Ethnocentrisme Et Racisme

Devoir maison de Philosophie 1. Que nous apprend l'étymologie des mots « barbare », « sauvage » ? L’étymologie des mots « barbare » et « sauvage » nous permet de définir l'origine de l' ethnocentrisme pour Claude Lévi Strauss puisque celle de « barbare » correspond à la confusion et l'inarticulation du chant des oiseaux et donc en opposition avec la valeur du langage humain ; net, clair, précis et organisé. Barbare (du grec barbaros) : qui ne parle pas un langage humain. Dans la Grèce antique

privé l’étranger de ce dernier degré de réalité en en faisant un « fantôme » ou une « apparition ». L’ethnocentrisme découle ainsi en trois formes : la xénophobie, le racisme et le colonialisme. Tout d’abord, la xénophobie, qui est ainsi la peur qui engendre le rejet de l’étranger, on rejette alors les autres par ethnocentrisme. Ensuite, le colonialisme est le fait que la politique d’un état instaure sa propre culture à la culture d’un autre pays. Le colonialisme peut apporter de mauvaises choses

et vie des esclaves. Profit économique au même plan que la vie de l'homme, l'esclave. Cet argument fait penser à Voltaire(Candide, le nègre de Suriname) et » c'est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe ». III – la dénonciation du racisme il s'agit de montrer que selon les esclavagistes, les noirs ne repondent pas aux critères qui permettent de les considérer comme des Hs. D'une part « sont noirs » (arg 3,5,6). D'autre part n'ont « pas le sens commun » (arg 7) . a) les préjugés

d'une illusion. Juger la valeur d'une culture nous pousse à adopter une attitude ethnocentrisme. Il s'agit de ramener sa société au centre, c'est une tendance qui nous pousse à évaluer une culture par rapport à la notre. C'est du a cette attitude que le terme « primitif » et « barbare » est apparu. Or Levi-Strauss souligne « le barbare est d'abord celui qui croit à la barbarie » . En effet, l'attitude ethnocentrisme est universel, on peut qualifié un peuple de primitifs et de barbares sans voir qu'ils

Lévi-Strauss, beaucoup plus accessible à un large public, beaucoup plus général. Ce petit livre est une sorte de mémento, de piqûre de rappel, sur ce que l'on entend par " race " quand il s'agit de l'humain et, in fine, a pour but de lutter contre le racisme planant un peu partout dans le monde. En quelques pages et sans la moindre nécessité de forcer son talent ou de polémiquer, l'auteur démontre les incongruités de certains modes de penser et de considérer l'humain en tant que mosaïque de groupes ethniques

pose tout sortes de questions sur les conditions de vie , les habitants ect .. Puis perd ses reperts et se replie sur lui-même BUT : Passage du lecteur de l’ethnocentrisme au relativisme ( Eloge de la tolererance et blame du racisme) Montaigne inverse les roles et les connotations : Blame des européens et de la société occidentales décrits comme pervertis par les vices de la société et eloge du « sauvage » vivant dans la pureté et la fraternité : MONDE UTOPIQUE Amorce de

RESUME D’OUVRAGE Face au racisme, sous la direction de Pierre-André Taguieff « L’histoire des idées a peut-être cette utilité, non pas de résoudre les problèmes, mais d’élever le niveau du débat ». (Albert O. Hirschman) Cet ouvrage a la particularité de réunir vingt études approfondies, explorant les dimensions historiques, sociologiques, juridiques et politiques du racisme. Le résumé qui va suivre met l’accent sur l’origine et l’évolution du racisme d’une part, et sur les enjeux des années 1980

culture, de tout ce qui ne se conforme pas à la norme sous laquelle on vit » est appelé « ethnocentrisme » par Lévi-Strauss. Un « faux évolutionnisme », affirme-t-il, tend à faire la part trop belle à la culture occidentale, en feignant de pouvoir considérer les autres cultures comme autant d’étapes d’un développement unique, convergeant partout vers un but identique qui serait notre mode de vie. Si le racisme est attesté dés la plus haute Antiquité (les Grecs appelaient « barbare » tous ceux qui

d'articles sur le racisme en 1952. Thèse Lévi-Strauss, énonce la thèse selon laquelle il n'y a pas de race supérieure, il n’y a pas de races différentes mais des cultures différentes. Il introduit une réflexion nouvelle sur la culture occidentale. Même si la société occidentale est souvent qualifiée de supérieure, l'auteur nous montre que ce n'est toujours pas le cas. Il deconstruit la question raciale, le pbm est que l on a jamais donner sa place- importante- a l ethnocentrisme qui est la cause

Traité sur la tolérance), la misère sociale (V. Hugo et Les Misérables), les abus de pouvoir et différents régimes tyranniques (les philosophes des Lumières dénonçant la monarchie absolue, V. Hugo s’attaquant à Napoléon III dans Les Châtiments …) , le racisme, l’occupation allemande pendant la seconde guerre mondiale … ; bref, toutes les formes d’oppression et d’atteintes à la dignité humaine. On parle alors d’écrivain engagé. Certaines prises de position coûtent cher aux écrivains : exil, prison … Preuve