Etienne Jodelle Sonnet

fit la rencontre de Joachim du Bellay. Ce sont les deux piliers de la pléiade. Puis 5 autres poètes se joignirent à eux issue du collège de Boncourt ou de Coqueret : Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. À la mort de Jacques Peletier du Mans, Jean Dorat le remplacera au sein de se groupe. Ce mouvement littéraire est d’abord nommé la « Brigade ». Le souci majeur de la Brigade, élevée sous l'égide de l'helléniste Jean Dorat, est de faire reculer

rhétorique), mais pas d'élite (il n'ira pas à l'université, il ne connaît pas le grec).  Il vient d'une famille aisée mais ce n'est pas un aristocrate.   Ses débuts se font à Londres dans les années 1590, il commence par être poète (un recueil de sonnets et de longs poèmes narratifs, mythologiques ou historiques, comme Le Viol de Lucrèce).  Son théâtre est riche, et il brasse plusieurs genres : la fresque historique (Richard III), les comédies romantiques, la tragédie historique, et les 4 grandes

technique poétique, de la métrique et u théâtre. On tente de restituer en français la prosodie quantitative des Anciens. On crée la tragédie et la comédie en français, et surtout naissent de nouvelles formes : épître, élégie, églogue, ode, et surtout sonnet.   Mythes et thèmes : Les thèmes utilisés pour réaliser ce programme humaniste est révélateur de l’esprit du temps. Au XVIe siècle, on parle d’amour et aussi de vertu. On rêve d’un monde où l’homme vivrait en harmonie avec la nature et en accord

principes dès la fin du XVIIe siècle ; Ouvrant ainsi le chemin pour l'ouvrage monumental de Diderot et d'Alembert, la fameuse Encyclopédie (1751-1772) qui marquera la fin du 18e siècle. III) Les œuvres Les Amours de Ronsard est un recueil de sonnets dédiés à Cassandre, Marie et Hélène ; trois muses de Ronsard, 1552. La Bible a été traduite par Luther en Allemand en deux temps, le nouveau testament en 1522 puis l’ancien en 1534. Cymbalum Mundi a été écrit en 1537 par un auteur anonyme.

l’ode et le sonnet comme des formes poétiques majeures et abordent les quatre principaux thèmes de la poésie élégiaque : l’amour, la mort, la fuite du temps et la nature. Désireuse d'exploiter toutes les ressources de la langue française, l'école de la Pléiade développe une poésie fondée sur l'imitation des modèles antiques. Écrivains représentatifs : Pierre de Ronsard, Joachim du Bellay, Pontus de Tyard, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Jean-Antoine de Baïf et Étienne Jodelle. Puis Jean

Dorat, forment un groupe de poètes : La Pléiade. En 1549, Du Bellay rédige Défense et Illustration de la langue française dans lequel il chante les louanges du français et le défend contre le latin. Il écrit par la suite de nombreux sonnets, dont le recueil L'Olive (sonnets amoureux), ainsi que Les Antiquités de Rome, les Regrets et les Divers jeux rustiques. Calvin : Jean Calvin était le fils d'un juriste français. Il commence des études de droit mais, en 1531, il se convertit au luthérisme

B-La poésie : 1- En Italie La poésie de la Renaissance, naît en Italie au XIVème siècle. Ce sont Dante (1265-1321) et Pétrarque (1304-1374) qui ont influencé le plus leurs successeurs. Pétrarque est un des tous premiers auteurs à écrire des sonnets. Des poètes comme Ludovico Ariosto (1474-1533), Torquato Tasso (1544-1595) mettent en avant l'évocation de l'épopée. 2- En France a)Les personnages : La poésie française trouve une organisation pour la servir en la Pléiades : Dans

constellation pour se distinguer. À la Renaissance, sept poètes se regroupèrent sous le même nom. Outre Pierre de Ronsard, la Pléiade regroupe alors Joachim du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. À la mort de Jacques Peletier du Mans, Jean Dorat le remplacera au sein de la Pléiade. Ce n'est qu'en 1556 que Ronsard choisit le mot « Pléiade » pour désigner ce groupe. Cette appellation sera adoptée par la postérité[]. Les idées de la Pléiade

réellement sensible à ses avances. Cette jeune fille va devenir une des ses premières sources d’inspiration, et va lui rendre hommage en lui dédiant 180 sonnets , inspirés du sonnetto de Pétrarque, qu’il publiera en 1552 sous le titre Les amours. En effet, à l’exemple de Pétrarque, Ronsard eut comme registre le lyrisme amoureux , des sonnets écrits pour montrer la joie de l’amour , mais aussi la souffrance que peut apporter une femme , lorsque cet amour n’est pas réciproque. En 1552, On dit de

groupe, rassemblée avec la même volonté de rénover les formes poétiques : Ronsard, Du Bellay, Jean-Antoine de Baïf (1532-1589), condisciples au collège de Coqueret, constituent son «noyau dur»; venus du collège de Boncourt, s'y agrègent en 1553 Étienne Jodelle (1532-1573) et Jean de La Péruse (1529-1554), remplacé en 1554 par Rémy Belleau (1528-1577); plus lointainement (ils appartiennent à l'école lyonnaise), s'y associent Pontus de Tyard (1521-1605) et Guillaume des Autels (1529-1581); ce dernier