État-major

L'échec des offensives du printemps 1917, suivi de la crise du moral dans l'armée, conduit en fin de compte à l'accession de Pétain à la tête de l'armée française. Cette prise de commandement s'effectue en deux temps : le 29 avril il est chef d'état-major général et ne devient général en chef que le 10 mai. Très vite, il prend de nombreuses mesures visant à améliorer le quotidien des soldats : permissions plus régulières, meilleurs approvisionnements, meilleure alimentation des troupes, arrêt des offensives

impossible et s’engage lentement à partir de septembre 1959 vers l’idée d'autodétermination de l’Algérie, c’est alors un tournant du conflit, car les Français d’Algérie, qui ne veulent de cette solution à aucun prix, soutenus par une partie de l’état-major de l’armée s’y opposent avec la plus grande violence. À deux reprises au moins, le pouvoir est directement mis en cause : en janvier 1960, lors de la semaine des barricades, en avril 1961, où le putsch de quatre généraux met la République en péril

publics nationaux - Les directeurs des établissements publics nationaux Plus les décision du décret du 6 aout 1986 qui étend la liste des emplois civils et militaires dans lesquels le président de la république trouve à s'exercer. Ce décret faisait état d'une liste de fonction extrêmement longue que certains commentateurs ont jugé abusive.+ On pourrait rappeler que le président de la république désigne certain membres du conseil constitutionnel parmi lesquels le président. Le président de la république

Je vous mets au défi de trouver quelqu’un qui ne connaît pas quelqu’un qui consomme de façon occasionnelle de la marijuana. Partout sur la planète en 2013 les politiques prohibitionnistes sont remises en question. Dans le cas de l’Uruguay, premier État souverain à légaliser complètement cette substance, en adoptant un modèle de distribution public ressemblant à notre Société des alcools. Les États du Colorado et de Washington ont aussi à leur tour légalisé le cannabis. Ils ont tenu tête au gouvernement

I- Le préfet de région : acteur de la lente primauté de l’échelon régional déconcentré « Avant-hier, nous avons connu un corps préfectoral militant chargé de mettre en place les bases de la République. Hier, il avait l’allure triomphante d’un Etat pionnier du plan et de l’aménagement. Aujourd’hui, le corps préfectoral doit être l’animateur de la réforme de l’Etat ». Telle est la définition de l’évolution du rôle du Préfet faite par Paul Bernard, dans la préface de Le Préfet face au XXIe siècle

traité sur le Fonctionnement de l’Union Européenne (TFUE), consacre la liberté d’établissement, ce qui permet de créer ou de transférer une entreprise dans un autre Etat membre. Il consacre également la libre prestation des services, ce qui permet à toute personne, à partir d’un état membre, d’offrir des prestations ou service dans un autre état membre. La directive Bolkestein de 2006, est venue précisée cette dernière liberté en excluant certains secteurs d’activités (les services d’intérêts généraux

strictement navale, il convient de se demander si, la mer dans son usage civil et militaire, n’est pas devenue un domaine pertinent susceptible de promouvoir l’idée européenne »1, telle était la réflexion de l’Amiral Lefevbre, un ancien chef d’Etat-major de la marine. Datant de 1996, cette remarque n’en demeure pas moins d’actualité. Aux origines de l’Europe, antérieurement à la construction communautaire, la mer apparaissait comme un pilier du continent autour de laquelle se sont développées les

La paix est un concept valorisé par les relations internationales contemporaines : le but essentiel de l’ONU est le maintien de la paix et de la sécurité internationale. La paix est souhaitable, certes, mais toujours fragile : en effet, un seul État qui romprait le consensus et c’est alors la guerre. La paix est un désir largement partagé. Cependant la pacification des relations internationales est loin d’être achevée, de nombreux conflits demeurent si bien que la distinction semble davantage

intervenus un an auparavant. En effet, l’URSS adopte, en se rangeant du côté de la coalition anti-irakienne, une nouvelle approche en matière de politique internationale. Elle marque, par cette attitude, une très nette volonté de se transformer en un Etat de droit. Pourtant, cette initiative, si elle réjouit ou réconforte les démocraties occidentales, elle n’est pas unanimement approuvée par l’ensemble des décideurs politiques, premiers concernés par ces nouvelles mesures. Pour mieux appréhender

stratégiques diverses et chères et la diminution des forces et des ressources de la défense explique amplement que le chef d’état-major des armées4 déclare régulièrement qu’il entrevoit un « haut risque » à remplir les missions confiées aux forces armées américaines à l’aune de la stratégie nationale que présente le gouvernement. En fait, une évaluation faite par l’État-major des armées au plus fort de la campagne aérienne du Kosovo a estimé les risques comme étant à un niveau « inacceptable ». De