Etude De Cas Credit Agricole 2010

locales de taxation ...................................................................... 24 b) La commission nationale de recours fiscal ...................................................... 25 Conclusion………………………………………………………………………………………26 Les cas de synthèse ............................................................................................................... 27 Page | 2 Introduction : La taxe sur la valeur ajoutée a été instituée au Maroc par la loi n° 30-85, promulguée par

Échapper au cycle de la faim Les chemins de la résilience au Sahel Groupe de travail sur le Sahel Septembre 2011 Peter Gubbels Remerciements De nombreuses personnes ont généreusement contribué à cette étude en participant à des ateliers de travail et à des entretiens, ou encore, en apportant de la documentation et des idées. Il s’agit notamment de personnes du Tchad, du Niger, du Burkina Faso, du Mali et du Sénégal, ainsi que du Royaume-Uni, du Danemark, et de Belgique (Bruxelles). J’apprécie

pauvreté atteignant 20% de la population, soit 7 million du total de la population marocaine, sur fond d’un déficit budgétaire structurel, dés lors que les exigences du développement font ressentir plus vivement la fragilité d’une économie à vocation agricole tributaire des aléas climatiques, une fragilité couplée à la précarité du tissu productif et industriel, une faible intégration du commerce marocain dans l’économie mondiale et un recul des exportations. Cette situation s’accentuée de surcroit par

devenir un pays moteur dans l’économie de la région. Nous verrons ensuite dans une deuxième partie les caractéristiques de la création d’une entreprise : les structures d’appui, les formalités d’un enregistrement, et enfin les sources de l’accès au crédit. Partie 1 : Profil économique du Gabon 1. Le profil de compétitivité Nous allons dans cette partie montrer les différents critères de la situation gabonaise, afin de comprendre si le pays a une bonne compétitivité, ou s’il y a au contraire

du périmètre national. C’est le cas du secteur financier. En effet, la Banque du Maroc injecte depuis plusieurs semaines près de 11 milliards de dirhams dans le circuit bancaire - au taux directeur de 3,25 % - afin de fluidifier le marché des liquidités, mis à mal depuis quelques mois (le manque de liquidités serait de plus de 20 milliards de dirhams). Les raisons ? Baisse des privatisations (qui étaient à l’origine de la surliquidité), forte croissance des crédits, faible épargne, chute des Investissements

[pic] [pic] [pic] Effectué par : Alaoui Zouine SARA Encadré par : 2009/2010 DEDICACES A mes parents : en témoigne de mon amour et tendresse, je vous dédie ce modeste travail. A mon frère : pour son soutien et amour, je lui souhaite des meilleurs vœux de bonheur et de réussite. A mes encadrants. A tous ceux qui ont contribué à l’élaboration de ce modeste travail.

Le marketing mix : 35 Chapitre2 :L’analyse de marché et de la clientèle : 48 Conclusion:…………………………………………………………………………………………………………………………………….63 Troisième partieEtude de cas « Le marketing bancaire marocain ». …………………………………65 Introduction : ………………………………………………………………………………………………………………….………….66 Chapitre1 : Première étude de cas: comparaison de deux banques 67 Chapitre2 : Perception de la population : enquête de khouribga de la banque 95 Conclusion……………………………………………………………………………………………………………….……….……105

cette optique que j’ai effectué mon stage de fin de cycle à la Banque Nationale de Développement Agricole (BNDA) durant une période de deux (2) mois. A l’issu de mon stage, j’ai choisi de traiter le thème suivant : « l’Analyse du Risque d’un crédit aux PME par une banque : le cas de la BNDA. Le choix de ce thème s'explique par le fait que la BNDA a du mal cerné le risque exact lié à l’octroi du crédit PME. Pour traiter le thème du présent rapport, la démarche suivante a été adoptée : Exploitation

+ L’Office National des Pêches (ONP) + l’Office National de l’Eau et de l’Electricité (ONEE) + L’Office Régionale de Mise En Valeur Agricole du Haouz (ORMVAH) + L’Office Régionale de Mise En Valeur Agricole du Loukkos (ORMVAL) Autres missions : + Assistance technique de la Société Marocaine d’Ingénierie Touristique (SMIT) + Audit organisationnel des communes (Commune Lakhssas, Sidi Ifni, Mirleft et Ibder) +

lois Loi n° 2010-58 du 17 décembre 2010, portant loi de finances pour l’année 2011 (1). Au nom du peuple, La chambre des députés et la chambre des conseillers ayant adopté, Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit : Article premier : Est et demeure autorisée pour l’année 2011 la perception au profit du Budget de l’Etat des recettes provenant des impôts, taxes, redevances, contributions, divers revenus et prêts d'un montant total de 19 067 000 000 Dinars réparties comme