Éthique de la sollicitude

Les incontournable de la Déontologie Question 1 : Les définitions qui suivent correspondent à des principes éthiques Nommer le principe qui correspond à chacune d’elle. Définitions Principe Qui confère le respect, est intrinsèque à l’homme, on ne peut lui détacher Dignité État d'une chose qui à toutes ses parties n'a pas subi d'altération Intégrité Pouvoir d'agir sans contrainte Liberté Capacité d'une personne à prendre des décisions en ce qui concerne sa santé, son corps, son habitat

plus davantages que dinconvnients. () Les hommes exprimentent quils peuvent se procurer par une aide mutuelle ce dont ils ont besoin et quils ne peuvent viter les dangers qui les menacent de partout que par lunion de leurs forces. Baruch Spinoza, Ethique, IV C. Lambivalence fondamentale du rapport autrui (Kant, Freud) La prise en compte de ces deux aspects oblige reconnatre lambivalence de la relation autrui. Nous ne pouvons nous passer dautrui, mais la relation autrui ne va pas sans difficults

bien désir de valeur par ex entre le bien et la vie. Il ya une éthique de l’autonomie et de la vulnérabilité. L’estime de soit est une valeur personnelle. La dignité humaine ne se fragmente pas en décision personnelle elle fit partie de l’humanité : éthique de la vulnérabilité=éthique de la solidarité. Aucune loi n’est parfaite et en particulier lorsqu’elle statut sur la fin de vie. Car cela codifierait nos vies. Regard éthique : Emergence d’un débat : la question de la 1ère personne :

loi du 04/03/2002 du Code de la Santé Publique (CSP) : « La personne malade à droit au respect de sa dignité. » - Charte de l’usager en santé mentale : « L’usager en santé mentale est une personne qui doit être traitée avec le respect et la sollicitude dus à la dignité de la personne humaine. » - Décret n°2004-802 du 29/07/2004 Article R.4312-2 du CSP : « L’infirmier ou l’infirmière exerce sa profession dans le respect de la vie et de la personne humaine. Il respecte la dignité et l’intimité

depuis des siècles, nous exploitons la nature dans une relation de domination, ne serait-il pas temps de changer cette relation vers une éthique plus responsable mais également respectueuse de l’environnement ? En effet la nature semble nous avoir donné un principe de responsabilité envers notre environnement que nous devons protéger, respecter. Cependant notre éthique est jusque-là largement anthropocentrique. Pendant des millénaires, les hommes ont appris à dominer et contrôler la nature, afin de vivre

santé. Il est également Secrétaire du Comité Scientifique et Ethique International d'ORPEA, leader européen de la prise en charge des personnes âgées et de la maladie d'Alzheimer. Le contexte de l’article : La compassion est une qualité attendue des personnels de soins. La compassion implique un sentiment de bienveillance, avec la volonté d'aider la personne qui souffre. On attend qu'ils fassent preuve de sollicitude envers les gens dont ils ont la charge. Mais à force d'être

care » à travers une analyse constante des relations sociales. Grammaticalement elle veille au « prendre soin » des hommes, mais plus concrètement elle s’inscrit dans le souci de l’autre, la sollicitude. Ses travaux se concentrent sur le lien social et sur l’impact de ces liens sur les individus entre eux. Cette éthique permet de repérer l’influence de la vulnérabilité chez une personne par la prise en compte de ses capacités, son potentiel pour qu’elle puisse se réaliser et exister personnellement.

Levinas, nous allons essayer de la traverser puis de la croiser avec les perspectives esthétiques du portrait en art. La phénoménologie que le philosophe Emmanuel Levinas fait de la rencontre de l’Autre est au cœur de son œuvre. Il se place sur le plan éthique et non ontologique car ce dernier serait impuissant à rendre compte et à comprendre le sens, l’origine et la fondation de la relation à Autrui. Pour Levinas, si nous disons un Autre c’est précisément parce qu’il est un Autre et que sa rencontre est

Finfielkraut citant Edgar Quinet Est-ce possible ou d'emblée est-ce une prétention absurde, le bonheur des autres étant essentiellement leur affaire (puisqu’il dépend de ce qu’ils ressentent et de leur état d’esprit) ? La charité, le souci, la sollicitude peuvent être pensés comme des façons de viser le bonheur des autres. Mais Kant lui-même ne cesse d'émettre des nuances et des restrictions : « Il est possible de se faire un ennemi par des bienfaits marqués. » De plus n'y a-t-il pas trop

par rapport à certains progrès technologiques. Hans Jonas, un philosophe très étudié en Allemagne, a inspiré fortement ce que nous appelons aujourd’hui en droit français, en provenance des directives européennes, le principe de précaution. Une éthique de la responsabilité en quelque sorte, c’est-à-dire une réflexion et un travail théorique portant sur des questions de mœurs et de morale, au sens de la théorie du bien et du mal, - par delà le bien et le mal étudié par Nietzsche. Cette responsabilité