Etre Libre Et Etre Soumis Aux Lois

se présente à nous. Notre nature humaine fait que lorsque nous sommes dans une situation comme celle-ci, nous pensons inconsciemment aux conséquences de nos choix. Mais y a-t-il réellement du sens à affirmer « je n’ai pas pu faire autrement » ? Le libre-arbitre de l’Homme est-il réel ou bien est-ce une fiction ? L’Homme serait défini par sa liberté, une faculté fondamentale mais est-elle applicable à tout ? Avons-nous toujours cette liberté de choix et d’action ? Nos choix sont motivés par des raisons

ces membres, il n’y a que une seul loi : il est interdit de nuire au autre. La seul et unique possibilité pour que cette loi soit transgresser, non pas par n’importe qu’elle individu mais seulement par la « communauté », et quand justement en homme libre de celle-ci et entraine une perte de la liberté d’un autre. L’individu selon Mill est un individu qui possède une liberté total en ce qui concerne sa propre personne. Il est souverain de ces choix, de sa propre culture pour la raison que personne ne

nécessité ? L’acte libre est-il un acte imprévisible ? Liberté et politique Obéir, est-ce renoncer à sa liberté ? Promettre, est-ce limiter sa liberté ? L’Etat est-il l’ennemi de la liberté ? L’Etat restreint-il la liberté individuelle ? Peut-on être libres à plusieurs ? La loi constitue-t-elle, pour la liberté, un obstacle ou une condition ? Est-ce par le renversement des lois que s’exprime la liberté ? Y a-t-il contradiction entre être libre et être soumis aux lois ? Peut-on n’obéir

signifie t-elle obéir à des lois qu’on dit légitime ? Dans une première partie nous définirons les concepts de liberté et d’obéissance puis dans une seconde partie nous verrons qu’obéir c’est une façon d’être libre. Developpement : 1ere partie La définition de mot liberté peut avoir un sens différent selon les individu. La notion de liberté sera diférente en fonction de vécu et des expériences de chacun. Lorsque l’on pense à liberté on se dit tout d’abord qu’être libre c’est pouvoir faire

Du Contrat Social, Jean-Jacques Rousseau LIVRE I Chapitre I Homme né libre mais "tel se croit le maître des autres qui ne laisse pas d'ê plus esclave qu'eux"; on passe de la liberté nat à l'esclavage ordre social= droit sacré, base de ts les autres Chapitre II Des premières stés famille= seule sté naturelle, la + ancienne. Enfants rentrent légalement ds indépendance=> lien naturel se dissout. Nature de l'h=> liberté commune. Dès âge de raison, h juge lui mm à sa conservation

activités et les modalités de leur conduite ont cet acte substantiel et universel comme point de départ et comme résultat. » Hegel, Principes de la philosophie du droit.   La souveraineté et le droit du plus fort : Pour Machiavel, un État ne saurait être fondé et se maintenir que par l’exercice de la force. La réduction à néant des formes d’opposition, de résistance est une exigence. L’État doit parvenir à s’assurer l’obéissance des individus et pour cela il doit imposer le droit du plus fort.  Les

ETRE LIBRE,  EST-CE FAIRE TOUT CE QUE L’ON VEUT ? Spontanément, on peut être tenté de définir la liberté comme le pouvoir de se déterminer sans aucune contrainte, d’agir comme bon nous semble, sans nous soucier des contraintes qui peuvent venir entraver notre action. On assimile alors la liberté à l’indépendance : être libre, ce serait ne dépendre de rien ni de personne, avoir toute l’attitude de se déterminer par soi-même. La liberté apparaît alors comme un pouvoir illimité. Cette définition

constitutionnelle du 28 mars 2003, et les différentes lois prises pour son application, s'inscrivent dans un mouvement de fond en faveur de la décentralisation, c'est-à-dire vers la reconnaissance au sein de l’Etat d’entités distinctes, ayant la personnalité juridique et dotées d’une certaine autonomie : les collectivités territoriales. La décentralisation a été vraiment entreprise à partir des années 1980 et plus précisément par les lois du 2 mars et 22 juillet 1982. En conséquence, le législateur

également une norme ou un idéal de société qui détermine les devoirs envers autrui dans la vie. Elle définit ce qui est légitime de façon absolue. Mais cette justice en société est-elle incompatible avec la liberté ? Cette liberté qui peut très bien être celle de penser, de choix que celle d’action. Il y a des raisons objectives d’hésiter car si Platon dans son texte L’anneau de Gygès tire la morale qu’en société les hommes ne sont justes que par contrainte, et donc que dès qu’ils ont le choix, ils

s'oppose au terme 'servus', désignant l'esclave. L'homme face à la société est conditionné à se soumettre aux lois en vigueur dans son pays mais il peut choisir d'exprimer sa liberté en passant outre les lois pour devenir un hors la loi. Pourtant, l'homme est-il totalement 'libre' de faire ce qu'il veut sans empiéter sur les valeurs fondamentales de la société? L'homme est certes, 'libre' de penser et d'agir ou d'interagir avec autrui. Cependant, force lui est de composer avec la société et avec