Étage

soient réalisés. PORTEURS VERTICAUX, ELEMENTS PREFABRIQUES : Voiles préfabriqués : Contre la limite de propriété, des voiles préfabriqués ont été mis en place. Les éléments de voiles ont généralement la hauteur d’un étage. Leur épaisseur dépend d’un certain nombre d’exigences relatives à la stabilité, à l’isolation acoustique et à la résistance au feu de la paroi dans le bâtiment. En associant des éléments préfabriqués les uns aux autres, le monolithisme de la paroi

basse aménagée en jardin (emplacement d'écuries et autres appartenances). Cet ensemble est relié par un système de circulation (escaliers, couloirs de service, galeries) particulièrement fonctionnel. L'hôtel comporte un rez-de-chaussée et un premier étage. Les façades extérieures: elles sont assez distincts. A l'ouest, le rempart gallo-romain qui sert de soubassement est bien visible. La tour principale, dite tour de la «Chaussée», se détache de l'ensemble (la vue la plus ancienne, est celle de

couleur de boue, d'une nudité interminable de murs de prison, où des rangées de pierres d'attente1 semblaient des mâchoires caduques, bâillant dans le vide. Mais Gervaise regardait surtout la porte, une immense porte ronde, s'élevant jusqu'au deuxième étage, creusant un porche profond, à l'autre bout duquel on voyait le coup de jour blafard d'une grande cour. Au milieu de ce porche, pavé comme la rue, un ruisseau coulait, roulant une eau rose très tendre. - Entrez donc, dit Coupeau, on ne vous mangera

rampe, tourna la tête vers lui et lui sourit de ses lèvres pales. «Comme vous» ajouta-t-elle, et de ses yeux bleus elle parcourut son corps, de la tête aux pieds et de nouveau en remontant vers son visage. Sur le palier du premier étage elle lui dit «cet étage est le mien !» Ils grimpèrent la seconde volée. «Et celui-ci est entièrement le vôtre, votre chambre est ici. J’espère vraiment que vous l’aimerez !» Elle l’entraîna dans une petite mais charmante chambre qui se trouvait en face d’eux.

colombage. Le rez-de-chaussé est en pierre, puis des corbeaux soutiennent l'encorbellement du premier étage. Les murs des étages sont en colombage, c'est à dire qu'ils sont réalisés avec du torchis et des poutres en bois. Pour chaque passage à l'étage supérieur, on trouve le même encorbellement. Les maisons étaient donc plus petites à le base qu'en haut. 10)On remarque que le troisième étage est beaucoup plus avancé sur la rue que les autres, grâce aux différents encorbellements. Cela permettait

la forme d’une masse cubique, rappelant l’effet de bloc du palais Pitti. Tout en pierre, il est divisé en dix travées de côté et présente trois étages de taille décroissante, la superficie du rez-de-chaussée étant plus étendue que celle du dernier étage. L’appareil du rez-de-chaussée est grossier et volontairement irrégulier, cette technique de parement en bossage s’inspire des palais Pitti et Vecchio, et évoque également d’anciens édifices romains tel que le Forum d’Auguste. Mais la spécificité qu’y

Gaudí.  L’architecte a fait refaire les murs pour qu’ils adoptent une forme ondulée puis les a recouvert de mortier de chaux puis de morceaux de verre colorés et de disques en céramique. Au niveau du rez-de-chaussée, de l’étage noble et du premier étage, la façade est composée de fines colonnes en pierres de Montjuïc revêtant des formes osseuses et ornées d’éléments floraux typiques du modernisme. Les rambardes des balcons, semblables à des masques, sont fabriquées en fer coulé d’une seule pièce

Les deux scénaristes font jouer leur troupe, «  La Cie Lacascade », avec un dynamisme et une légèreté surhumaine. Le groupe c’est présenté le mardi 15 novembre à 20h30 au théâtre de l’olivier à Istres. Tout d’abord, le décor est colossal : avec un étage et un rez-de-chaussée, une rangée de porte, un escalier mobile, une vaste cour central, des panneaux coulissants, des chaises, des tables et des bougies. Le tout est illuminé par une lumière rafraichissant la scène en bois clair. Cependant la pièce

mais Gervaise s’y est habituée et ne s’en soucie guère. Maman Coupeau, recueillie par Gervaise car rejetée par les Lorilleux, fini par mourir. Dans la foulée, ils sont obligés de fermer boutique et d’emménager dans un minuscule appartement au sixième étage. C’est Virginie qui reprend la boutique, y vendant des sucreries. Lantier a pu rester, est Virginie est aussi tombée dans son lit. La chute continue encore. Coupeau empire et Gervaise travaille mal, plus personne ne l’embauche. Nana, leur fille

une qui fût, ni plus haute, ni plus grande que l’autre »L.5-6 ; ainsi l’auteur va beaucoup insister la dessus par la suite avec une accumulation d’énumérations de ce qu’elles comportent toutes ; « chacune avait un rez-de-chaussée », « un premier étage », « une terrasse », « une porte régulière d’entrée »… L.5-7. Les maisons sont même peintes de la même couleur et de la même façon, « régulièrement peintes par compartiments symétriques, en couleur rose et en vert »l.9. Par ce procédé, l’auteur exprime