Etat Providence Keynes

défense qu’il se doit de faire respecter. A cela s’ajoute, la construction et l’entretien des infrastructures publiques. On parle alors d’Etat gendarme ou de la capacité de l’Etat à se substituer à la providence divine (La sagesse qui gouverne le monde). D’un autre point de vue John Meynard KEYNES, précurseur de la politique sociale, s’attelle à démontrer que pour la relancer, l’Etat se doit d’intervenir dans l’économie. On obtiendrait ainsi une meilleure cohésion sociale. Pour cela, il doit stimuler

cessant d’alimenter les entreprises en liquidités aggravant les problèmes latents cités ci-dessus. Les pertes pour l’économique furent évaluées par l’OCDE à plus de 200 milliards d’euros avec des effets de dominos déstabilisant les États surendettés. Un état de l’Union Européenne, le Grèce, se trouva suite à ce bouleversement au bord de la faillite. Cette crise a mis en valeur la fragilité des états dans un contexte de croissance déjà atone renforçant la défiance de certains économistes, la France accusant

et les sources de la légitimité - approche de M. Weber (1864-1920) L’Etat est le détenteur du monopole de la contrainte physique et de l’usage de la force légitime. A contrario, lorsqu’il n’y a pas monopole de la contraint physique, il n’y a pas Etat. Les acteurs ne cherchent plus à l’emporter par la force mais par la légitimité. Il y a donc un débat permanent sur la légitimité de l’action de l’Etat. Ce rapport de forces se normalise et se codifie dans le droit. Trois sources possibles de la

favorables à un État neutre ou, au contraire, à un État interventionniste, fortement impliqué dans les sphères économique et sociale. Au début du XIXe siècle, en réaction à l’absolutisme royal, les économistes libéraux dits "classiques", comme Adam Smith, ne prêtaient à l’État, pour l’essentiel, que des fonctions régaliennes (diplomatie, sécurité extérieure et intérieure, justice). Le marché tendant naturellement à s’autoréguler, le "laisser-faire, laisser-passer", sous l’égide d’un État protecteur de

l’Etat dans la vie economique, notamment pendant les crises. Les theories divergent a propos de cette interrogation, les classiques prônent la non intervention de l’Etat et l’autorégulation tandis que les mercantilistes se mettent d’accord pour un Etat interventionniste. C’est ainsi que nous allons se poser la question suivante : L’intervention de l’Etat est-elle nécessaire dans une economie de marché ? Pour repondre a cette problematique nous allons voir dans un premier comment l’intervention de

Economie Chapitre 1 : Le modèle keynésien Pour les Classiques, on recherche tous l’intérêt personnel dans l’économie. Keynes a été le premier à décrire l’activité économique à l’aide du processus du circuit économique. Il a également été le premier à montrer la nécessité de créer une véritable comptabilité nationale. Il a aussi démontré que les comportements des agents économiques étaient parfais incompatibles avec l’intérêt général. La base de la pensée keynésienne réside dans le fait de considérer

fondamentales et démocratiques. Elle s'est faite en plusieurs étapes et n'est toujours pas achevée. Les pays de l'ex-Yougoslavie veulent y entrer. Il n'y a pas d’adhésion systématique , il faut donc remplir les critères de Copenhague: Au niveau politique: État de droit , régime démocratique et surtout le respect des minorités. Au niveau économique : Économie libérale, assez forte et stable pour résister aux pressions du marché et à la concurrence à l'intérieur de l'Union Européenne. Il faut pouvoir intégrer

d’Angleterre sont insuffisante, ainsi que le livre qui commence à flotté. Pour finir, c’est la France, où les capitaux quitteront ce territoire. A cette époque, la première inquiétude est l’idée d’abandonner l’orthodoxie monétaire. La théorie de Keynes est : « Lorsque la consommation et l’investissement baissent, les entreprises licencient, suite à ces licenciement, les ménages consomment moins et les entreprises ne sont pas inciter à investir. » VIII. L’âge d’or et sa crise Après la guerre

l’entre-deux-guerres et les finances publiques modernes correspondant à la période contemporaine. I – LE CADRE POLITIQUE A – De l’Etat libéral à l’Etat providence a) L’Etat libéral Les finances publiques classiques se développent dans le cadre d’un Etat libéral, c’est à dire un Etat qui laisse le maximum de liberté aux particuliers sur le plan économique. C’est donc un Etat « minimalitaire » selon l’expression de Marcel Prélot. En effet, de la Restauration à la Première guerre mondiale l’Etat n’exerce que des

s’oppose à l’abondance et explique l’existence des besoins. C’est la satisfaction de ces nouveaux besoins qui repousse les limites de la rareté. Certains biens libres deviennent des ressources limitées et rares. B- Choix Besoin : constitue un état de manque face à ce qui est désiré Une fois qu’un besoin est satisfait, d’autres besoins apparaissent. Bien public : non échange marchand. Bien économique : selon les économistes, c’est un bien rare et leur prix dépend de leur rareté. C’est une