais, l'avez-vous éprouvé ? Je voulais me briser le front sur le pavé; Puis je me révoltais, et, par moments, terrible, Je fixais mes regards sur cette chose horrible, Et je n'y croyais pas, et je m'écriais : Non ! − Est-ce

| |19 |Dans « Les Ponts », Arthur Rimbaud met un terme à sa vision par cette phrase : « Un rayon blanc, tombant du haut du ciel, |Poésie et réel | | |anéantit cette comédie ». En vous appuyant sur les textes du corpus et les poèmes que vous avez lus ou étudiés en classe, | | | |vous vous demanderez si la poésie nous éloigne du réel ou nous fait mieux percevoir la réalité. |

Une méthode et des techniques pour l’écrit et l’oral LE COMMENTAIRE Adaptable à la lecture analytique  « Le commentaire porte sur un texte littéraire. Il peut être également proposé de comparer deux textes. En séries générales, le candidat compose un devoir qui présente de manière organisée ce qu'il a retenu de sa lecture, et justifie son interprétation et ses jugements personnels. »   NB : idem dans l’initiation en seconde. NB : pas de jugements personnels dans le développement

ne puis vouloir ce qui nous sépare ? J’ai été mécontent, malheureux, injuste... » 4. Un être souffrant et insatisfait (cf. ch. 5 de la séquence 7) a) L’amour malheureux Thème romantique par excellence. • Mort de l’être aimé qui entraîne la souffrance du héros, comme dans Le lac ou Fingal ; voir aussi Atala de Chateaubriand. • Séparation du héros avec l’être aimé, source de désespoir : Nuits de Musset. Cned – 7FR20CTPA0609 2/3 b) Le « mal du siècle » Evocation d’un héros dont le « moi » est

est-elle une manière de fuir la réalité ou de s’en rapprocher ? Dans Les Ponts, Arthur Rimbaud met un terme à sa vision par cette phrase : « Un rayon blanc, tombant du haut du ciel, anéantit cette comédie ». En vous appuyant sur les textes du corpus et les poèmes que vous avez lus ou étudiés en classe, vous vous demanderez si la poésie nous éloigne du réel ou nous fait mieux percevoir la réalité. Quand vous lisez de la poésie, appréciez-vous qu’elle se rapproche du réel ou préférez-vous qu’elle